Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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 La ville de Ferkessédougou accueille, jeudi et vendredi, la première rencontre périodique de concertation entre les autorités administratives frontalières de la Côte d »Ivoire et celles du Burkina Faso dans le cadre du Traité d’amitié et de coopération (TAC), a appris l’AIP auprès du coordinateur de cette rencontre, le général Nebout Jean François.

Les deux délégations plancheront entre autres sur l’état des actions de coopération transfrontalières développées entre entités frontalières dans les différents domaines d’intérêt commun,  l’identification des difficultés ou problèmes rencontrés dans le cadre de la gestion des frontières en vue de proposer un mécanisme de solutions pour une cohabitation pacifique des populations frontalières.

Ensuite, la résolution dans la concertation et dans l’esprit fraternel de tous les problèmes qui peuvent surgir entre populations vivant le long de la frontière entre les deux pays, la promotion du jumelage entre les localités du Burkina Faso et la République de Côte d’Ivoire, la coopération transfrontalière sur les questions de sécurité, etc.

La  délégation  ivoirienne comprend les autorités préfectorales des régions du Bounkani (des départements de Bouna, Doropo, Téhini) du Tchologo (départements de Kong, Ouangolodougou et Ferkessédougou,) et celle du Burkina Faso constituée des autorités administratives des régions des Cascades (provinces de la Comoé, de La Léraba) du Sud-Ouest (provinces du Noumbiel et du Poni).

Une rencontre de deux jours est également prévue à Abidjan entre les ministres des deux pays  en charge de l’administration du territoire avec pour objectifs de valider les résolutions qui seront issues de la rencontre de Ferkessédougou. Ces résolutions seront proposées au comité conjoint de suivi et d’évaluation des décisions et recommandations du TAC entre la République de Côte d’Ivoire et le Burkina Faso pour le sommet de 2018, apprend-on.

Lors du TAC 6 à Ouagadougou, le 17 juillet 2017, la sixième conférence au sommet des chefs d’Etat a recommandé la tenue de ces deux rencontres (celle de Ferkessédougou et d’Abidjan) qui vont permettre de raffermir les liens de fraternité, de prévenir les éventuels conflits communautaires entre peuples frères en cette « période de menaces sécuritaires de mouvements intégristes ».

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Le club de business ivoiro-canadien, Ivoire Angels a procédé mercredi, au lancement officiel de ses activités à la Chambre de commerce et de l’industrie de Côte d’Ivoire (CCI-CI), en vue de participer « à l’essor du tissu d’entrepreneurs innovants et de start-up dynamiques, capables de contribuer au développement économique et à la création d’emplois », annonce l'AIP

« Avec le lancement d’Ivoire Angels, nous voulons envoyer un message clair aux entrepreneurs pour leur dire que nous sommes là comme partenaire à leur côté, pour assurer le développement de leur entreprise et pour participer à son expansion », a affirmé le fondateur Jean-Marc Larouche.

« Tout projet qui apporte une innovation à une problématique locale est digne d’intérêt. Ivoire Angels intervient à un moment stratégique de la vie d’une entreprise et s’intéresse à la dynamique entrepreneuriale, à la création de valeurs », a-t-il ajouté.

Le représentant du président de la CCI-CI, Yao Germain s’est réjoui de la présence de ce club de business en Côte d’Ivoire qui va apporter « un coaching adéquat aux porteur de projets ». Selon lui, les PME sont souvent freinées par des difficultés surtout celles du financement, ce qui entravent le développement de ces entreprises.

Pour boucler l’investissement d’un projet, Ivoire Angels dispose de six étapes à savoir le premier contact, la sélection de dossiers, la première rencontre, la seconde rencontre avec les membres intéressés, la vérification et la négociation des termes d’investissement. Le montant des investissements est compris entre 5 et 250 millions FCFA.

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Le Comité national électoral (CNE) de la Mutuelle générale des fonctionnaires de Côte d’Ivoire a procédé, mardi, à la proclamation des résultats provisoires de l’élection des délégués régionaux de cette structure, donnant une large victoire de la liste « Solidarité-Egalité » avec 239 sièges remportés sur 300 menée par Mesmin Komoé, qui remporte 239 des 300 sièges disponibles.

Avec 25 647 voix sur 48431, « Solidarité-Egalité » obtient 52.92 % des suffrages exprimés et arrive en tête, loin devant la liste classée deuxième, Union-Solidarité-Espoir menée par le PCA sortant Soro Mamadou, qui obtient 5 sièges de délégués régionaux, suivi de a liste Disponibilité-Solidarité-Entente, une liste « d’envergure locale » qui a remporté 2 sièges.

A ceux-là seront ajoutés les délégués de la Police nationale.

Selon le président du CNE, Zinda Sawadogo, le scrutin s’est « très bien déroulé, et dans le calme sur toute l’étendue du territoire national ». Toutefois, la direction de la MUGEFCI a dénoncé, ce mercredi, une agression physique sur son directeur général, Touré Laciné, indexant "des individus se réclamant du camp d'un candidat".

Les recours ont été ouverts ce mercredi et prennent fin le 3 octobre. Les décisions sur les recours, ainsi que les résultats définitifs, seront prononcés le 4 octobre, en même temps que l’ouverture de la période de dépôt des dossiers de candidature des listes pour les élections aux fonctions d’administrateur et de membre du comité de contrôle de la MUGEFCI prévues le 25 octobre.

AIP

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Dans la commune de Marcory dans une clinique l’artiste ivoirienne Nayanka Bell y est hospitalisée avec sa mère suite à une crise de dépression due à l’idée de se voir déposséder de ses terres à « Ano », un village de la commune d’Agboville.

« Pourquoi, on ne donne pas nos titres ?»,

Nayanka Bell est mal en point. Ce jeudi, c’est une femme atteinte physiquement et moralement qui partage ses peines en ces termes : «Je vis un calvaire depuis 20 ans. C’est une cabale judiciaire », a-t-elle dénoncé, couchée sur son lit d’hôpital, juste à côté sa mère également alitée. « Nous sommes hospitalisées suite à une dépression à cause de cette affaire », fait-elle savoir.

Cela fait presque 20 ans que l’affaire dure et que la native d’Agboville lutte pour sauver les terres acquises en 1993 par son père dans le village « Ano ». Et selon ses explications, le tribunal d’Agboville semble ne pas jouer franc jeu avec elle. A chaque procès, le jugement a toujours été en sa défaveur, or le ministère ivoirien de l’Agriculture lui a donné les papiers nécessaires (4 concessions provisoires en attendant les enquêtes finales de l’administration de l’Agriculture et du cadastre lancées depuis 1998) pour faire droit de titre de propriété des terres en question. Mais jusqu’à ce jour, il n’y a pas d’Arrêté de Concession Définitive(ACD). « Pourquoi, on ne donne pas nos titres ? », s’interroge-t-elle, convaincue que ces documents sont expressément bloqués, pour donner la possibilité à des personnes de squatter les terres de sa famille sans être inquiétées.

«Des agents qui font du faux…»

Pire, le tribunal d’Agboville l’a même condamnée à payer une première fois 6 millions 6oo mille FCfa en 2016 et une deuxième fois 160 millions de Fcfa(pas encore payés) à ces derniers (venus de Bokaho) qui l’accusent d’avoir détruit leur plantation, et qui auraient fait de faux documents de propriété en leur nom.

Visiblement, elle dit être victime d’un complot orchestré par la chefferie du village de Bokaho qui a fait de ses terres son patrimoine avec la complicité du tribunal d’Agboville. «Des agents qui font du faux…», martèle-t-elle.

Alors qu’elle a gagné le procès à la cour suprême en 2015, « j’ai reçu un document de cette Cour que je n’ai pas supporté qui m’a rendue dépressive. Je ne peux pas accepter qu’une décision vienne me spolier de mes terres, parce que si la Cour rend une décision sur du faux…», s’est-elle inquiétée.

Un appel au couple présidentiel

Aujourd’hui, elle lance un appel au couple présidentiel, afin de lui venir en aide pour mettre fin à cette affaire qui n’a que trop duré. « J’ai mené plusieurs démarches afin de voir le président, mais cela n’a pas été possible. Je sais que cette fois, le président et la première dame sauront que je suis dans une situation désespérée avec ma mère. Nous sommes dans leurs mains. Nous leur demandons pardon de nous aider à garder nos terres », a-t-elle plaidé, exhortant le ministère de l’Agriculture, l’administration foncière, du cadastre à rendre justice, et à donner enfin à sa famille l’Arrêté de Concession Définitive.

Daniel Coulibaly

 

 

 

 

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La deuxième édition de la Journée Internationale de la Traduction et de l’Interprétation de Côte d'Ivoire (JITI-CI), aura lieu le samedi 30 septembre 2017, à l’Hôtel Palm Club de Cocody. Le thème de cette année : « Traduction et Interprétation : Moyen d’extension des connaissances, vecteur de transmission des cultures ».

Cette édition est placée sous le signe de l’ouverture. En effet, l’événement accueillera, en plus des acteurs traditionnels du métier dont les traducteurs et interprètes, les terminologues, les correcteurs, des reviseurs et les métiers associés et assimilés, les interprètes en langage de signes et langues locales.

L’objectif de cette journée est de montrer la solidarité de la communauté des traducteurs dans le monde entier tout en promouvant les métiers de la traduction dans les différents pays.

La JITI-CI ouvre une lucarne aux personnes désireuses de reconversion, aux étudiants en quête de d’orientation et de nouvelles opportunités ; elle constitue également un espace de formation continue.
Les organisateurs prévoient également un Marché des Arts, des Cultures, des Diversités et des Langues. Le marché de la traduction et de l’interprétariat étant en pleine expansion, Conférence & Traduction organise l’évènement en collaboration avec le Mouvement des Petites et Moyennes Entreprises de Côte d’Ivoire (MPME) et offre une plateforme de rencontres B2B. Seront également présents les agences de communication et acteurs de l’évènementiel qui se positionnent en intermédiaires.

Le commissaire général de la JITI-CI, Sébastien Guehi, annonce un prix pour saluer les actions d’un cabinet de traduction et d’interprétation de la place qui a contribué à exposer les traducteurs et interprètes de Côte d’Ivoire qui font les beaux jours de ces métiers à Abidjan et dans les capitales ouest-africaines.

Il convient de noter que la Journée mondiale de la Traduction est célébrée chaque année, le 30 septembre, lors de la fête de Saint Jérôme, le traducteur de la Bible, considéré comme le saint patron des traducteurs, par la FIT (Fédération internationale des traducteurs) depuis 1953. Elle a été officiellement reconnue par l’UNESCO et les Nations Unies en 1991.

Rappelons que la première édition s’est tenue le 30 septembre 2016, au Plateau. Le thème était « Traduction & Interprétation : Moteurs des échanges et outils de développement économique et social ».

 

Daniel Coulibaly

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Un incident s’est produit entre Edison Cavani et Neymar Jr au cours du match Marseille-PSG, lors de la 6ème journée de la Ligue française. Une affaire de penalty a créé une brouille entre les deux attaquants, provoquant un malaise au sein de l’équipe. Pour calmer les ardeurs, le président du PSG a proposé une prime d'un million d'euros à Edinson Cavani pour laisser Neymar tirer les penalties. Mais,  ce dernier a opposé un refusé catégorique.

Selon, le journal espagnol El Pais que cite le site français Fooball.fr, le président parisien serait intervenu pour proposer une prime d’un million d’euros à Edinson Cavani pour laisser Neymar tirer les penalties, l’idée du dirigeant qatari étant de rendre automatique la prime promise à l’Uruguayen s’il termine meilleur buteur de Ligue 1.

Mais selon le quotidien madrilène, l’ancien Cavani aurait opposé une fin de non-recevoir à son président, refusant en effet de céder sur ses prérogatives.

En clair, pour le joueur, c'est une question d'honneur et de défi personnel. L’argent importe peu !

De quoi obliger des proches de Nasser Al-Khelaïfi à se retourner vers Neymar, lui expliquant qu’il était un joueur total et qu’il n’avait pas besoin des penalties pour être le «roi de l’équipe». Mais l’entraineur, Unai Emery dit avoir résolu ce problème : «"Cavani et Neymar sont les deux tireurs. Le choix du 1er et du 2e tireur, je l’ai fait et on va faire comme ça", s’est-il ainsi contenté d’expliquer en conférence de presse avant le match face au MHSC, ajoutant "avec notre analyse des statistiques faites en début de saison, nous avons défini les tireurs. Les deux joueurs qui sont ici pour frapper sont Cavani et Neymar.".

Daniel Coulibaly

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La Côte d’Ivoire et le Ghana se sont engagés à respecter la décision du Tribunal international du droit de la mer (TIDM) sur un différend au sujet de leur frontière maritime, le 24 septembre 2017. C’est un communiqué conformément au statut du TIDM lu à la télévision nationale ivoirienne(RTI1) qui fait état de cet accord entre les deux pays frères.

Accra et Abidjan « s’engagent à respecter les termes de la décision et de collaborer pleinement pour sa mise en œuvre », poursuit le texte lu par la ministre ghanéenne de la Justice, Gloria Afua Akuffo.
Le communiqué indique par ailleurs que les deux pays « affirment leur ferme volonté de travailler ensemble à consolider et à intensifier leur relation fraternelle de coopération et de bon voisinage ».

Toujours selon le même communiqué du TIDM, le Ghana n’a pas violé les droits souverains de la Côte d’Ivoire, contrairement à ce qui se racontait officiellement. Abidjan considérait avoir un droit exclusif d’exploitation des hydrocarbures dans une zone offshore disputée. Le tribunal international a calculé le tracé de la frontière maritime en utilisant le principe de l’équidistance défendu par le Ghana et cette carte s’impose désormais aux deux parties.

Il faut rappeler que le litige pétrolier entre la Côte d’Ivoire et le Ghana est survenu en 2010, quand l’exploitant irlandais Tullow Oil a annoncé la découverte d’un gisement offshore sur le champ de Tweneboa. Les deux pays ont alors décidé de la mise en place d’une commission bilatérale pour régler le différend, mais les premières réunions d’experts avaient achoppé sur les critères techniques retenus pour la délimitation de la frontière, selon Jeuneafrique.

 

Daniel Coulibaly

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Un reportage Melkis Akaba, Photojournaliste ivoirien, contributeur à La Diplomatique d'Abidjan (LDA, www.ladiplomatiquedabidjan.net)

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Le 13 Mars 2016. Date inoubliable pour les Ivoiriens. Attaque terroriste émaillée par une fusillade sur une plage de Grand-Bassam, station Balnéaire de Côte d’Ivoire. Une attaque, première du genre dans le pays, revendiquée par Alqaïda au Magrheb islamique (AQMI, branche sahélienne de l’Etat islamique (EI).

Dix-neuf (19) morts ont été déclarés par les autorités publiques, mais selon les marchands que nous avons interrogés sur place, une trentaine de personnes aurait perdu la vie ce jour-là. En majorité, des personnes non-comptabilisés serait mortes noyées.

« Quand les baigneurs ont entendu les coups de feu, ils ont eu peur de revenir sur la plage et de se retrouver au cœur de la fusillade ; la plupart  d’entre eux ont préféré fuir par la mer, mais ils n’en sont pas ressortis», laisse entendre un marchand.

Nous avons rencontré des vendeurs sur les lieux, à défaut de pouvoir interroger le seul témoin qui a tout vu, tout entendu et tout enregistré de ce jour : l’océan. Calme et paisible, il continu son intemporel mouvement  symphonique que les coups de feu n’ont pas réussi à perturber.

En ce jour ensoleillé de septembre 2017, la plage semble avoir surmonté son chagrin, des touristes et des vendeurs  grouillent de toute part. Nous nous sommes intéressés à la vie de ceux qui font l’économie de la station balnéaire : les petites mains qui vendent aux touristes des cacahuètes salées ou sucrées et friandises au coco. Ici, 99% de nos vendeurs font partie de l’économie informelle, qui pèse jusqu’à 35% dans l’économie de la Côte d’ivoire, selon le FMI ( rapport du 11 juillet 2017).

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Nous y avons rencontré, entre autres, Dieudonné 15 ans, Angèle 11 ans, Bakayoko 13 ans, Lassina 17 ans, Maimouna 27 ans, Syntiche et Emmanuela 15 ans : tous ont une histoire personnelle à raconter.

La plupart d’entre eux n’ont pas encore 18 ans, ils travaillent du matin au soir à vendre des friandises mises en bouteille et préparées avec l’aide de leurs mamans. Ils vendent afin de ramener à la famille des revenus additionnels à ceux gagnés par leurs parents.

Demandez-leur quels sont leurs rêves, ils ricaneront innocemment, et trouveront cette question étrange, car personne, oui personne, n’a jamais eu l’idée de la leur poser.

En fin de compte, peu d’entre eux ont pu répondre à l’étrange question. Le seul qui y arriva, Dieudonné 15 ans, qui n’a jamais pu avoir la chance d’aller à l’école, rêve d’être musicien.

Par jour, les revenus obtenus par ces vendeurs  oscillent entre environ 2000 FCFA et 10.000 FCFA.

C’est avec le sourire que ces enfants  nous ont accueillis, enthousiasmés par l’intrusion de nouvelles personnes dans leur univers. Un univers chaleureux, pavé de fous rires, illuminé de rayons de soleil et bercé par les allés et venus des vagues. Images.

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La 3è édition du Congrès régional africain des Géosynthétiques (Géo-Afrique 2017), aura lieu du 8 au 11 octobre à Marrakech, au Maroc, autour du thème  »Géosynthétiques, une protection efficace des ressources naturelles ».

Initié par la section Maroc de la Société Internationale des Géosynthétiques, en collaboration avec le Comité marocain des Géosynthétiques, ce congrès constitue une opportunité pour les professionnels du secteur d’ingénierie et de construction ayant trait à ces géosynthétiques, d’échanger leurs expériences et expertises et de prendre connaissance des dernières avancées dans ce domaine, indiquent les organisateurs dans un communiqué.

L’objectif étant d’échanger autour de la croissance du secteur des infrastructures en Afrique, précise-t-on de même source, qui indique que cet événement, considéré comme l’une des plus grandes manifestations professionnelles dans le domaine des géosynthétiques en Afrique, sera marqué par la participation de professionnels, d’entrepreneurs, de patrons d’entreprises industrielles, de chercheurs et d’étudiants.

Le Congrès servira donc d’occasion pour les congressistes de débattre notamment, de sujets relatifs à l’utilisation des géosynthétiques dans les ouvrages hydrauliques, les projets d’infrastructures, les projets agricoles, le sol armé et solidifié, ainsi que la protection du littoral et de l’environnement.

Au menu de ce rendez-vous scientifique figurent une exposition, une série d’ateliers, ainsi que des conférences animées par des experts marocains et étrangers, qui traiteront de l’utilisation des géosynthétiques pour réaliser un développement durable, ainsi que des rôles des géosynthétiques dans la consolidation des infrastructures de transport, d’eau entre autres.

La Société Internationale des Géosynthétiques est une association à but non lucratif dédiée au développement scientifique et technique des géotextiles, géomembranes et produits apparentés, rappelle-t-on.

Quant au Comité marocain des Géosynthétiques, créé le 13 décembre 2012, il vise à constituer un espace de rencontre entre les ingénieurs et les techniciens, voire encourager les investisseurs à échanger autour de leur expertise, réussie ou en difficulté, en Géosynthétiques et produits apparentés.

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Lancé en avril dernier à Abidjan, Jumia Global permet à des vendeurs du monde entier de vendre sur la plateforme d’e-commerce. Avec plus de 100 000 références, la clientèle ivoirienne pourra faire son Shopping à l’international en quelques clics. Le projet, est déjà un grand succès au Nigéria et au Kenya où Jumia enregistre en moyenne 4000 commandes par mois sur ce nouvel assortiment.

Jumia Global répond au déficit de l’offre sur le marché en Côte d’Ivoire, proposant à ses clients d’acheter des produits uniques et de qualité expédiés depuis l’étranger. Pour l’instant, il s’agit des produits de mode, high-tech, mobilier et des milliers d’autres articles. D’autres vendeurs internationaux sont en cours d’intégration pour étendre davantage le catalogue. Ce service donne à la clientèle ivoirienne l’accès à plus de 100 000 articles souvent inaccessibles sur le marché local et à des prix très compétitifs.

Le shopping s’effectue en Franc CFA et les frais de douane sont inclus dans le prix affiché, pour simplifier l’expérience d’achat du consommateur. Chaque commande Jumia Global passe par Bolloré Transport & Logistics qui récupère l’article et l’acheminent jusqu’à Abidjan dans un délai maximum de 10 à 20 jours, en tenant compte du lieu de résidence du client. Les articles Jumia Global sont uniquement disponibles en prépaiement via MTN mobile Money et Orange Money. 

Le site du commerce en ligne offre jusqu’au 24 Septembre des réductions allant jusqu’à 50% sur l’ensemble des produits Jumia Global.

 

Daniel Coulibaly

 

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