Pour tout ceux dont les noms ne figurent pas dans la base de données des élèves affectés en 6ème, ne paniquez surtout pas, une période de réclamation vous sera communiquée incessamment. Appelez le 20 21 20 79 pour plus d'informations
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Dans une interview accordée à Jeune Afrique, Ahmad Ahmad (Président de la CAF), s’est prononcé sur les futures CAN dans les pays déjà retenus pour l’organisation de cette compétition. Il a été très catégorique sur l’existence des infrastructures sportives et hôtelières devant accueillir cette compétition continentale.
"Je serai intransigeant avec le Cameroun comme je le serai avec la Côte d’Ivoire et la Guinée pour les CAN de 2021 et de 2023. On ne peut plus se permettre d’organiser des Coupes d’Afrique là où les terrains sont en mauvais état, où les services médicaux sont insuffisants, où les hôtels ne correspondent pas au standing des joueurs… “, a laissé entendre Ahmad Ahmad.
“Si tel ou tel État n’est pas à même d’accueillir une phase finale, on procédera à un nouvel appel d’offres”, a prévenu le Président de la CAF.
Et d’annoncer” Des missions seront menées par un cabinet d’audit dans les pays organisateurs, avec des spécialistes assistés de techniciens de la CAF. Cela évitera les influences politiques extérieures."
Daniel Coulibaly
Dans une note, la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte-d’Ivoire fait part d’une mission de prospection internationale aux USA en Géorgie, du 06 au 11 novembre 2017, à l’occasion de la tenue de Atlanta Socio - Economic Development Exchange (ASEDE 2017).
Cette mission a pour but d’offrir une plateforme d’échanges entre les entreprises Ivoiriennes et Américaines des différents secteurs. « Elle vous permettra de rencontrer des partenaires, mais aussi d’explorer de nouveaux axes de collaboration », ajoute la note.
Vous exercez dans le secteur de la l’agriculture, de l’agroalimentaire, des BTP, des infrastructures, de l’énergie solaire et des TIC, cette mission est la vôtre.
Pour toute information complémentaire, veuillez-vous adresser aux contacts suivants :
Mme DAINHI Catherine
DAEPSP | Chargée du Développement International
Tel : (225) 20 33 16 00 poste 822 | 07 88 80 82
Email : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Daniel Coulibaly
Les résultats des orientations en classe de seconde sont disponibles.
Ils peuvent être consultés le site internet de la direction des orientation et de bourses du ministère de l'Education. Suivez les liens ci-dessous pour les consulter:
- RESULTATS AFFECTATIONS/ORIENTATIONS EN 2nde ENSEIGNEMENT GENERAL TECHNIQUE ET PROFESSIONNEL 2017
Le Portail du Ministère de l’Education Nationale est assez lent en ce moment du au nombres de visites. Si vous n' arrivez pas a y accéder, réessayez.
Pour tout ceux dont les noms ne figurent pas dans la base de données des élèves affectés en 6ème, ne paniquez surtout pas, une période de réclamation vous sera communiquée incessamment. Appelez le 20 21 20 79 pour plus d'informations
Le Gouvernement ivoirien, sous la houlette du Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly et les organisations syndicales signeront jeudi, à la Primature d’Abidjan-Plateau, le protocole d’accord sur la trêve sociale, selon des informations du ministère de la Fonction publique.
Le protocole d’accord devrait aboutir à une trêve sociale de cinq ans en vue permettre au Gouvernement de travailler pour la mobilisation des ressources devant améliorer les conditions de vie de la population.
Dans son discours du 1er mai, le chef de l’Etat, Alassane Ouattara s’était engagé à œuvrer pour l’aboutissement de cet accord. «Cette trêve sociale n’est en rien un renoncement ou un signe de faiblesse pour le Gouvernement ou les partenaires sociaux. Elle est l’expression d’une prise de conscience de notre responsabilité individuelle et collective à préserver l’essentiel, c’est-à-dire la Côte d’Ivoire et le bien-être des Ivoiriens », avait-il indiqué.
La signature du protocole d’accord sur la trêve sociale est l’aboutissement d’un long processus négociationd entre le Gouvernement et les syndicats.
En effet, depuis le 9 janvier, la Plateforme nationale des organisations professionnelles du secteur public et l’Intersyndicale des fonctionnaires de Côte d’Ivoire avaient entamé une grève pour réclamer le paiement de stock des arriérés de salaire, le retrait du décret portant abattement des pensions de retraite, l’intégration des agents journaliers, la bonification indiciaire et la liberté syndicale.
Très vite le Gouvernement s’est saisi du dossier et a réintroduit dans le système de gestion des pensions publiques des fonctionnaires et agents de l’Etat la majoration pour famille nombreuse, les allocations familiales, la pension de conjoint survivant avec effet immédiat, le retour au dernier traitement indiciaire pour le calcul de la pension de retraite, le paiement du capital décès.
Au niveau de la bonification indiciaire pour les emplois ne bénéficiant pas d’une grille particulière, le Gouvernement a ordonné la prise en compte respectivement de 150 points d’indice pour les fonctionnaires des catégories A et B et de 100 points d’indice pour les fonctionnaires de catégorie C. Le décret a été adopté le 10 mai, lors du Conseil des ministres avec prise d’effet à partir de janvier 2018.
Les points portant sur la levée de l’interdiction des précomptes syndicaux et l’intégration des agents journaliers au nombre de 1800 agents ont été également validés par le Gouvernement.
Le dernier point sur le stock des arriérés qui faisait l’objet de discussion a été réglé. Estimé à 249 milliards FCFA, selon les syndicats, le calendrier de paiement du stock des arriérés s’établit sur huit ans.
D’un franc CFA à 500 000 FCFA payables en une seule fois à 18.954 fonctionnaires, de 500 000 à un million FCFA payables à 16.614 fonctionnaires sur deux ans, d’un million à 1,250 million FCFA payables à 23. 668 fonctionnaires sur trois ans, de 1,250 million à 1,5 million payables à 27 000 fonctionnaires sur quatre ans, de 1,5 million à deux millions payables à 16.731 fonctionnaires sur cinq ans et le reste des fonctionnaires (ceux qui ont plus de 2 millions FCFA d’arriérés de salaire), payé sur huit ans.
Les retraités et les ayants-droits des fonctionnaires concernés mais déjà décédées recevront leur dû en un seul paiement.
Les paiements démarrent en janvier 2018.
(AIP)
La direction générale du Marché des arts du spectacle africain d’Abidjan (MASA) organise un concours d’arts plastiques dénommé « Concours d’affiche MASA 2018 » pour la 10ème édition prévue du 10 au 17 mars 2018 sous le thème « Quels modèles économiques pour les arts de la scène ? (Troupes, salles de spectacles et festivals) ».
« Le concours est ouvert aux artistes et agences de communication basés en Afrique. Les candidats sont encouragés à proposer des œuvres ouvertes sur le sujet du développement culturel de l’Afrique par les arts vivants : le conte, la danse, l’humour, la musique, le théâtre… », indique un communiqué du MASA.
« L’œuvre soumise au concours doit être originale, de facture contemporaine et porter le logo du MASA. Elle peut relever de l’une ou l’autre des techniques de peinture, photo, graphic-design. L’œuvre doit être déclinée en deux formats : portrait et paysage », chaque candidat ayant la possibilité de présenter une ou deux propositions distinctes, précise le communiqué.
Le concours se déroulera du 15 août au 15 octobre. L’œuvre doit parvenir au plus tard le 15 octobre à la direction générale du MASA sous la forme d’un fichier électronique de 2 Mo au minimum, accompagnée du curriculum-vitae du candidat à l’adresse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.. La désignation du lauréat se fera au plus tard le 30 octobre.
Le concours d’affiche MASA 2018 est doté d’un prix d’un million de FCFA ou de son équivalent au titre d’une invitation à participer à la 10ème édition du MASA.
AIP
L’ambassade des États-Unis procédera à la mise en service du COBAS 6800, un équipement de diagnostic moléculaire pour la charge virale et le diagnostic du VIH, au siège du PROJET RETRO-CI sis au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Treichville-Abidjan, le mercredi prochain.
Le COBAS 6800 est un équipement de diagnostic moléculaire pour la charge virale et le diagnostic du VIH. L’inauguration de cet équipement entre dans le cadre du soutien des États-Unis aux efforts du gouvernement de Côte d’Ivoire, notamment du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, pour la réduction de l’impact du VIH/SIDA au sein de la population ivoirienne.
Daniel Coulibaly
La 706ème réunion du Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l'Union africaine (UA) tenue le 26 juillet 2017 s’est consacrée sur la situation des enfants soldats et enfants non scolarisés à travers le thème : « les enfants soldats/enfants non scolarisés dans les conflits armés en Afrique ».
Cette réunion a permis au Conseil et les participants de rappeler tous les instruments existants de l'UA sur la protection des civils dans les conflits armés, en Afrique, en particulier la Convention de l'Organisation de l'Unité africaine (OUA) de 1969 et la Convention de l'UA de 2009 pour la protection et l'assistance aux personnes déplacées en Afrique, connu sous l’appellation de Convention de Kampala.
Ils ont également évoqué le cas des enfants en situation de conflit armé sur le continent, soulignant la Charte africaine des droits et du bien-être de l'enfant qui a fait de l'Afrique le seul continent doté d'un instrument régional spécifique sur les droits de l'enfant, y compris le droit à l'éducation.
Le Conseil et les participants ont évoqué, une fois encore, la nécessité de s'attaquer aux causes profondes des conflits, y compris la pauvreté, le sous-développement, l'inégalité et la mauvaise gouvernance économique et politique, reppellant l’article 22 de la Charte, qui appelle les Etats parties à prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer qu’aucun enfant ne prenne une part active dans des hostilités et à s’abstenir de recruter des enfants. Dans ce contexte, ils ont reconnu l'impératif d'approches globales de prévention des conflits et des crises sur le continent pour lutter contre des fléaux tels que la prolifération des armes, l'extrémisme violent et le terrorisme.
Et de s’engager à lutter contre le terrorisme et l'extrémisme violent sur le continent avec la résolution 1612(2005) adoptée en juillet 2005, dans laquelle le Conseil de sécurité des Nations unies a exprimé sa disposition à prendre des sanctions appropriées contre les auteurs de violences contre les enfants dans les conflits armés.
Ils ont réaffirmé les Engagements et les Principes de Paris sur la protection des enfants dans les conflits armés, adoptés par la Conférence internationale "libérer les enfants de la guerre" qui s'est tenue à Paris, en 2007, en s'appuyant sur les bonnes pratiques et les principes adoptés au Cap, en Afrique du Sud.
Pour être efficace, le Conseil et les participants ont trouvé nécessaire de coordonner leur action entre les Départements des Affaires sociales, des Affaires politiques, Sciences et technologie et Paix et sécurité, en vue, entre autres, de trouver des solutions à la problématique des enfants soldats et des enfants non scolarisés, en ce qui concerne notamment l’éducation, la santé et la sécurité. Ils ont souligné la nécessité pour l'UA de mettre en place une Architecture globale de protection de l'enfance au sein de la Commission de l'UA, afin d'assurer la mise en œuvre globale des divers instruments adoptés aux niveaux continental et international à cet effet.
Les participants à cette réunion ont réitéré la demande faite au Président de la Commission de nommer un Représentant spécial de l'UA pour les enfants et les conflits armés, afin d’assurer que plus d’attention et d’action est consacré aux questions relatives aux droits, à la sureté, à la santé, à l’éducation et à la protection des enfants, et de suivre et surveiller la mise en œuvre de tous les mécanismes visant à protéger les enfants africains en situation de conflit.
A cette rencontre étaient présent le président du CPS, S.E. l'Ambassadeur Bankole Adeoye de la République fédérale du Nigéria, le Commissaire aux Affaires sociales, S.E. Mme Amira ElFadil, l'Ambassadeur Osman Keh-Kamara, Représentant Permanent de la Sierra Léone, Dr. A. Olatunbosun-Alakija, Coordinateur du groupe de travail interministériel pour la coordination humanitaire au Nigeria, et Micheal Lumor, Conseiller humanitaire et en éducation de Save the Children.
Daniel Coulibaly
Dans la nuit du 14 au 15 mai 2017, en plein mutinerie, une cache d’armes est découverte à Bouaké au domicile de Souleymane Kamaraté Koné, dit « Soul to Soul », directeur du protocole de Guillaume Soro. Plus le temps passe, plus les preuves accablent inéluctablement le mis en cause. Les dernières révélations de Jeune Afrique sur cette affaire soutiennent qu’il a, lui-même, indiqué la cache d’armes aux mutins par un appel que les autorités ivoiriennes ont intercepté grâce à une écoute téléphonique.
Selon les informations de Jeune Afrique, au cours de cet appel, Soul to Soul indique à l’un des mutins l’emplacement de la cache et lui conseille de se réarmer. La suite, on la connait quinze tonnes d’armes ainsi que des munitions ont été retrouvées dans l’ancienne piscine réaménagée dans le sous-sol de la maison.
Depuis l’éclatement de cette affaire, Soul To Soul a été entendu par la gendarmerie à deux reprises, sans toutefois qu’il ne soit mis aux arrêts. Mais avec cette nouvelle révélation, les choses pourraient tourner autrement.
Dans ce scandale, plusieurs autres proches de Guillaume Soro ont été entendus par les enquêteurs de la brigade de recherche de la gendarmerie, dont le lieutenant-colonel Issouf Ouattara (alias Kobo), chef de la sécurité de Soro, et le colonel Adama Yéo, l’un des responsables de la sécurité du Parlement. « Tous deux étaient chargés de reverser cet arsenal dans les stocks de l’armée », précise Jeune Afrique.
Ainsi, pour mieux situer les responsabilités, l’Etat ivoirien a diligenté une enquête. A celle-ci s’ajoute, la mission des experts des Nations unies à la demande du président, Alassane Ouattara. Laquelle vient d’être prolongée, après un mois de travail (elle avait engagé ses investigations le 7 juin et devait travailler un mois).
Selon les premières conclusions de ces experts de l’ONU en armement, souligne le magazine, les armes découvertes ont bien été acquises en 2011, comme l’assurait l’entourage de M. Soro. Ce qui reste à faire, c’est leur indentification et leur mode d’acquisition. Et, surtout, de localiser d’autres caches dans le pays (il y en aurait au moins deux de plus selon eux). Un rapport intermédiaire doit être remis aux autorités à la mi-septembre.
Daniel Coulibaly
Une "attaque terroriste" a été menée dimanche soir contre un café-restaurant à Ouagadougou, faisant au moins 20 morts et une dizaine de blessés, a annoncé le gouvernement burkinabè.
"Aux environs de 21 heures, une attaque terroriste a touché le restaurant Istanbul sur l'avenue Kwame Nkrumah à Ouagadougou", a déclaré le gouvernement dans un communiqué.
"Cette attaque a fait pour l'instant 17 victimes dont les nationalités restent à préciser et huit blessés", indique le communiqué.
Le restaurant Istanbul est situé à environ 200 mètres du café Cappuccino, qui avait été en janvier 2016 la cible d'une attaque jihadiste sanglante, revendiquée par Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI). Cette attaque avait fait 30 morts et 71 blessés, en majorité des étrangers.
Les assaillants, dont le nombre n'est pas connu, "sont confinés dans un étage de l'immeuble qu'ils ont attaqué", a déclaré le ministre burkinabè de la communication Remis Dandjinou à la télévision nationale, lors d'un flash d'information. "Les forces de défense et de sécurité et l'unité d'élite de la gendarmerie sont en opération", a-t-il dit.
'Des otages retenus'
Selon un officier de l'armée s'exprimant sous couvert d'anonymat, "il y a des otages retenus au premier et au deuxième étages du bâtiment de deux étages" qui abrite le café-restaurant se trouvant au rez-de-chaussée.
Selon un serveur du restaurant Istanbul, l'attaque a débuté vers 21h30 heure locale (même heure GMT).
"Trois hommes sont arrivés à bord d'un véhicule 4x4 vers 21h30, sont descendus du véhicule et ont ouvert le feu sur les clients assis sur la terrasse" de ce café fréquenté par une clientèle expatriée, a indiqué ce serveur s'exprimant sous couvert d'anonymat.
La police a évacué des civils avant l'arrivée de l'armée et de la gendarmerie qui ont tout de suite lancé l'assaut, et les tirs, nourris au départ, sont ensuite devenus sporadiques, a rapporté un journaliste de l'AFP.
"Actuellement nous sommes débordés", a confié un chirurgien à l'AFP sous couvert d'anonymat. "Nous avons reçu une dizaine de blessés, dont trois qui sont décédés. La situation des autres blessés est très critique. Trois sont pris en charge actuellement en bloc opératoire".
"Nous avons évacué onze personnes mais un (homme) est décédé dès notre arrivée à l'hôpital. Il s'agit d'un Turc. Une dame a également succombé à ses blessures à l'hôpital", a déclaré un ambulancier.
Le maire de Ouagadougou, Armand Béouindé, le ministre de la Sécurité, Simon Compaoré, et le ministre de l'Energie, Alpha Omar Dissa, sont arrivés sur les lieux de l'attaque.
L'avenue s'est vidée de ses passants immédiatement après l'attaque, seuls des véhicules des forces de sécurité et des ambulances étaient visibles, selon le journaliste de l'AFP.
Le mode opératoire de cet attentat est similaire à celui du 15 janvier 2016. Un commando avait attaqué le café Cappuccino et plusieurs autres établissements, l'hôtel Splendid, l'hôtel Yibi et le Taxi-Brousse, situés sur l'avenue Kwame N'Krumah, comme le restaurant Istanbul.
Frontalier du Mali et du Niger, le Burkina Faso est le théâtre d'attaques jihadistes régulières depuis 2015.
En décembre 2016, une douzaine de soldats burkinabè avaient été tués dans une attaque contre un détachement de l'armée basé dans le nord du pays.
En octobre 2016, une précédente attaque avait fait six morts, quatre militaires et deux civils.
Plusieurs enlèvements ont aussi été perpétrés, de Burkinabè comme d'étrangers. Un Australien et un Roumain, enlevés en 2015, sont toujours captifs de groupes islamistes liés à Al-Qaida.
Le Burkina Faso, petit Etat sahélien d'Afrique de l'Ouest, pauvre et enclavé, a réaffirmé le 18 juillet la nécessité de "lutter contre le terrorisme" avec son voisin la Côte d'Ivoire, également touchée par un attentat jihadiste en 2016.
Kolo Touré , ancien défenseur d'Arsenal et de Manchester City, sans club depuis son départ du Celtic Glasgow, débute en Côte d’Ivoire sa reconversion comme coach. La Fédération ivoirienne (FIF) a annoncé via un communiqué, sa nomination comme entraîneur adjoint de l'équipe olympique et de l'équipe A' (sélection nationale locale) de Côte d'Ivoire.
Le communiqué poursuit pour dire qu’il sera aux côtés de Kamara Ibrahimm, le sélectionneurvde l'équipe olympique et de l'équipe A',, lors de ce mois d'août pour les qualifications du Championnat d'Afrique des nations 2018.
Sans club depuis son passage au Celtic Glasgow (D1 écossaise) en cours de saison dernière, l'ancien défenseur d'Arsenal, Manchester City et Liverpool démarre « son stage pratique pour la Licence UEFA A», précise la FIF dans ce communiqué.
La Fédération ivoirienne estime que Kolo Touré saura ainsi « apprendre davantage et transmettre aux nouvelles générations sa longue et riche expérience.».
Il faut indiquer que, pour l’instant, il est le seul de la première génération des Académiciens qui a fait ce choix en fin de carrière. Si à l’Asec, Baky Koné est conseiller sportif de Me Roger Ouéginin, n'êmpêche qu'il lui arrive de chausser les crampons, le joueur n'a pas encore dit s'il fera comme l'aîné de Yaya Touré.
Daniel Coulibaly