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Les transactions commerciales modernes et tout singulièrement le secteur des supermarchés, en Côte d’Ivoire, ont connu ces deux dernières années leurs plus importantes mutations, signes des énormes potentiels de performances dont ils renferment. Ce sont les principales conclusions issues de la «Nielsen Shopper World Conference» tenue à Abidjan (Côte d’Ivoire), même si la traditionnelle vente au détail prédomine toujours dans les transactions commerciales dans ce pays ouest-africain.
Un élément déterminant a accéléré ces mutations précitées dans le monde des supermarchés en Côte d’Ivoire. Il s’agit de l’ouverture dans ce pays de succursales de grandes marques comme «Carrefour», «Bonprix», et un perceptible grandissant attachement des consommateurs ivoiriens à ces types modernes de vendeurs offrant une grande variété de produits et services compétitifs et défiant toute concurrence. Une offre de service et de produits qui tranche singulièrement avec ceux fournis jusqu’à présent par des supermarchés de taille modeste dont les activités promotionnelles sont sujettes et marquées par diverses formes de marchandages.
Un constat qu’a commenté durant la Conférence à Abidjan, Yannick Nkembe, responsable Afrique francophone chez «Nielsen», en ces termes : «Les réflexes des Ivoiriens vis-à-vis du commerce traditionnel ont encore la vie dure dans ce pays. Une tendance qui met en concurrence le choix entre un éventail de marchandages à opérer, dans l’optique de tout achat dans les marchés traditionnels africains et la disponibilité de tous les articles désirés dans un seul et même endroit. Cependant, la tendance actuelle, selon les exigences du commerce moderne, penche vers des supermarchés, à cause essentiellement de l’émergence d’une classe moyenne.
Par ailleurs, les divers services ou produits qu’offrent les supermarchés pour surclasser ceux fournis dans les marchés classiques comme les produits frais et consorts dopent l’attraction qu’ils exercent sur les acheteurs. Pour conquérir davantage de clientèles, il est donc clair que les supermarchés, quel que soit leur format, doivent jouer sur cette concurrence précitée pour percer».
Un modèle économique
Le développement rapide du secteur de la vente en détail ne surprend guère en Côte d’Ivoire, au regard des performances de l’économie ivoirienne suivant les indicateurs du «Nielsen’s Africa Prospects (APi)». La Côte d’Ivoire a occupé les premiers rangs du classement des pays africains suivant les critères du «Nielsen’s Africa Prospects (APi)», devant plusieurs grands concurrents du continent.
La «Nielsen World Conference» à Abidjan a également fait une bonne place à la présentation d’une communication sur les actuelles inclinations des clients des supermarchés en Côte d’Ivoire. Il en ressort que ces inclinations ont connu plusieurs mutations et ont été accélérées par les facilités au monde des affaires qu’offre l’économie ivoirienne. Cette communication a aussi fait état en Côte d’Ivoire d’une croissance du PIB, de la cotation de diverses sociétés locales, une consolidation du secteur bancaire, une inflation baisse et maîtrisée et de solides infrastructures.
Ces indicateurs sont des témoins de la santé vigoureuse du secteur commercial en Côte d’Ivoire, qui balise lui-même la voie à l’émergence d’offres de services modernes en la matière. A l’heure actuelle, les supermarchés représentent seulement une infime part dans le lot des magasins en zone urbaine; cependant, un énorme potentiel de croissance existe dans ce domaine, car seulement 35% des clients ivoiriens font leurs courses en supermarchés, pour essentiellement des besoins en réapprovisionnements alimentaires hebdomadaires et mensuels. Une photographie qui donne une idée de la palette d’opportunités qui s’offrent aux supermarchés pour diversifier la gamme de leurs produits et services servis à leur clientèle, à des prix compétitifs, le tout adossé une campagne promotionnelle raffinée.
La croissance du secteur des supermarchés mise en lumière par l’étude précitée a en outre révélé que les clients de ces magasins sont hyper sensibles aux prix qui y sont fixés. Un réflexe qui s’explique par le fait que 42% de ce type de clients connaissent le prix de base de la plupart des articles qu’ils souhaitent payer, et le font savoir chaque fois que ce prix subit des fluctuations. Dans le lot de ces clients, 37% confessent qu’ils ne connaissent pas tous les prix indexés aux articles mis en vente, mais généralement alertent sur toute valse du coût des produits mis en vente. La clientèle ivoirienne des supermarchés est de ce fait parfaitement réceptive à un étiquetage de prix clairement identifiable, attrayant, mis en vitrine et promu sur internet via des sites, marques d’une modernisation de l’environnement commercial dans leur pays.
La même clientèle est fidèle aux magasins qu’elle fréquente, car l’étude a révélé que 46% de clients affirment changer rarement de lieu d’achat, mais soulignent qu’ils sont très attentifs aux promotions dans leurs supermarchés habituels. Des statistiques qui augurent de bonnes affaires pour les propriétaires de supermarchés qui ont ainsi la possibilité de tirer parti de cette fidélité de leur clientèle, en lui offrant des campagnes promotionnelles qui en retour devraient doper leurs recettes.
Héritages commerciaux
En dépit du saut visible vers la modernité dans l’univers commercial ivoirien, les courses des Ivoiriens se font toujours majoritairement auprès de vendeurs indépendants comme les tenanciers des kiosks, dans les marchés classiques et consorts.
Ces marchés et autres lieux d’achat classiques attirent actuellement 2/3 des clients ivoiriens qui s’y approvisionnent à plusieurs reprises par semaine.
Le rôle cardinal de ces marchés et magasins classiques tenus par des personnes physiques indépendantes dans la vie quotidienne des Ivoiriens est avéré, d’autant plus que 23% des personnes enquêtées à ce sujet déclarent qu’ils y achètent quotidiennement des biens vitaux, et 21% y paient des articles liés à des urgences.
Mental du client
Cette étude précitée sur la clientèle des supermarchés révèle par ailleurs un détail important, selon lequel 82% des acheteurs des supermarchés urbains affirment tirer un «grand plaisir en y faisant des courses». Dans l’optique de capitaliser sur une telle habitude, les propriétaires de supermarchés devraient optimiser leurs offres de services et de produits à travers une meilleure présentation de leurs rayons, une innovante valorisation de leurs articles par le truchement de leurs affichages. Le tout doit être soutenu par un singulier service clientèle qui doit pouvoir fidéliser les acheteurs.
D’autres informations découlant de la même enquête soulignent que les visiteurs ivoiriens des supermarchés arrêtent leurs choix avant de mettre pied en magasin ; ainsi, 88% d’entre eux confient planifier leurs achats avant de faire le shopping, et 77% déclarent projeter leurs dépenses en supermarché, au regard d’un budget rigoureux. Toutefois, 63% des clients sondés admettent payer des articles additionnels à leurs achats initiaux; une posture qui démontre que les Ivoiriens ne sont pas rétifs à des achats impulsifs.
Au regard de la notoriété croissante des transactions commerciales que proposent ces supermarchés et des projections de leurs propriétaires de fidéliser leurs actuels clients et d’en capter d’autres, Yannick Nkembe a eu cette phrase: «Poursuivre de mettre un accent sur les promotions, couplé à un service clientèle hors-pair demeureront incontournables pour revivifier les succursales des supermarchés et par contrecoup fidéliser le client ivoirien».
Certains pesticides utilisés dans l’agriculture sont un danger pour l’organisme de l’homme entraînent la diminution significative de la taille du pénis et la baisse de la fertilité autant chez l’homme que chez la femme à confié jeudi à Yamoussoukro, le professeur Kouadio Georges coordonnateur du projet de gestion des pesticides obsolètes et déchets associés en Côte d’Ivoire (PROGEP-CI).
Pr Kouadio qui s’exprimait lors de la présentation du projet PROGEP-CI aux députés, a indiqué que certains produits chimiques ont un impact sur le rétrécissement de certains de nos organes dont le sexe, compte tenu de leurs caractéristiques. « Quand ils sont en interaction avec un organe, ils peuvent aller au rétrécissement » , a expliqué le spécialiste, cité par l'AIP.
« Au niveau de la fécondité certains produits chimiques ne sont pas compatibles avec les spermatozoïdes ou le domaine des ovaires », a souligné le Pr Kouadio. Selon des études, le mauvais dosage des pesticides qui perturbe le système endocrinien en est la cause. Les scientifiques expliquent que les insecticides, les pesticides et les hormones contenus dans la nourriture animale ont un impact sur la formation de la verge qui se déroule pendant la grossesse, et sur les adultes.
Selon la direction de la Protection des végétaux, du contrôle et de la qualité (DPVCQ) de Côte d’Ivoire, les pesticides ne sont pas utilisés dans le cadre indiqué et selon l’usage pour lequel ils ont été fabriqués. Les pesticides frauduleux sont évalués à 25% du marché total des pesticides dans le pays. Le tonnage de pesticides commercialisé légalement en Côte d’Ivoire a triplé entre 1995 et 2014, et est estimé à environ 22 000 tonnes , et causent la mort de 250 000 personnes par an dans le monde.
Démarré en 2016, le PROGEP-CI est à sa phase d’inventaire sur l’ensemble du territoire national. Cette phase consiste à identifier les fabricants, les fournisseurs, et donateurs, les sites contaminés, à connaître la quantité disponible de pesticides homologués et prohibés dans le pays, et de prendre des dispositions écologiques rationnelles pour pouvoir les transporter, les stocker et les détruire ainsi que les déchets associés que sont les emballages vides.
L’objectif est d’arriver à une meilleure utilisation des pesticides homologués durant leur cycle de vie dans les conditions convenables, respectant la dose légale, les consignes et les règles , pour réduire l’impact négatif des pesticides pour préserver l’environnement et la santé des populations en produisant moins de déchets. Et surtout de débarrasser le pays des pesticides illégaux et frauduleux avec l’objectif de faire de la Côte d’Ivoire , le premier pays convoyeur de produits agricoles irréprochables avec une agriculture durable.
L’avion qui s’est écrasé dans la matinée du samedi 14 octobre 2017 sur une plage d’Abidjan a fait 4 morts et 6 blessés, selon un bilan communiqué par téléphone sur la télévision nationale ivoirienne RTI 1, par un porte-parole du Groupement des sapeurs-pompiers militaires de Côte d’Ivoire.
D’après ce dernier, il s’agit d’un avion-cargo de transport d’équipements militaires, destinés à la base l’armée française à Abidjan. L’appareil était en provenance de Ouagadougou (Burkina Faso).
« L’opération de sauvetage est terminée. Il nous reste à retirer la carcasse de l’avion pour éviter qu’elle dérive », a fait savoir la même source aux environs de 11 heures (GMT et locales).
AT
Un avion transportant 10 personnes s’est écrasé, dans la matinée du samedi 14 octobre, sur la plage de Port-Bouët au sud d’Abidjan.
Cette information, qui a été très vite fait le tour des réseaux sociaux ivoiriens, a été confirmée à La Diplomatique d’Abidjan (www.ladiplomatiquedabidjan.net) par des témoins.
Mais les récits restent encore divergents sur les circonstances de cet accident: les uns affirmants qu'il est advenu après que l'appareil ait raté son atterrissage à l’aéroport d'Abidjan, quand d'autre le situe après le décollage.
D’après des sources policières, il s'agit d'un avion-cargo (Photo), et l’on dénombre pour l’heure au moins trois blessés.
Nous y reviendrons.
AT
Le Ghana a ouvert, vendredi 13 octobre 2017, sa campagne 2017-2018 d’achat et de vente de cacao, avec la décision de maintenir le prix à la production aux niveaux de celui de la saison précédente, malgré la baisse des prix mondiaux.
Le prix du cacao est ainsi fixé à 7600 cedis du Ghana (environ 1730 dollars américains, soit 959.962,26 FCFA) la tonne (env. 959,96 FCFA/kg), a indiqué le ministre de l'Alimentation et de l'Agriculture, Owusu Afriyie-Akoto. Pour ce dernier, cette décision vise à éviter que la chute brutale des cours de l’or brun sur le marché international n’est un impact négatif sur la vie des agriculteurs.
Les prix mondiaux du cacao sont en chute libre depuis ces dix dernières années, baissant jusqu’à moins de 1900 dollars la tonne, contre 3000 dollars au début de la saison 2016-2017.
Cette situation, selon M. Afriyie-Akoto, a provoqué une baisse des recettes fiscales, au point que le Fonds de stabilisation n’arrive plus à amortir le gap afin que les agriculteurs aient un meilleur revenu.
Le gouvernement ghanéen a donc sacrifié sa côte part sur le prix à l’exportation, a déclaré le ministre.
Le Ghana et la Côte d'Ivoire, qui représentent 60 pour cent de la production mondiale de cacao, n’ont pas réussi à s’accorder sur un prix bord-champ commun avant l’ouverture de cette campagne de part et d’autre. Toute chose qui laisse planer des craintes à Abidjan, d’une fuite de la production ivoirien vers le voisin ghanéen, pour rattraper le différentiel de près de 260 FCFA de moins par rapport au prix au Ghana. Le prix bord-champs en Côte d’Ivoire ayant baissé cette année jusqu’à 700 FCFA le kg.
Armand Tanoh
C'est dans la ville balnéaire de Grand-Bassam que sera installé, d’ici peu, le premier office régional du tourisme », c’est ce qu’a indiqué M. Assielou, conseiller du Directeur de Côte d'Ivoire Tourisme, jeudi 12 octobre 2017, à l’occasion de la cérémonie d’ouverture de la première agence de voyage de Jumia Travail à Abidjan.
Selon lui, cet office va permettre de décentraliser Côte d'Ivoire Tourisme, afin d'une véritable promotion du tourisme ivoirien.
Il faut souligner que la destination ivoirienne est l’une des plus prisées au monde, mais le manque de structures pour la promotion des potentiels touristiques à travers le pays fait que le tourisme ivoirien peine à décoller.
Daniel Coulibaly
Les véritables causes des prix exorbitants des billets d’avion ou du moins une des causes seraient dues aux taxes aéroportuaires, selon Félix Kacou, chargé des ventes domestiques et de l’administration-Air Côte d’Ivoire. M. Kacou expliquait cette réalité, à l’occasion de la cérémonie d’ouverture de la première agence de voyage de Jumia Travail, le jeudi 12 octobre à Abidjan.
Selon lui, l’énorme coût des billets d’avion en Afrique proviennent principalement des taxes aéroportuaires qui sont interminables. En réalité, si ces taxes étaient réduites, les prix des billets d’avion pourront connaitre une baisse. Par exemple, Abidjan-Dakar, "il faut débourser une somme de 220 mille francs dans laquelle, il faut soustraire 114 mille francs de taxes aéroportuaires", a-t-il confié.
Daniel Coulibaly
Jumia Travel, leader panafricain de la réservation d’hôtels en ligne, vient d’ouvrir sa première agence de voyage dans la commune du Plateau à Abidjan, le jeudi 12 octobre 2017.
Selon Cyrille Nomel, directeur pays de Jumia Travel Côte d'Ivoire, l'objectif est de créer une proximité avec la clientèle. «Il aura une deuxième prévue dans les semaines à venir dans la commune de Cocody, précisément à Angré», a-t-il ajouté, annonçant aussi l’installation des box agences de voyage dans les gares d’une compagnie de transport à Abidjan.
Jumia Travel permet aussi à tous les voyageurs pour la destination Afrique, a-t-il rappelé, de réserver leur hôtel à travers sa plate-forme qui enregistre aujourd’hui 30 mille hôtels, dont 750 en Côte d’Ivoire pour 300 dans la capitale économique ivoirienne. « Notre collaboration avec les hôteliers a pour but de les aider à améliorer leurs services », a-t-il dit, sans manquer de relever la collaboration avec au moins 100 compagnies aériennes dont Air-Côte d’Ivoire.
Félix Kacou, chargé des ventes domestiques et de l’administration-Air Côte d’Ivoire, a salué cette collaboration. «C’est un partenariat complémentaire pour la promotion de la destination Côte d’Ivoire », a-t-il indiqué, précisant que la compagnie, en 4 ans d’existence, compte 10 avions, 20 dessertes, un réseau domestique dense avec 148 mille passagers, 2 agences de voyages, et détient 40% du trafic de la plateforme aéroportuaire régionale.
Daniel Coulibaly
Dans le cadre de sa stratégie de croissance en Afrique francophone, le groupe marocain Intelcia, leader panafricain de la relation clients, a ouvert à Abidjan un nouveau centre qui accueille depuis ce mardi ses premières sessions de formation, annonce l’AIP.
Depuis sa création en 2000, Intelcia s’est progressivement imposé comme un acteur majeur des métiers de l’externalisation de la relation clients dans différents secteurs, allant des télécoms, aux médias et nouvelles technologies, à l’e-commerce ou encore à l’assurance et prévoyance santé.
Avec actuellement plus de 9 000 collaborateurs en Europe et en Afrique, le développement du groupe sur son engagement auprès de ses clients, la diversification et le renforcement de son expertise, fait-on savoir.
Intelcia possède désormais 19 sites opérationnels dans le monde. Le montant de l’investissement pour ce dernier site est estimé à plus de deux millions d’euros et devrait engendrer la création de 500 emplois à court terme, avec un objectif de 1 000 emplois dans la région.
Pour le démarrage, le groupe offre différentes opportunités d’emplois (conseillers, managers) s’adressant aussi bien à des jeunes diplômés qu’à des profils expérimentés.
« Avec les expériences réussies au Cameroun et au Sénégal, nous sommes convaincus que notre modèle de management humain par les valeurs constitue un puissant soutien à notre croissance. A travers toutes nos implantations, nous offrons des opportunités d’emplois, de développement pour les jeunes avec la même logique d’écoute et de proximité avec nos collaborateurs », souligne le président-directeur général du groupe Intelcia, Karim Bernoussi, espérant mettre en place à Abidjan un modèle vertueux.
Sem Eli Ben-Tura, ambassadeur d’Israël en Côte d’Ivoire, a reçu Serge Amany, le président du Réseau de la presse touristique et hôtelière de Côte d’Ivoire (Repthoci), le mardi 10 octobre 2017.
Serge Amany est allé présenter son réseau au diplomate Israélien, avant de lui proposer d’animer une conférence sur l’organisation et le développement du Tourisme dans son pays.
Très émerveillé, l’ambassadeur Ben-Tura a immédiatement donné son accord, saluant l'idée de ce réseau mis sur pied par des journalistes pour la promotion du Tourisme en Côte d’Ivoire.
Il entend donc animer une conférence sur le thème: ‘’L’organisation du Tourisme en Israël. Modèle pour le développement du Tourisme en Côte d’Ivoire’’.
« Il faut identifier la cible. Les agences de voyages qui organisent des pèlerinages en Israël. Et surtout les chrétiens pour qui, il y a beaucoup à voir, mais aussi par les musulmans », a-t-il ajouté, relevant les potentialités touristiques que dispose la Côte d’Ivoire
Izoudine Youssef