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Le plus grande et plus peuplée des communes de Côte d’Ivoire, n’entend pas rester en marge de la marche du pays vers l’émergence. Yopougon, agglomération cosmopolite de la banlieue ouest d’Abidjan, qui abrite déjà la plus grande zone industrielle du pays, se prépare à l’ouverture prochaine d’un joyau qui en fera certainement l’une des attractions d’Abidjan en matière de shopping. Il s’agit de « COSMOS Yopougon » : centre commercial ultramoderne, dont la construction est très avancée, et l’ouverture prévue pour le premier trimestre 2018.
Situation stratégique
Cosmos Yopougon, dont la réalisation constitue l’un des projets phares du député-maire Gilbert Kafana Koné, sera le premier centre commercial au standard international à Yopougon, la plus grande municipalité d’Abidjan avec près de 2 millions d’habitants.
Cet antre du shopping, bâti sur 3 hectares (30.000 m²), est situé stratégiquement au coeur de la commune, sur le boulevard principal en face de la place Figgayo. Il sera l'un des plus grand et des plus modernes centres commerciaux d'Afrique de l'Ouest, et le plus grand de l'espace UEMOA.
Enseignes internationales
Ce Mall offrira une multitude de commerces « sachant allier la qualité et des prix attractifs dans une zone de chalandises de plus d’un million de consommateurs », indiquent ses promoteurs du groupe HC Capital Properties (HCCP), une compagnie privée d’investissement et de développement, spécialisée dans l’immobilier en Afrique de l’Ouest avec comme marchés cibles la Côte d’Ivoire, le Ghana et le Nigéria.
Chantier du centre commercial COSMOS Yopougon, octobre 2017
Cosmos Yopougon, ce sera aussi la présence de grandes enseignes internationales et locales telles que Carrefour, Burger King ou Le Majestic Cinéma, avec une prévision de plus de quatre millions de visiteurs par an. Après Soccocé, Playce, Cap Sud
Armand Tanoh
Ericsson dévoile la huitième édition de son rapport "ConsumerLab TV and Media", qui met en lumière la croissance massive de la télévision et de la vidéo, ainsi que le changement continu dans la façon dont les consommateurs visionneront les contenus.
Ce rapport annuel s'appuie sur huit années d'analyses médiatiques approfondies et prévoit que la croissance du visionnage à la demande se poursuivra jusqu'en 2020. 50% de tous les visionnages de contenus se feront sur un écran mobile, dont la moitié effectuée uniquement sur smartphone.
Les consommateurs, quant à eux, apprécient les expériences visuelles de haute qualité ainsi que celles immersives, ce qui contribue à ajouter une dimension nouvelle au monde de la télévision et de la radio. Ainsi, d'ici 2020, un consommateur sur trois sera un utilisateur de la réalité virtuelle ("VR").
Le temps passé à regarder la télévision et le contenu vidéo a atteint un niveau record de 30 heures par semaine, incluant la visualisation active de la TV linéaire programmée, des services Internet en direct et à la demande, du contenu téléchargé et enregistré, ainsi que des DVD et Blu-ray.
Près de 60% des téléspectateurs préfèrent maintenant la diffusion à la demande par rapport à l'écoute télévisuelle linéaire programmée, soit une augmentation d'environ 50% depuis 2010.
Les résultats montrent également que, bien que les consommateurs aient plus accès aux services de télévision et de vidéo que jamais, le temps moyen consacré à la recherche de contenu a augmenté de près d'une heure par jour, soit une augmentation de 13% depuis l'année dernière. En fait, 1 consommateur sur 8 pense qu'il se perdra dans la vaste quantité de contenu disponible à l'avenir.
Armand Tanoh
Les Premières dames de 17 pays d’Afrique de l’Ouest et du sahel sont annoncées mardi à Abidjan, prennent part, à partir de mardi à au Sofitel Hôtel Ivoire d’Abidjan, à une Conférence sur la lutte contre le travail des enfants et l’autonomisation de la femme.
Ce conclave est une initiative du Comité national de surveillance de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants (CNS) de Côte d’Ivoire, présidé par la Première dame, Dominique Ouattara, indique une note d’information transmise dimanche à l’AIP.
Il se tiendra sur le thème « Protection des enfants : quelle contribution des Premières dames dans la lutte contre les violences, la traite, l’exploitation et le travail des enfants en Afrique de l’Ouest et dans le Sahel » et « Autonomisation des Femmes et Dividende Démographique dans le Sahel (SWEDD) ».
Prendront part à cette Conférence, notamment la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso, le Benin, le Cap-Vert, la Gambie, le Ghana, la Guinée.
Des délégations sont également attendues en provenance de la Guinée-Bissau, le Libéria, le Togo, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Nigéria, le Sénégal, la Sierra Leone, et le Tchad.
En plus des Premières dames, les ministres en charge du travail et de la protection des pays concernés, des experts de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), de l’Union africaine (UA), et des organisations internationales, ainsi que des industriels du cacao et du chocolat et les communautés productrices de cacao, y prendront part.
Des experts venus des pays participants se sont réunis samedi à Abidjan, afin de préparer le projet de texte de déclaration d’engagement des Premières dames de l’Afrique de l’Ouest et du Sahel sur la question du travail des enfants.
Le président de l'Assemblée nationale de Côte d'Ivoire Guillaume Kgbafory Soro a pris part du 14 au 15 octobre 2017 à la 137è session de l'Union Inter-Parlementaire à Saint Petersbourg. Ici, posant avec le président de la fédération russe Vladmir Poutine.
Crédit photo : Cabinet de Guillaume Soro
Les transactions commerciales modernes et tout singulièrement le secteur des supermarchés, en Côte d’Ivoire, ont connu ces deux dernières années leurs plus importantes mutations, signes des énormes potentiels de performances dont ils renferment. Ce sont les principales conclusions issues de la «Nielsen Shopper World Conference» tenue à Abidjan (Côte d’Ivoire), même si la traditionnelle vente au détail prédomine toujours dans les transactions commerciales dans ce pays ouest-africain.
Un élément déterminant a accéléré ces mutations précitées dans le monde des supermarchés en Côte d’Ivoire. Il s’agit de l’ouverture dans ce pays de succursales de grandes marques comme «Carrefour», «Bonprix», et un perceptible grandissant attachement des consommateurs ivoiriens à ces types modernes de vendeurs offrant une grande variété de produits et services compétitifs et défiant toute concurrence. Une offre de service et de produits qui tranche singulièrement avec ceux fournis jusqu’à présent par des supermarchés de taille modeste dont les activités promotionnelles sont sujettes et marquées par diverses formes de marchandages.
Un constat qu’a commenté durant la Conférence à Abidjan, Yannick Nkembe, responsable Afrique francophone chez «Nielsen», en ces termes : «Les réflexes des Ivoiriens vis-à-vis du commerce traditionnel ont encore la vie dure dans ce pays. Une tendance qui met en concurrence le choix entre un éventail de marchandages à opérer, dans l’optique de tout achat dans les marchés traditionnels africains et la disponibilité de tous les articles désirés dans un seul et même endroit. Cependant, la tendance actuelle, selon les exigences du commerce moderne, penche vers des supermarchés, à cause essentiellement de l’émergence d’une classe moyenne.
Par ailleurs, les divers services ou produits qu’offrent les supermarchés pour surclasser ceux fournis dans les marchés classiques comme les produits frais et consorts dopent l’attraction qu’ils exercent sur les acheteurs. Pour conquérir davantage de clientèles, il est donc clair que les supermarchés, quel que soit leur format, doivent jouer sur cette concurrence précitée pour percer».
Un modèle économique
Le développement rapide du secteur de la vente en détail ne surprend guère en Côte d’Ivoire, au regard des performances de l’économie ivoirienne suivant les indicateurs du «Nielsen’s Africa Prospects (APi)». La Côte d’Ivoire a occupé les premiers rangs du classement des pays africains suivant les critères du «Nielsen’s Africa Prospects (APi)», devant plusieurs grands concurrents du continent.
La «Nielsen World Conference» à Abidjan a également fait une bonne place à la présentation d’une communication sur les actuelles inclinations des clients des supermarchés en Côte d’Ivoire. Il en ressort que ces inclinations ont connu plusieurs mutations et ont été accélérées par les facilités au monde des affaires qu’offre l’économie ivoirienne. Cette communication a aussi fait état en Côte d’Ivoire d’une croissance du PIB, de la cotation de diverses sociétés locales, une consolidation du secteur bancaire, une inflation baisse et maîtrisée et de solides infrastructures.
Ces indicateurs sont des témoins de la santé vigoureuse du secteur commercial en Côte d’Ivoire, qui balise lui-même la voie à l’émergence d’offres de services modernes en la matière. A l’heure actuelle, les supermarchés représentent seulement une infime part dans le lot des magasins en zone urbaine; cependant, un énorme potentiel de croissance existe dans ce domaine, car seulement 35% des clients ivoiriens font leurs courses en supermarchés, pour essentiellement des besoins en réapprovisionnements alimentaires hebdomadaires et mensuels. Une photographie qui donne une idée de la palette d’opportunités qui s’offrent aux supermarchés pour diversifier la gamme de leurs produits et services servis à leur clientèle, à des prix compétitifs, le tout adossé une campagne promotionnelle raffinée.
La croissance du secteur des supermarchés mise en lumière par l’étude précitée a en outre révélé que les clients de ces magasins sont hyper sensibles aux prix qui y sont fixés. Un réflexe qui s’explique par le fait que 42% de ce type de clients connaissent le prix de base de la plupart des articles qu’ils souhaitent payer, et le font savoir chaque fois que ce prix subit des fluctuations. Dans le lot de ces clients, 37% confessent qu’ils ne connaissent pas tous les prix indexés aux articles mis en vente, mais généralement alertent sur toute valse du coût des produits mis en vente. La clientèle ivoirienne des supermarchés est de ce fait parfaitement réceptive à un étiquetage de prix clairement identifiable, attrayant, mis en vitrine et promu sur internet via des sites, marques d’une modernisation de l’environnement commercial dans leur pays.
La même clientèle est fidèle aux magasins qu’elle fréquente, car l’étude a révélé que 46% de clients affirment changer rarement de lieu d’achat, mais soulignent qu’ils sont très attentifs aux promotions dans leurs supermarchés habituels. Des statistiques qui augurent de bonnes affaires pour les propriétaires de supermarchés qui ont ainsi la possibilité de tirer parti de cette fidélité de leur clientèle, en lui offrant des campagnes promotionnelles qui en retour devraient doper leurs recettes.
Héritages commerciaux
En dépit du saut visible vers la modernité dans l’univers commercial ivoirien, les courses des Ivoiriens se font toujours majoritairement auprès de vendeurs indépendants comme les tenanciers des kiosks, dans les marchés classiques et consorts.
Ces marchés et autres lieux d’achat classiques attirent actuellement 2/3 des clients ivoiriens qui s’y approvisionnent à plusieurs reprises par semaine.
Le rôle cardinal de ces marchés et magasins classiques tenus par des personnes physiques indépendantes dans la vie quotidienne des Ivoiriens est avéré, d’autant plus que 23% des personnes enquêtées à ce sujet déclarent qu’ils y achètent quotidiennement des biens vitaux, et 21% y paient des articles liés à des urgences.
Mental du client
Cette étude précitée sur la clientèle des supermarchés révèle par ailleurs un détail important, selon lequel 82% des acheteurs des supermarchés urbains affirment tirer un «grand plaisir en y faisant des courses». Dans l’optique de capitaliser sur une telle habitude, les propriétaires de supermarchés devraient optimiser leurs offres de services et de produits à travers une meilleure présentation de leurs rayons, une innovante valorisation de leurs articles par le truchement de leurs affichages. Le tout doit être soutenu par un singulier service clientèle qui doit pouvoir fidéliser les acheteurs.
D’autres informations découlant de la même enquête soulignent que les visiteurs ivoiriens des supermarchés arrêtent leurs choix avant de mettre pied en magasin ; ainsi, 88% d’entre eux confient planifier leurs achats avant de faire le shopping, et 77% déclarent projeter leurs dépenses en supermarché, au regard d’un budget rigoureux. Toutefois, 63% des clients sondés admettent payer des articles additionnels à leurs achats initiaux; une posture qui démontre que les Ivoiriens ne sont pas rétifs à des achats impulsifs.
Au regard de la notoriété croissante des transactions commerciales que proposent ces supermarchés et des projections de leurs propriétaires de fidéliser leurs actuels clients et d’en capter d’autres, Yannick Nkembe a eu cette phrase: «Poursuivre de mettre un accent sur les promotions, couplé à un service clientèle hors-pair demeureront incontournables pour revivifier les succursales des supermarchés et par contrecoup fidéliser le client ivoirien».
Certains pesticides utilisés dans l’agriculture sont un danger pour l’organisme de l’homme entraînent la diminution significative de la taille du pénis et la baisse de la fertilité autant chez l’homme que chez la femme à confié jeudi à Yamoussoukro, le professeur Kouadio Georges coordonnateur du projet de gestion des pesticides obsolètes et déchets associés en Côte d’Ivoire (PROGEP-CI).
Pr Kouadio qui s’exprimait lors de la présentation du projet PROGEP-CI aux députés, a indiqué que certains produits chimiques ont un impact sur le rétrécissement de certains de nos organes dont le sexe, compte tenu de leurs caractéristiques. « Quand ils sont en interaction avec un organe, ils peuvent aller au rétrécissement » , a expliqué le spécialiste, cité par l'AIP.
« Au niveau de la fécondité certains produits chimiques ne sont pas compatibles avec les spermatozoïdes ou le domaine des ovaires », a souligné le Pr Kouadio. Selon des études, le mauvais dosage des pesticides qui perturbe le système endocrinien en est la cause. Les scientifiques expliquent que les insecticides, les pesticides et les hormones contenus dans la nourriture animale ont un impact sur la formation de la verge qui se déroule pendant la grossesse, et sur les adultes.
Selon la direction de la Protection des végétaux, du contrôle et de la qualité (DPVCQ) de Côte d’Ivoire, les pesticides ne sont pas utilisés dans le cadre indiqué et selon l’usage pour lequel ils ont été fabriqués. Les pesticides frauduleux sont évalués à 25% du marché total des pesticides dans le pays. Le tonnage de pesticides commercialisé légalement en Côte d’Ivoire a triplé entre 1995 et 2014, et est estimé à environ 22 000 tonnes , et causent la mort de 250 000 personnes par an dans le monde.
Démarré en 2016, le PROGEP-CI est à sa phase d’inventaire sur l’ensemble du territoire national. Cette phase consiste à identifier les fabricants, les fournisseurs, et donateurs, les sites contaminés, à connaître la quantité disponible de pesticides homologués et prohibés dans le pays, et de prendre des dispositions écologiques rationnelles pour pouvoir les transporter, les stocker et les détruire ainsi que les déchets associés que sont les emballages vides.
L’objectif est d’arriver à une meilleure utilisation des pesticides homologués durant leur cycle de vie dans les conditions convenables, respectant la dose légale, les consignes et les règles , pour réduire l’impact négatif des pesticides pour préserver l’environnement et la santé des populations en produisant moins de déchets. Et surtout de débarrasser le pays des pesticides illégaux et frauduleux avec l’objectif de faire de la Côte d’Ivoire , le premier pays convoyeur de produits agricoles irréprochables avec une agriculture durable.
L’avion qui s’est écrasé dans la matinée du samedi 14 octobre 2017 sur une plage d’Abidjan a fait 4 morts et 6 blessés, selon un bilan communiqué par téléphone sur la télévision nationale ivoirienne RTI 1, par un porte-parole du Groupement des sapeurs-pompiers militaires de Côte d’Ivoire.
D’après ce dernier, il s’agit d’un avion-cargo de transport d’équipements militaires, destinés à la base l’armée française à Abidjan. L’appareil était en provenance de Ouagadougou (Burkina Faso).
« L’opération de sauvetage est terminée. Il nous reste à retirer la carcasse de l’avion pour éviter qu’elle dérive », a fait savoir la même source aux environs de 11 heures (GMT et locales).
AT
Un avion transportant 10 personnes s’est écrasé, dans la matinée du samedi 14 octobre, sur la plage de Port-Bouët au sud d’Abidjan.
Cette information, qui a été très vite fait le tour des réseaux sociaux ivoiriens, a été confirmée à La Diplomatique d’Abidjan (www.ladiplomatiquedabidjan.net) par des témoins.
Mais les récits restent encore divergents sur les circonstances de cet accident: les uns affirmants qu'il est advenu après que l'appareil ait raté son atterrissage à l’aéroport d'Abidjan, quand d'autre le situe après le décollage.
D’après des sources policières, il s'agit d'un avion-cargo (Photo), et l’on dénombre pour l’heure au moins trois blessés.
Nous y reviendrons.
AT
Le Ghana a ouvert, vendredi 13 octobre 2017, sa campagne 2017-2018 d’achat et de vente de cacao, avec la décision de maintenir le prix à la production aux niveaux de celui de la saison précédente, malgré la baisse des prix mondiaux.
Le prix du cacao est ainsi fixé à 7600 cedis du Ghana (environ 1730 dollars américains, soit 959.962,26 FCFA) la tonne (env. 959,96 FCFA/kg), a indiqué le ministre de l'Alimentation et de l'Agriculture, Owusu Afriyie-Akoto. Pour ce dernier, cette décision vise à éviter que la chute brutale des cours de l’or brun sur le marché international n’est un impact négatif sur la vie des agriculteurs.
Les prix mondiaux du cacao sont en chute libre depuis ces dix dernières années, baissant jusqu’à moins de 1900 dollars la tonne, contre 3000 dollars au début de la saison 2016-2017.
Cette situation, selon M. Afriyie-Akoto, a provoqué une baisse des recettes fiscales, au point que le Fonds de stabilisation n’arrive plus à amortir le gap afin que les agriculteurs aient un meilleur revenu.
Le gouvernement ghanéen a donc sacrifié sa côte part sur le prix à l’exportation, a déclaré le ministre.
Le Ghana et la Côte d'Ivoire, qui représentent 60 pour cent de la production mondiale de cacao, n’ont pas réussi à s’accorder sur un prix bord-champ commun avant l’ouverture de cette campagne de part et d’autre. Toute chose qui laisse planer des craintes à Abidjan, d’une fuite de la production ivoirien vers le voisin ghanéen, pour rattraper le différentiel de près de 260 FCFA de moins par rapport au prix au Ghana. Le prix bord-champs en Côte d’Ivoire ayant baissé cette année jusqu’à 700 FCFA le kg.
Armand Tanoh
C'est dans la ville balnéaire de Grand-Bassam que sera installé, d’ici peu, le premier office régional du tourisme », c’est ce qu’a indiqué M. Assielou, conseiller du Directeur de Côte d'Ivoire Tourisme, jeudi 12 octobre 2017, à l’occasion de la cérémonie d’ouverture de la première agence de voyage de Jumia Travail à Abidjan.
Selon lui, cet office va permettre de décentraliser Côte d'Ivoire Tourisme, afin d'une véritable promotion du tourisme ivoirien.
Il faut souligner que la destination ivoirienne est l’une des plus prisées au monde, mais le manque de structures pour la promotion des potentiels touristiques à travers le pays fait que le tourisme ivoirien peine à décoller.
Daniel Coulibaly