Lorem Ipsum is simply dummy text of the printing and typesetting industry. Lorem Ipsum has been....
Le Comité technique du Groupe de la Banque africaine de développement en charge du suivi des activités du Fonds de développement urbain et municipal (UMDF) a validé le 18 mars 2024, à Abidjan, le nouveau programme de travail pour l’année 2024. Au total, 4,5 millions de dollars américains ont été approuvés pour accompagner des projets dans quatorze municipalités et collectivités locales africaines.
Quelque 500 000 dollars seront consacrés au premier pilier du programme d’activités portant sur l’amélioration de la gouvernance urbaine. À cet égard, le Fonds lancera un programme de renforcement de capacités et de suivi conseils sur l’amélioration des finances municipales et de la solvabilité de six grandes villes pilotes (Nairobi, Dakar, Abidjan, Addis-Abeba, Kigali et Lagos). L’objectif est de poursuivre le programme d’appui aux municipalités pour les aider à identifier et à accéder à de nouvelles sources de financements tant publics que privés.
Le second pilier sur l’amélioration de la planification urbaine bénéficiera d’un financement de 900 000 dollars qui servira à étendre le Programme villes africaines à six nouvelles villes, outre les treize villes déjà bénéficiaires. Ce programme consiste à élaborer des plans d’action urbains efficaces et à identifier des projets d’investissement prioritaires pouvant constituer une base pour les interventions des bailleurs de fonds, dont la Banque africaine de développement.
Enfin, le Fonds débloquera 2,8 millions de dollars pour le troisième volet du programme afin d’accélérer la maturation d’une série d’infrastructures urbaines, dont elle financera une partie des études préliminaires, notamment des études de faisabilité pour certains et des études techniques détaillées pour d’autres.
Face à l’urgence d’améliorer la résilience des villes et de leur capacité à s’adapter aux changements climatiques, les projets liés à l’eau auront une place prépondérante. Il s’agit des projets d’assainissement et de drainage des eaux à Maroua, au Cameroun, des réseaux d’assainissement à Accra (Ghana), du traitement de l’eau potable dans la région du Caire (Égypte), de l’aménagement du littoral à Nouakchott (Mauritanie) et de la planification d’infrastructures résilientes aux risques climatiques dans la ville du Cap, en Afrique du Sud.
Toujours dans le cadre de son programme d’appui à la préparation de projets, le Fonds s’intéressera au renforcement des transports publics, en finançant des études pour développer le réseau de bus à Addis-Abeba, ainsi que par rail à Lagos, au Nigeria.
« Ces projets ont été sélectionnés pour leur potentiel impact, leur capacité à changer le quotidien de millions de citoyens africains vivant en zone urbaine, mais aussi pour leur dimension inclusive, et pour les bénéfices qu’ils apportent en termes de lutte et d’adaptation face aux changements climatiques », a déclaré Mike Salawou, directeur du Département infrastructure et développement urbain à la Banque qui préside le comité technique.
Lancé en 2019, le Fonds de développement urbain et municipal agit comme facilitateur et accélérateur de projets d’infrastructures en promouvant une approche globale qui consiste à favoriser les synergies entre les secteurs, à renforcer les capacités des acteurs locaux, et à stimuler le dialogue avec les bailleurs publics et privés.
hn
CMOC Group Limited (CMOC) a annoncé, le 22 mars, des performances financières et opérationnelles sans précédent pour l'année 2023. Affichant une croissance annuelle solide de 35,98 %, le bénéfice net de la société, attribuable à la maison mère, a atteint 1,17 milliard USD, soutenu par des revenus en hausse à 26,52 milliards USD.
Le secteur minier s'est distingué par sa performance exceptionnelle en enregistrant un flux de trésorerie d'exploitation de 2,21 milliards de dollars américains. Le secteur du négoce, représenté par IXM, a enregistré une croissance historique de 613% du bénéfice net en glissement annuel (YoY). Cette étape historique positionne CMOC en tant que leader dans l'industrie.
"Notre performance financière exceptionnelle de cette année témoigne du travail acharné de toutes les entités et des stratégies innovantes que nous avons mises en œuvre", a déclaré M. Sun Ruiwen, CEO du groupe CMOC. "Ces réalisations ne sont pas que de simples chiffres ; elles représentent notre engagement en faveur de l'excellence, d’une croissance durable et de notre capacité à nous adapter et à prospérer dans un environnement de marché en constante évolution."
Une hausse significative de la production sur tous les produits par rapport à l'année précédente
En 2023, CMOC a enregistré une croissance annuelle sur toutes ses lignes de produits, atteignant des sommets historiques dans la production de cuivre, de cobalt, de niobium et d'engrais phosphatés. En particulier, la production de cuivre du groupe a atteint 419 539 tonnes et la production de cobalt 5 5526 tonnes, avec une croissance annuelle, respectivement, de 51 % et 174 % pour le cuivre et le cobalt. CMOC s'est ainsi positionné parmi les principaux producteurs mondiaux de cuivre et est devenu le plus grand producteur de cobalt.
La mine de cuivre-cobalt KFM de CMOC a produit un rendement substantiel avec 113 690 tonnes de cuivre et 33 871 tonnes de cobalt. Les productions de cuivre et de cobalt de Tenke Fungurume Mining (TFM) ont atteint respectivement 280 297 tonnes et 21 655 tonnes. De plus, avec les cinq lignes de production de cuivre-cobalt de TFM ayant toutes démarré leur production en 2023, sa capacité de production actuelle de cuivre et de cobalt est de 450 000 tonnes et 37 000 tonnes respectivement.
Engagement en matière d'ESG et de soutien à la communauté
Outre ses succès financiers et opérationnels, CMOC a réalisé des avancées significatives en matière de performances environnementales, sociales et de gouvernance (ESG). En 2023, la note MSCI ESG de CMOC a été relevée à AA et IXM s'est vu décerner la médaille d'or par EcoVadis.
Avec une intensité carbone inférieure de 95 % à la moyenne du secteur et des sources renouvelables représentant 41 % de la consommation globale d'énergie, la société établit une norme de classe mondiale en matière de gestion de l'environnement.
En 2023, les contributions économiques directes de CMOC s'élevaient à environ 26,04 milliards de dollars américains, ce qui témoigne de l'impact de l'entreprise sur la croissance économique et de sa vision en tant qu'acteur clé sur le marché mondial.
"Nous sommes fiers de nos réalisations en matière de développement durable et de soutien à la communauté. Nos efforts pour réduire l'intensité carbone, utiliser les énergies renouvelables et investir dans des projets communautaires mondiaux illustrent notre engagement à avoir un impact positif sur la planète et sur la vie des personnes dans les communautés que nous servons", a souligné M. Sun Ruiwen, le CEO du groupe CMOC.
hn
Les autorités des ports du golfe de Guinée se sont réunies lors d'un séminaire pour améliorer leurs compétences dans la gestion des crises portuaires du 18 au 22 mars 2024 à l'Académie régionale des sciences techniques de la mer (ARSTM) à Yopougon-Abidjan, une formation importante pour préparer les acteurs à relever les défis sécuritaires dans la région.
Ce séminaire, financé à hauteur de 5 millions d'euros par l'Union européenne dans le cadre du projet EnMAR (Enhanced MARitime Action in the Gulf of Guinea), avait pour objectif principal d'améliorer la gestion des crises portuaires.
Le Colonel Karim Coulibaly, directeur général de l'ARSTM, a souligné lors de la clôture que la gestion efficace des crises portuaires est vitale face aux menaces actuelles en matière de sécurité et de sûreté. Il a mis en avant l'importance d'une organisation solide pour identifier les risques, élaborer des stratégies d'intervention et coordonner les actions.
Francesca Di Mauro, Ambassadrice de la délégation de l’Union européenne en Côte d'Ivoire, a souligné l'importance cruciale de sécuriser les infrastructures portuaires, compte tenu du fait que 80% du commerce mondial transite par les voies maritimes.
Elle a rappelé d’ailleurs les incidents tragiques survenus récemment dans les ports de Beyrouth et de Conakry, soulignant ainsi l'urgence d'une telle formation.
Pour Jean-Marie Koffi, Secrétaire général, cette formation a permis d'évaluer la sécurité dans la zone AGPAOC et de mettre en lumière l'importance cruciale de sécuriser les ports pour assurer le bien-être économique des pays côtiers.
Il a indiqué la nécessité d'une planification minutieuse et d'une coordination efficace pour garantir la sécurité des infrastructures portuaires et des communautés environnantes.
Le séminaire, axé sur la pratique et la simulation, a permis aux participants d'approfondir leurs connaissances sur la gestion de crise, la prise de décision en situation d'incertitude et la communication de crise.
Des exercices de média training ont également été réalisés pour préparer les responsables portuaires à gérer les situations de crise.
Anne Giudicelli experte à Expertise France a souligné l'importance de réunir les acteurs portuaires pour faire face à des menaces qui dépassent les frontières nationales, nécessitant une approche collaborative et professionnelle.
Elle a mis en avant les défis multiples auxquels sont confrontés les ports, notamment les risques criminels, environnementaux et terroristes, nécessitant des dispositifs de gestion de crise solides et adaptés.
Fabrice Tollary, expert international en gestion de crise pour le projet ENMAR, a ressorti le caractère stratégique et politique de cette formation. Il a noté que le séminaire a permis aux participants de partager leurs expériences et de travailler sur des aspects essentiels tels que la prise de décision et la simulation d'événements catastrophiques.
Cette rencontre a donc constitué une étape importante dans la préparation des ports du golfe de Guinée à faire face aux défis sécuritaires croissants. Il a renforcé les capacités des acteurs clés et a jeté les bases d'une collaboration régionale renforcée pour assurer la sécurité et la prospérité des infrastructures portuaires dans cette région maritime vitale pour l'économie mondiale.
KM
Le soir est tombé sur la médina de Marrakech. Des lanternes en fer forgé éclairent les rues étroites du souk, l’air ambiant dévoile des odeurs de safran et de menthe tandis que le bruit métallique des cymbales des porteurs d’eau se mélange joyeusement à l’effervescence des labyrinthes des rues commerçantes.
C’est ici, dans ce site classé au patrimoine mondial de l’Unesco, que Zineb Iraqi, entrepreneure sociale et co-fondatrice de la coopérative Maison Malake, vient chercher l’inspiration pour développer ses produits. Carrefour de civilisations et de routes commerciales depuis des siècles, Marrakech la fascine. « J’y vais souvent avec mes associés pour essayer de nouvelles saveurs et développer de nouvelles recettes », raconte-t-elle.
Depuis l’an dernier, Maison Malake produit des pâtes à tartiner à base de noix de cajou provenant de Guinée Conakry et d’ingrédients 100 % naturels, issus de l’agriculture biologique. Riche en protéines, en antioxydants, en cuivre et en magnésium, la noix de cajou est un aliment de choix avec un potentiel énorme mais encore peu connu.
L’idée de valoriser et de transformer la noix de cajou est venue à Zineb et à ses partenaires, Ali Akdim, Aïcha Bammoun, et Said Abdelkader El Figuigui, lors d’une visite d’une plantation d’anacarde - l’autre nom de la noix de cajou - en Guinée Conakry. Convaincus du potentiel de cette noix, les quatre amis ont alors décidé de fonder ensemble une coopérative sociale et lui ont donné le nom de « Malake », qui signifie « l’ange » en arabe classique. Fiers de représenter une Afrique riche et diverse dans ses origines, ils ont ainsi voulu lui rendre hommage. « Nous aimons l’Afrique et nous avons voulu donner du sens à notre action », explique Zineb.
Maison Malake s’applique à développer des partenariats durables sur l’ensemble de sa chaîne de valeur, depuis son réseau de producteurs et fournisseurs jusqu’à ses distributeurs et clients. La coopérative œuvre à la préservation et au développement des écosystèmes, tout en poursuivant une exploration continue vers l’innovation. Répondant à une démarche de « qualité pour tous », les produits de Maison Malake sont dorénavant disponibles sur l’ensemble du territoire marocain.
Si Maison Malake a pu rapidement se déployer au Maroc, c’est notamment grâce à Eden Souk, la première marketplace du pays dédiée aux produits bio et naturels. Une plateforme soutenue par la Banque africaine de développement à travers le fonds d’investissement Azur Innovation Fund. Eden Souk veille à ce que les producteurs soient mieux rémunérés car le commerce équitable leur garantit de meilleures marges. Les consommateurs, qui recherchent des produits contrôlés, authentiques et de bien-être, sont rassurés par l’origine et la qualité des produits vendus en circuit court, ce qui limite de surcroît l’empreinte carbone.
Zineb Iraqi porte en elle l’énergie des jeunes entrepreneurs du continent qui valorisent les savoirs et savoir-faire africains dans une perspective Sud-Sud. Son ambition : exporter le Made in Africa dans le monde entier. Le sourire aux lèvres, Zineb envisage « un avenir où l’Afrique promeut sa jeunesse, ses femmes, et prospère ».
SOURCE: BAD
Plus de quatre milliards de personnes dans le monde participeront cette année à des élections, notamment aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Inde et en Afrique du Sud. Cependant, la prévalence croissante de la désinformation, alimentée par l'utilisation grandissante des deepfakes et de l'intelligence artificielle générative, signifie que les politiciens et les électeurs devront être en alerte maximale.
Dans le rapport sur les risques mondiaux 2024, le Forum économique mondial a identifié la désinformation et la mésinformation générées par l'IA comme le deuxième risque mondial le plus important après les conditions météorologiques extrêmes. Cette préoccupation est bien fondée, surtout avec la montée rapide d'outils comme les deepfakes activés par l'IA générative, qui menacent l'intégrité des processus démocratiques. Les deepfakes, qui sont des vidéos ou des images fabriquées très réalistes, peuvent tromper les électeurs, manipuler l'opinion publique et ternir la réputation des partis politiques et des politiciens.
Anna Collard, vice-présidente de la stratégie de contenu et évangéliste chez KnowBe4 AFRICA, une organisation de formation en cybersécurité, déclare que la qualité des deepfakes s'est considérablement améliorée au cours de la dernière année, les rendant plus convaincants et difficiles à identifier. Dans un incident notable d'octobre dernier, des cybercriminels ont utilisé des vidéos deepfake pour se faire passer pour le président de la Commission de l'Union africaine Moussa Faki Mahamat lors de conversations en ligne avec des diplomates européens. De même, en décembre, Facebook a supprimé plus de 100 publicités deepfake payantes mettant en vedette le premier ministre britannique Rishi Sunak après que près d'un demi-million de personnes les ont vues.
"Les deepfakes posent des risques majeurs à l'approche des élections, au Royaume-Uni comme en Afrique du Sud", déclare Collard. "Les électeurs doivent être conscients de ce risque et prendre des mesures proactives pour en atténuer l'impact."
Être conscient des deepfakes
Selon Collard, la première étape pour lutter contre l'impact de la désinformation grâce aux deepfakes est de sensibiliser le public. "Il est crucial que le public soit conscient de l'existence de ce phénomène", insiste-t-elle, ajoutant : "La production de vidéos et d'images deepfake est bon marché et facile."
CounterCloud, un projet de recherche visant à montrer la facilité de créer des campagnes de désinformation entièrement automatisées, a fonctionné avec un budget modeste de seulement 400 $. Son objectif était de contrer les dépeintures négatives des États-Unis propagées par les médias russes. "Si vous êtes un politicien, attendez-vous à ce que des deepfakes vous imitant apparaissent pour influencer l'opinion publique", affirme-t-elle. "De même, les électeurs ne devraient pas croire que tout ce qu'ils voient ou entendent sur les réseaux sociaux est vrai."
Vérifier les informations
Outre la sensibilisation, un autre principe crucial est la vérification des informations. "Si un politicien a prétendument dit quelque chose de profondément polarisant, il est important de vérifier s'il l'a vraiment dit". Pour contrer le risque des deepfakes, la Commission électorale indépendante (IEC), en collaboration avec Media Monitoring Africa, a lancé une initiative appelée Padre. Cette initiative permet aux électeurs de vérifier les informations concernant les partis politiques sud-africains et leurs déclarations récentes.
La recherche d'images inversées de Google est un autre outil utile qui vous permet de vérifier si une image en ligne a été utilisée ailleurs. De plus, FotoForensics fournit une analyse plus approfondie des images. Cependant, malgré ces outils, la vérification des informations reste un défi. "Les deepfakes deviennent plus convaincants, ce qui rend la vérification des informations encore plus difficile", déclare Collard.
Ne pas surréagir
Enfin, lorsqu'elle est confrontée à un contenu incendiaire, Collard insiste sur l'importance de ne pas surréagir. "Les escrocs veulent attiser vos émotions et vous mettre dans un état où vous êtes incapables de penser rationnellement", dit-elle. "Restez calme et ne partagez pas de contenu trop émotionnel. Chaque fois que vos émotions sont déclenchées, ralentissez et vérifiez - il pourrait s'agir d'un canular."
Collard estime qu'il est de la responsabilité de chaque électeur de s'informer sur les dangers des deepfakes. "Les contenus générés artificiellement ont d'énormes implications pour la société, en particulier pendant les périodes électorales", déclare-t-elle. "Pour lutter contre cette forme de désinformation et sauvegarder le processus démocratique, les plateformes de médias sociaux, les partis politiques et les chiens de garde indépendants ainsi que nous, le public, devrons tous travailler ensemble."
hn
Les responsables des directions portuaires se sont réunis à l'Académie régionale des sciences techniques de la mer (ARSTM) à Yopougon-Abidjan le lundi 18 mars 2024 pour un séminaire crucial axé sur le renforcement de leurs compétences dans la gestion des crises portuaires.
Le Golfe de Guinée, zone d'une activité maritime dynamique, est le théâtre de multiples défis sécuritaires et opérationnels.
Dans ses propos, Karim Coulibaly, directeur général de l'ARSTM a souligné l'urgence de cette formation, mettant en lumière les défis sécuritaires et de sûreté auxquels sont confrontés les ports de la région.
Il a également insisté sur l'importance de maîtriser les aspects essentiels de la gestion des crises pour assurer la continuité des opérations portuaires dans des conditions optimales.
Marie Gibrat, représentante de l'Union Européenne (UE) et cheffe du projet Enmar, l’a soutenu en soulignant l'importance capitale de la gestion des crises.
Elle a exprimé le soutien actif de son institution à cette initiative, soulignant ainsi la confiance entre l'UE et les États du golfe de Guinée dans la résolution de ces enjeux critiques.
"La gestion des crises reste un enjeu majeur, et c'est pourquoi nous soutenons activement cette initiative", a affirmé Gibrat, mettant en avant l'engagement de l'UE dans la sécurisation des activités portuaires dans la région.
Fabrice Tollary, expert en gestion de crises d'Expertise France, a dévoilé le programme détaillé du séminaire. Il a mis en lumière l'importance de l'analyse des crises passées, la prise de décision en situation de crise, la communication de crise et l'organisation d'exercices pratiques dans le renforcement des compétences des responsables portuaires.
"Cette formation offre une opportunité pour les responsables portuaires de développer leurs compétences en gestion de crises", a souligné Tollary, mettant en avant l'impact transformateur de cette initiative sur la résilience des ports du Golfe de Guinée.
Organisée par Expertise France dans le cadre du projet Enmar avec le soutien financier de l'UE, cette formation illustre la collaboration étroite entre les acteurs régionaux et internationaux dans la promotion de la sécurité maritime.
En partenariat avec l'Institut de sécurité maritime interrégional (ISMI), cette initiative souligne l'importance cruciale de la coopération régionale dans la gestion efficace des crises portuaires.
En renforçant les compétences et les capacités des responsables portuaires, ce séminaire s'inscrit dans une démarche proactive visant à garantir la sécurité et la stabilité des opérations portuaires dans le Golfe de Guinée, assurant ainsi le développement durable de la région dans son ensemble.
km
À l’heure où la connectivité numérique fait partie de notre vie quotidienne, TikTok, pionnier de la vidéo mobile au format court, a le plaisir d'annoncer la signature d'un partenariat de premier plan avec la Commission de l'Union africaine Femmes, Genre et Jeunesse (WGYD), afin de renforcer les efforts de sensibilisation à la sécurité en ligne des jeunes, de leurs parents ou tuteurs, et des enseignants en Afrique.
Cette collaboration innovante voit le jour à un moment primordial en répondant au besoin urgent de sécurité numérique face aux défis particuliers auxquels le continent est confronté. En effet, l'Afrique se trouve à la croisée des chemins numériques, entre développement rapide des plateformes sociales et inquiétudes croissantes pour la sécurité de ses jeunes citoyens. La récente vague de contrôles réglementaires et les potentielles interdictions, soulignent l’importance de prendre des mesures proactives pour garantir la sûreté de l’environnement numérique.
Dans ce contexte, TikTok et la Commission de l'Union africaine s’associent pour lancer, en Afrique, la campagne #SaferTogether. L'objectif de cette campagne est d’éduquer et de sensibiliser les jeunes, les parents, les enseignants et les dirigeants communautaires à la sécurité numérique, via des activations mises en place sur l'application TikTok et sur le terrain. Cette initiative phare et pluriannuelle, a été lancée le 14 mars dernier dans le cadre du sommet "TikTok Safer Internet" qui s'est tenu à Accra (Ghana), et auquel ont participé plusieurs responsables gouvernementaux et régulateurs issus de tout le continent. Elle souligne l’engagement des deux partenaires en faveur de l'éducation et de la sécurité numériques. TikTok propose un environnement sûr en renforçant sans cesse ses mesures de sécurité et s’associe avec la Commission de l'Union africaine pour promouvoir la sécurité et rendre les jeunes autonomes dans l’espace numérique, tout en faisant progresser la numérisation de l’Afrique pour le bien-être de la jeunesse. En joignant leurs efforts pour garantir des conversations plus sûres sur Internet, TikTok et la Commission de l'Union africaine s’engagent à fournir du matériel et des conseils pédagogiques pertinents afin de créer un parcours en ligne positif et sécurisé, pour tous.
Cette initiative, qui combine des activations tant sur l'application que sur le terrain, vise à éduquer et responsabiliser les communautés en matière de sécurité numérique. Elle s’aligne étroitement sur la priorité donnée par la Commission de l'Union africaine à la sécurité des enfants dans l'univers numérique et à la Stratégie de Transformation Numérique pour l'Afrique.
Ainsi, il sera possible de trouver sur TikTok des vidéos éducatives sur la sécurité en ligne, appuyées par des "hashtag challenges", ou bien encore des recommandations de créateurs de contenu. De plus, TikTok et la Commission de l'Union africaine distribueront des « boîtes à outils de sécurité numérique » pour aider enseignants et tuteurs à aborder les problèmes cruciaux de sécurité numérique. Ces ressources seront accessibles sur TikTok au travers d'un microsite dédié, qui servira de guide interactif pour promouvoir des pratiques en ligne plus sûres.
Fortune Mgwili-Sibanda, Directeur des relations gouvernementales et des politiques publiques chez TikTok pour l’Afrique subsaharienne, a souligné le caractère stratégique de cette collaboration : « Notre partenariat #SaferTogether avec la Commission de l'Union africaine Femmes, Genre et Jeunesse, renforce l’engagement indéfectible de TikTok en faveur de la diversité des marchés au travers de l'Afrique. Grâce à des initiatives telles que nos ateliers éducatifs et le développement de boîtes à outils complètes dédiées à la sécurité, nous nous engageons à favoriser un environnement numérique sûr, pour tous. »
Faisant écho à cette déclaration, Madame Prudence Nonkululeko Ngwenya, Directeur de la Direction des Femmes, Genre et de la Jeunesse de l'Union africaine a salué ce partenariat en tant qu’étape essentielle vers l'autonomie de la jeunesse africaine et la sauvegarde de son avenir numérique : "Le lancement de la campagne #SaferTogether avec TikTok, s'inscrit dans la continuité des efforts déployés par l'Union africaine pour promouvoir et défendre non seulement des expériences en ligne sûres pour les jeunes en Afrique, mais aussi leur bien-être mental par le biais de l'initiative "1 Million Next Level". Si l'accès à Internet peut aider les enfants et les jeunes à rester connectés, à améliorer leur culture numérique et à diversifier leurs moyens de subsistance, il est essentiel qu'ils bénéficient d'un environnement sûr pour tirer profit des plateformes numériques."
Au travers de plans and d'initiatives à l'échelle continentale, tels que la Stratégie de Transformation Numérique pour l'Afrique et "1 Million Next Level Initiative", la Commission de l'Union africaine vise non seulement à promouvoir un meilleur accès aux plateformes numériques pour les jeunes, mais aussi à encourager leur utilisation en toute sécurité afin de résoudre les risques liés à l'utilisation de l'internet. TikTok s'engage à mettre en œuvre des mesures de sécurité efficaces et à permettre aux utilisateurs de contrôler leurs comptes et leur contenu. Cet engagement se reflète dans ses Règles Communautaires et ses Règles de Modération rigoureuses, qui favorisent une approche de la sécurité axée sur la communauté en encourageant la participation active des utilisateurs à la protection de la communauté. Les utilisateurs sont invités à signaler tout contenu qui enfreint les Règles Communautaires et à interagir entre eux de façon respectueuse.
Au travers de cet engagement, TikTok et la Commission de l'Union africaine réaffirment leur promesse commune de créer une communauté en ligne plus inclusive et plus sûre pour les jeunes Africains. Grâce à la fusion de la technologie et de l'éducation, ce partenariat donnera aux jeunes les outils et la confiance nécessaires pour naviguer dans les complexités du monde numérique avec sagesse et sécurité.
NG
Le nouveau Représentant Permanent de la République de Türkiye auprès de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI), S.E. l’Ambassadeur Cenk Uraz, a présenté, dimanche 17 mars 2024, ses lettres de créance au Secrétaire Général de l’OCI, S.E. M. Hissein Brahim Taha.
Au cours de la réunion qui a suivi, le Secrétaire général a félicité le Représentant permanent pour sa nomination et a exprimé son appréciation du rôle et du leadership de la Türkiye dans la promotion des idéaux de l’OCI.
Le Représentant Permanent a rendu hommage au Secrétaire Général pour l’importance du mandat qui lui est confié dans la promotion de l’Action Islamique Commune, et l’a assuré de l’étroite coopération de la République de Türkiye dans la réalisation des nobles objectifs de la Charte de l’OCI.
Les deux parties ont échangé les vues sur les principales questions inscrites à l’ordre du jour de l’OCI ainsi que sur d’autres questions d’intérêt commun.
hn
La Banque africaine de développement a signé, le vendredi 15 mars à Rabat, un accord de prêt de 100 millions d'euros avec le Fonds d'équipement communal (FEC) pour financer de nouveaux projets d'investissement et d'infrastructures durables portés par les collectivités territoriales.
L'objectif de cette opération est de renforcer et de moderniser l’offre de services publics, notamment en milieu rural, et de faire émerger de nouvelles activités économiques et opportunités d'investissement et d'emploi pour contribuer à l'amélioration des conditions de vie des populations locales.
« Ce partenariat avec le FEC est une première. Nous en sommes très heureux. À travers l'investissement dans des infrastructures de dernière génération, notre priorité est d'inclure les territoires et de renforcer leur attractivité pour devenir de véritables pôles de développement et de compétitivité. Le plus important est le bénéfice attendu pour les populations locales », s’est réjoui Achraf Hassan Tarsim, le responsable-pays de la Banque africaine de développement pour le Maroc.
En soutenant le mouvement de décentralisation engagé par le Maroc, cette facilité contribuera à consolider et à diversifier les capacités de production du pays et à accompagner la dynamique de croissance dans les secteurs clés de l'économie. Sa finalité est de contribuer au renforcement de la compétitivité du pays et de ses territoires, à créer de nouvelles opportunités d'emploi, y compris pour les jeunes et les femmes, et à générer d'importantes recettes fiscales additionnelles pour l'État.
« La conclusion de cet accord de prêt avec la Banque africaine de développement s'inscrit dans la stratégie d'ouverture du FEC sur les financements à l'International. Elle ouvre la voie à de nouvelles opérations bilatérales pour poursuivre, conjointement avec confiance et détermination, le financement du développement des territoires et l'accompagnement de leur dynamique de croissance », a salué Omar Lahlou, gouverneur, directeur général du Fonds d’équipement communal.
En phase avec les cinq priorités stratégiques de la Banque, les « High 5 », ce projet répond aux objectifs du Maroc en matière de développement, d'industrialisation et d'amélioration de la qualité de vie des populations.
Membre fondateur de la Banque africaine de développement, le Maroc est un des principaux pays bénéficiaires de l'institution, avec un engagement cumulé de plus de 12 milliards de dollars américains. Ces financements couvrent différents secteurs, dont notamment l'énergie, l'eau, les transports, l'agriculture, le secteur financier ainsi que le développement social.
Banque publique dédiée au financement du développement territorial, le FEC est, depuis près de 65 ans, le partenaire technique et financier de référence des collectivités territoriales marocaines.
hn
Placée Sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, la 2ème édition de GITEX Africa aura lieu du 29 au 31 mai 2024, sous l'autorité du Ministère Marocain de la Transition Numérique et de la Réforme de l'Administration et sera accueilli par l'Agence de Développement Digital (ADD).
La 1ère édition du Gitex Africa était d’un succès retentissant comme l’a confirmé la communauté technologique qui a été présente lors de cette édition et qui l’a qualifié de meilleure édition dans le monde de toutes les éditions inaugurales de salons professionnels toute industrie confondue. L'intérêt croissant qu’a suscité cet évènement à l'échelle mondiale pour l'exploration de divers sujets technologiques renforce actuellement la position du GITEX Africa, propulsant à cet effet un nouveau souffle dans un écosystème numérique en plein essor et contribuant aussi à la dynamique technologique sur l'un des marchés les plus actifs au monde.
Le GITEX Africa 2024 connaitra la présence de milliers de participants de tout le continent et du monde entier pour des échanges d'envergure et des partenariats stratégiques. Cet événement permettra des discussions autour des avancées technologiques significatives dans divers secteurs, notamment le cloud, l'IoT, la cybersécurité, la e-santé, la finance, les technologies grand public, les télécommunications et l'intelligence artificielle, et suscitera également un enthousiasme et un intérêt généralisé pour l’usage approprié de ces innovations.
Son Excellence Dr Ghita Mezzour, Ministre Marocaine de la Transition Numérique et de la Réforme de l'Administration, a rencontré récemment les organisateurs de l’évènement au Maroc. Cette rencontre était l’occasion de constater la dynamique accélérée que connait la construction de ce large site qui sera spécialement mis en place en vue de répondre à la demande croissante des exposants à l'échelle mondiale.
« Le succès de la 1ère édition du GITEX Africa Morocco souligne la volonté de notre continent pour le développement de la transition numérique du Maroc et son engagement à renforcer la coopération Sud-Sud dans le domaine du digital, ainsi que sa contribution à la promotion internationale du continent africain conformément à la Vision Eclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI », a déclaré Son Excellence Dr Mezzour.
« Nos ambitions grandissent alors que nous sommes en préparation de la 2ème édition dans la belle ville de Marrakech. Nous sommes impatients de rendre GITEX Africa Morocco un évènement encore plus remarquable ayant une représentation technologique diversifiée et influente, à la fois à l’échelle du continent qu’au niveau international. » Déclare Madame La Ministre.
Monsieur Mohammed Drissi Melyani, Directeur Général de l'ADD, a rajouté : « Le Royaume du Maroc a accueilli avec succès la première édition du GITEX Africa Morocco en 2023, qui a présenté l’Afrique comme un continent émergent dans l'économie digitale. La 2ème édition prévue en 2024 sera aussi l’occasion de renforcer et de soutenir les progrès de la transformation numérique de l'Afrique et de propulser la compétitivité des écosystèmes numériques du continent. »
Le World Future Health Africa accélère la révolution numérique de la santé sur le continent africain
Le GITEX Africa est organisé par KAOUN International, la filiale internationale du Dubai World Trade Centre (DWTC), qui organise le GITEX GLOBAL aux Émirats Arabes Unis, l'événement technologique et entrepreneurial le plus important et le plus réputé au monde. L'expansion de la vitrine technologique la plus puissante d'Afrique est amplifiée par le lancement, Sous l’égide du Ministère de la Transition Numérique et de la Réforme de l'Administration, du Ministère de la Santé et de la Protection Sociale et de l'Agence de Développement du Digital, du World Future Health Africa, prévu dans le cadre du Gitex Africa pour accélérer la révolution de la e-santé.
« GITEX Africa suit la même tendance prometteuse dans la découverte des technologies, créée lors de son édition inaugurale l'année dernière », a déclaré Trixie LohMirmand, PDG de KAOUN International, organisateur du GITEX Africa.
« La communauté mondiale a pu constater cette énergie croissante, cette curiosité accrue et cette demande grandissante des progrès numériques que connait le continent africain, et qui dépassent celles des continents développés. La richesse et la diversité de l’offre technologique, notamment l’IA dans la société et dans le monde des affaires qui suscite un grand intérêt au niveau du GITEX Africa, seront une expérience révélatrice favorisant le partage des connaissances et des opportunités de collaboration entre les secteurs public et privé, ainsi qu'entre les entreprises du monde entier ».
Le retour des géants de la technologie renforce la compétitivité technologique intercontinentale
La 2ème édition du GITEX Africa accueillera des exposants qui ont fait le choix de revenir au Gitex Africa après une participation concluante à la première édition historique de l'événement en 2023. Des grands groupes multinationaux tels qu'Epson, Honeywell, Kaspersky et Lexar font partie de ceux qui reviennent pour une deuxième session de collaborations stratégiques, propulsant la compétitivité des investisseurs en Afrique.
Neil Colquhoun, Vice-Président d'Epson Europe et du Moyen-Orient, a déclaré : « Epson est ravi d'annoncer sa participation pour la deuxième année consécutive au GITEX Africa. L'offre technologique d'Epson se concentrera principalement sur une gamme de solutions et de produits durables qui répondent aux préoccupations pressantes de nombreux secteurs industriels, ainsi que des petites et moyennes entreprises de la région. »
Presight, une société spécialisée dans l'analyse du big data alimentée par l'IA et faisant partie de G42, la principale société holding de développement de l'IA des Émirats Arabes Unis, sera également de retour : « L'Afrique est notre priorité ; c'est le nouveau continent émergent pour les compétences en matière du développement numérique et de la transformation digitale », a déclaré Thomas Pramotedham, PDG de Presight.
« Presight mène plusieurs programmes de transformation numérique avec plusieurs gouvernements africains. Nous visons en 2024 à contribuer encore plus à l'écosystème technologique florissant du continent. Notre objectif est de produire un impact sociétal positif en utilisant nos capacités d'analyse de big data alimentées par l'IA générative. Avec le rôle clé joué par le GITEX Africa, nous sommes enthousiastes à l'idée de participer aux discussions qui façonnent le parcours de transformation numérique du continent. »
Bertrand Trastour, Directeur Général, France et Afrique du Nord, Centrale et de l'Ouest de la principale entreprise mondiale de cybersécurité, Kaspersky, a rajouté : « Le GITEX Africa est une plateforme très importante pour Kaspersky car elle permet d'informer nos clients et partenaires sur notre stratégie de croissance et sur notre potentiel.
« La digitalisation est une priorité élevée sur les marchés africains, et la cybersécurité est la base de cette transformation réussie. Kaspersky offre une solution de cybersécurité complète pour la croissance des entreprises de ses clients, quel que soit leurs secteurs ou leurs activités »
Les pionniers marocains mettent en lumière des innovations révolutionnaires
Les figures de proue marocaines qui mènent le bal de la technologie et de l'innovation à travers la région seront de nouveau présentes à GITEX Africa 2024. Parmi elles, citons Maroc Data Centre, Zen Networks, Dataprotect et l'Université Polytechnique Mohammed VI (UM6P), partenaire officiel de l'événement pour la recherche et le développement.
« L'UM6P repousse les limites de la recherche et du développement, se posant comme un pilier d'innovation et d'entrepreneuriat pour l'Afrique et au-delà », a souligné Yassine Laghzioui, PDG de UM6P Ventures et responsable de l'entrepreneuriat et du venturing à l'UM6P.
Il ajoute avec enthousiasme : « Participer à GITEX Africa est pour nous une fierté, non seulement en tant que leader de la collaboration en R&D, mais aussi comme un phare d'innovation. Notre collaboration avec GITEX Africa reflète notre engagement à encourager le progrès dans les sciences, la technologie et l'investissement. »
M. Laghzioui a ensuite ajouté : « Notre but est de soutenir et d'élargir les entreprises DeepTech à travers l'Afrique via nos programmes dédiés à l'entrepreneuriat et au capital-risque, étendant notre influence bien au-delà du Maroc. GITEX Africa représente pour l'UM6P une opportunité exceptionnelle d'établir des partenariats stratégiques et de mettre en avant nos initiatives avant-gardistes dans divers domaines tels que la HealthTech, la BioTech, l'AgriTech et la GreenTech. Ces initiatives sont le fruit des laboratoires d'innovation de l'UM6P et de notre écosystème élargi, prêts à relever les défis majeurs du continent. »
La vague d'investissements des start-up régionales et des Venture Capital monte en puissance au North Star Africa
GITEX Africa 2024 proposera une vitrine de la North Star Africa, rassemblant la plus vaste sélection de start-up et d'entreprises en plein essor jamais réunies sur le continent africain. Les entrepreneurs les plus ambitieux et les plus novateurs collaboreront avec des accélérateurs et des investisseurs africains et internationaux pour développer des opportunités commerciales dans une région qui devrait lever 10 milliards de dollars de fonds de capital-risque d'ici 2025.
La North Star Africa étend son influence à travers les quatre coins du deuxième plus grand continent du monde et au-delà, incitant les investisseurs à rechercher et à soutenir les prochaines licornes potentielles qui répondront aux plus grands défis de l'Afrique.
De plus, d'autres prix seront décernés, pour des entreprises innovantes du monde entier qui vont concourir pour remporter ces prix lors du Supernova Challenge, le concours de pitch de start-up le plus convoité et le plus prestigieux d'Afrique, offrant une somme de 100 000 dollars à gagner dans six catégories.
hn