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Le président ivoirien Alassane Ouattara a reçu les lettres de créance de trois nouveaux ambassadeurs accrédités dans notre pays en qualité d’Ambassadeurs extraordinaires et plénipotentiaires, le vendredi 29 septembre 2017, au Palais présidentiel-Abidjan.
Selon une note de la présidence ivoirienne, il s’agit de Julie Shouldice du Canada, Ibrahim Isah de la République Fédérale du Nigeria et Gilles Huberson de la République française.
L’Ambassadrice Julie Shouldice a réaffirmé sa détermination à apporter sa contribution pour le renforcement de la sécurité dans la sous-région ouest-africaine, le respect de l’Accord de Paris sur le climat et l’autonomisation des femmes ivoiriennes. Elle entend également œuvrer à l’approfondissement, à la diversification et au renforcement des relations commerciales et économiques entre les deux pays.
De son côté, l’Ambassadeur du Nigeria s’est engagé à œuvrer pour la mutualisation des efforts en matière de renseignements et de coopération économique entre Abidjan et Lagos, les deux grandes économies de la CEDEAO’’.
L’Ambassadeur de France Gilles Huberson qui remplace Georges Serre, a exprimé son engagement à contribuer au développement des relations de coopération bilatérale ‘’historiquement exceptionnelles’’, qui existent entre la Côte d’Ivoire et la France.
Daniel Coulibaly
Il est de plus en plus fréquent de constater dans plusieurs entreprises en Côte d’Ivoire, l’installation de système de cameras de protection, mais qui souvent sont détournées à d'autres finalités. Une experte du domaine s’est appesantie sur cette question à travers «Le traitement des données à caractère personnel: la vidéo surveillance », lors d’une session de formation initiée par l’ARTCI(Autorité de régulation des télécommunications/TIC de Côte d'Ivoire) avec l’AUICI (Association des usagers d’internet de Côte d(Ivoire) à Abidjan.
Selon Linda Mourot, chef des services économie et santé à l’ARTCI, les données à caractère personnel, c’est toute information qui identifie une personne physique ou qui la rend indentifiable.
C’est pourquoi, l’installation de système de camareras de protection dans une entreprise ne devrait en principe pas poser problème, car elles ont une finalité noble. Celle d’assurer la sécurité de l’entreprise, et surtout des employés.
Mais lorsqu’un chef d’entreprise fait installer des caméras de protection et qu’après elles servent à d’autres choses, c’est-à-dire surveiller les employés (couchés sur leur bureau, les actions sur le net, même dans les toilettes, etc), sans avoir été informés préalablement, il y a détournement de finalité et cela est une violation des données à caractère personnel. « Lorsqu’on veut installer un système de vidéo surveillance dans une entreprise, il faut prendre soin de tenir informer les employés qui doivent donner leur accord matérialisé », a-t-elle recommandé.
Il est donc possible pour l’employé de porter plainte contre son patron. Car « L’action du patron de la société devient illégale, parce que faite à l’insu du travailleur », fait-elle savoir. Pour l"experte de l'ARTCI, les entreprises doivent avoir des correspondants à la protection des données à caractère personnel en leur sein.
« La finalité d’une vidéo surveillance doit être licite et loyale », conseille Linda Mourot.
Cependant, dans l’installation de la vidéo surveillance, il y a des exceptions. Il y a des situations où l'on peut se passer de l’avis du concerné. Dans le cadre de l'exécution d’une mission d’intérêt public (Ex : l’installation des caméras à travers le District d’Abidjan n’a pas eu le consentement des populations), le respect d’une obligation légale( relation contractuelle). « Si dans un contrat il est spécifié la présence de caméras de surveillance et que vous signez vous vous soumettez à cette obligation », explique l’experte de l’ARTCI. Il y a aussi le cas où il faut dévoiler des données au sujet d’une tierce personne (un coma après un accident de la circulation).
Daniel Coulibaly
M. Kobenan Kouassi Adjoumani, ministère ivoirien des Ressources animale et halieutiques, a fait don d’un bon de carburant d’une valeur de 31 millions neuf cent mille (31 900 000 Fcfa) à la marine nationale, le jeudi 28 septembre 2017 à Abidjan. Le don du ministre s’inscrit dans le cadre de l’action de l’Etat en mer contre la piraterie et la destruction de la flore aquatique.
Cette importante quantité de carburant est composée de 52500 litres de gasoil, 31500 litres de super et 84000 litres de lubrifiants. Elle a été réceptionnée par M. Malan Jean-Paul, représentant le ministre d’Etat de la Défense, Hamed Bakayoko.
Pour Dongo Koffi Mazan directeur de cabinet du ministre Kobenan Adjoumani, cette démarche est conforme à l’extrant 2 alinéa 28 de la stratégie de l’action de l’état en mer qui recommande aux administrations concernées de signer des conventions en vue de mutualiser leurs moyens pour la sécurisation de la ZEE ivoirienne.
De son côté, le contre-amiral Djakaridja Konaté, chef d’état-major de la marine nationale, a indiqué que « ces genres d’initiative sont de nature à renforcer les capacités de la Marine Nationale face aux fléaux qui menacent les ressources marines et fluviales et venir à bout des besoins qui s’imposent dans le cadre de la lutte contre la piraterie ».
C’est une initiative qui répond également aux dispositions prévues par la commission mixte Côte d’Ivoire/Union européenne et mises en œuvre par le programme d’appui à la gestion durable des ressources halieutiques dans le cadre d’un protocole établi.
Il faut souligner que le programme d’appui à la gestion durable des ressources halieutiques (PAGDRH) est à sa deuxième opération de don de carburant à la marine nationale.
Ce sont des actions qu’il faut saluer, surtout que les marins ivoiriens font face à de réels besoins dans le cadre de leurs charges régaliennes.
Daniel Coulibaly avec ServCom (Vako Sama)
La compagnie Coca-cola offre 12 millions de dollars (6 milliards FCFA) à la Côte d’Ivoire, en matériel et en formation, pour lutter contre la mortalité infantile et la mortalité des femmes en couches.
Un protocole d’accord a été conjointement signé à cet effet, jeudi, par le président du Groupe Coca-Cola pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique, Brian Smith, et la ministre ivoirienne de la Santé et de l’Hygiène publique, Raymonde Goudou Coffie, lors d’une cérémonie au Sofitel Hôtel Ivoire d’Abidjan, a constaté l’AIP.
Pour la ministre Goudou Coffie, ce geste est un soulagement pour le gouvernement ivoirien, qui fait face à un taux de mortalité infantile et maternelle de 636 cas pour 100.000 naissances.
M. Brian Smith a pour sa part indiqué qu’il s’agit pour son pays de « partager l’optimisme » de la Côte d’Ivoire à assurer un bien-être sanitaire à la mère et à l’enfant. Coca-cola entend, a-t-il annoncé, investir plus de 17 milliards de dollars en Afrique d’ici 2020.
Selon l’OMS, 830 femmes environ meurent chaque jour de causes évitables liées à la grossesse et à l’accouchement, et 99% de cas surviennent dans des pays en développement.
La ville de Ferkessédougou accueille, jeudi et vendredi, la première rencontre périodique de concertation entre les autorités administratives frontalières de la Côte d »Ivoire et celles du Burkina Faso dans le cadre du Traité d’amitié et de coopération (TAC), a appris l’AIP auprès du coordinateur de cette rencontre, le général Nebout Jean François.
Les deux délégations plancheront entre autres sur l’état des actions de coopération transfrontalières développées entre entités frontalières dans les différents domaines d’intérêt commun, l’identification des difficultés ou problèmes rencontrés dans le cadre de la gestion des frontières en vue de proposer un mécanisme de solutions pour une cohabitation pacifique des populations frontalières.
Ensuite, la résolution dans la concertation et dans l’esprit fraternel de tous les problèmes qui peuvent surgir entre populations vivant le long de la frontière entre les deux pays, la promotion du jumelage entre les localités du Burkina Faso et la République de Côte d’Ivoire, la coopération transfrontalière sur les questions de sécurité, etc.
La délégation ivoirienne comprend les autorités préfectorales des régions du Bounkani (des départements de Bouna, Doropo, Téhini) du Tchologo (départements de Kong, Ouangolodougou et Ferkessédougou,) et celle du Burkina Faso constituée des autorités administratives des régions des Cascades (provinces de la Comoé, de La Léraba) du Sud-Ouest (provinces du Noumbiel et du Poni).
Une rencontre de deux jours est également prévue à Abidjan entre les ministres des deux pays en charge de l’administration du territoire avec pour objectifs de valider les résolutions qui seront issues de la rencontre de Ferkessédougou. Ces résolutions seront proposées au comité conjoint de suivi et d’évaluation des décisions et recommandations du TAC entre la République de Côte d’Ivoire et le Burkina Faso pour le sommet de 2018, apprend-on.
Lors du TAC 6 à Ouagadougou, le 17 juillet 2017, la sixième conférence au sommet des chefs d’Etat a recommandé la tenue de ces deux rencontres (celle de Ferkessédougou et d’Abidjan) qui vont permettre de raffermir les liens de fraternité, de prévenir les éventuels conflits communautaires entre peuples frères en cette « période de menaces sécuritaires de mouvements intégristes ».
Le club de business ivoiro-canadien, Ivoire Angels a procédé mercredi, au lancement officiel de ses activités à la Chambre de commerce et de l’industrie de Côte d’Ivoire (CCI-CI), en vue de participer « à l’essor du tissu d’entrepreneurs innovants et de start-up dynamiques, capables de contribuer au développement économique et à la création d’emplois », annonce l'AIP
« Avec le lancement d’Ivoire Angels, nous voulons envoyer un message clair aux entrepreneurs pour leur dire que nous sommes là comme partenaire à leur côté, pour assurer le développement de leur entreprise et pour participer à son expansion », a affirmé le fondateur Jean-Marc Larouche.
« Tout projet qui apporte une innovation à une problématique locale est digne d’intérêt. Ivoire Angels intervient à un moment stratégique de la vie d’une entreprise et s’intéresse à la dynamique entrepreneuriale, à la création de valeurs », a-t-il ajouté.
Le représentant du président de la CCI-CI, Yao Germain s’est réjoui de la présence de ce club de business en Côte d’Ivoire qui va apporter « un coaching adéquat aux porteur de projets ». Selon lui, les PME sont souvent freinées par des difficultés surtout celles du financement, ce qui entravent le développement de ces entreprises.
Pour boucler l’investissement d’un projet, Ivoire Angels dispose de six étapes à savoir le premier contact, la sélection de dossiers, la première rencontre, la seconde rencontre avec les membres intéressés, la vérification et la négociation des termes d’investissement. Le montant des investissements est compris entre 5 et 250 millions FCFA.
Le Comité national électoral (CNE) de la Mutuelle générale des fonctionnaires de Côte d’Ivoire a procédé, mardi, à la proclamation des résultats provisoires de l’élection des délégués régionaux de cette structure, donnant une large victoire de la liste « Solidarité-Egalité » avec 239 sièges remportés sur 300 menée par Mesmin Komoé, qui remporte 239 des 300 sièges disponibles.
Avec 25 647 voix sur 48431, « Solidarité-Egalité » obtient 52.92 % des suffrages exprimés et arrive en tête, loin devant la liste classée deuxième, Union-Solidarité-Espoir menée par le PCA sortant Soro Mamadou, qui obtient 5 sièges de délégués régionaux, suivi de a liste Disponibilité-Solidarité-Entente, une liste « d’envergure locale » qui a remporté 2 sièges.
A ceux-là seront ajoutés les délégués de la Police nationale.
Selon le président du CNE, Zinda Sawadogo, le scrutin s’est « très bien déroulé, et dans le calme sur toute l’étendue du territoire national ». Toutefois, la direction de la MUGEFCI a dénoncé, ce mercredi, une agression physique sur son directeur général, Touré Laciné, indexant "des individus se réclamant du camp d'un candidat".
Les recours ont été ouverts ce mercredi et prennent fin le 3 octobre. Les décisions sur les recours, ainsi que les résultats définitifs, seront prononcés le 4 octobre, en même temps que l’ouverture de la période de dépôt des dossiers de candidature des listes pour les élections aux fonctions d’administrateur et de membre du comité de contrôle de la MUGEFCI prévues le 25 octobre.
AIP
Dans la commune de Marcory dans une clinique l’artiste ivoirienne Nayanka Bell y est hospitalisée avec sa mère suite à une crise de dépression due à l’idée de se voir déposséder de ses terres à « Ano », un village de la commune d’Agboville.
« Pourquoi, on ne donne pas nos titres ?»,
Nayanka Bell est mal en point. Ce jeudi, c’est une femme atteinte physiquement et moralement qui partage ses peines en ces termes : «Je vis un calvaire depuis 20 ans. C’est une cabale judiciaire », a-t-elle dénoncé, couchée sur son lit d’hôpital, juste à côté sa mère également alitée. « Nous sommes hospitalisées suite à une dépression à cause de cette affaire », fait-elle savoir.
Cela fait presque 20 ans que l’affaire dure et que la native d’Agboville lutte pour sauver les terres acquises en 1993 par son père dans le village « Ano ». Et selon ses explications, le tribunal d’Agboville semble ne pas jouer franc jeu avec elle. A chaque procès, le jugement a toujours été en sa défaveur, or le ministère ivoirien de l’Agriculture lui a donné les papiers nécessaires (4 concessions provisoires en attendant les enquêtes finales de l’administration de l’Agriculture et du cadastre lancées depuis 1998) pour faire droit de titre de propriété des terres en question. Mais jusqu’à ce jour, il n’y a pas d’Arrêté de Concession Définitive(ACD). « Pourquoi, on ne donne pas nos titres ? », s’interroge-t-elle, convaincue que ces documents sont expressément bloqués, pour donner la possibilité à des personnes de squatter les terres de sa famille sans être inquiétées.
«Des agents qui font du faux…»
Pire, le tribunal d’Agboville l’a même condamnée à payer une première fois 6 millions 6oo mille FCfa en 2016 et une deuxième fois 160 millions de Fcfa(pas encore payés) à ces derniers (venus de Bokaho) qui l’accusent d’avoir détruit leur plantation, et qui auraient fait de faux documents de propriété en leur nom.
Visiblement, elle dit être victime d’un complot orchestré par la chefferie du village de Bokaho qui a fait de ses terres son patrimoine avec la complicité du tribunal d’Agboville. «Des agents qui font du faux…», martèle-t-elle.
Alors qu’elle a gagné le procès à la cour suprême en 2015, « j’ai reçu un document de cette Cour que je n’ai pas supporté qui m’a rendue dépressive. Je ne peux pas accepter qu’une décision vienne me spolier de mes terres, parce que si la Cour rend une décision sur du faux…», s’est-elle inquiétée.
Un appel au couple présidentiel
Aujourd’hui, elle lance un appel au couple présidentiel, afin de lui venir en aide pour mettre fin à cette affaire qui n’a que trop duré. « J’ai mené plusieurs démarches afin de voir le président, mais cela n’a pas été possible. Je sais que cette fois, le président et la première dame sauront que je suis dans une situation désespérée avec ma mère. Nous sommes dans leurs mains. Nous leur demandons pardon de nous aider à garder nos terres », a-t-elle plaidé, exhortant le ministère de l’Agriculture, l’administration foncière, du cadastre à rendre justice, et à donner enfin à sa famille l’Arrêté de Concession Définitive.
Daniel Coulibaly
La deuxième édition de la Journée Internationale de la Traduction et de l’Interprétation de Côte d'Ivoire (JITI-CI), aura lieu le samedi 30 septembre 2017, à l’Hôtel Palm Club de Cocody. Le thème de cette année : « Traduction et Interprétation : Moyen d’extension des connaissances, vecteur de transmission des cultures ».
Cette édition est placée sous le signe de l’ouverture. En effet, l’événement accueillera, en plus des acteurs traditionnels du métier dont les traducteurs et interprètes, les terminologues, les correcteurs, des reviseurs et les métiers associés et assimilés, les interprètes en langage de signes et langues locales.
L’objectif de cette journée est de montrer la solidarité de la communauté des traducteurs dans le monde entier tout en promouvant les métiers de la traduction dans les différents pays.
La JITI-CI ouvre une lucarne aux personnes désireuses de reconversion, aux étudiants en quête de d’orientation et de nouvelles opportunités ; elle constitue également un espace de formation continue.
Les organisateurs prévoient également un Marché des Arts, des Cultures, des Diversités et des Langues. Le marché de la traduction et de l’interprétariat étant en pleine expansion, Conférence & Traduction organise l’évènement en collaboration avec le Mouvement des Petites et Moyennes Entreprises de Côte d’Ivoire (MPME) et offre une plateforme de rencontres B2B. Seront également présents les agences de communication et acteurs de l’évènementiel qui se positionnent en intermédiaires.
Le commissaire général de la JITI-CI, Sébastien Guehi, annonce un prix pour saluer les actions d’un cabinet de traduction et d’interprétation de la place qui a contribué à exposer les traducteurs et interprètes de Côte d’Ivoire qui font les beaux jours de ces métiers à Abidjan et dans les capitales ouest-africaines.
Il convient de noter que la Journée mondiale de la Traduction est célébrée chaque année, le 30 septembre, lors de la fête de Saint Jérôme, le traducteur de la Bible, considéré comme le saint patron des traducteurs, par la FIT (Fédération internationale des traducteurs) depuis 1953. Elle a été officiellement reconnue par l’UNESCO et les Nations Unies en 1991.
Rappelons que la première édition s’est tenue le 30 septembre 2016, au Plateau. Le thème était « Traduction & Interprétation : Moteurs des échanges et outils de développement économique et social ».
Daniel Coulibaly
Un incident s’est produit entre Edison Cavani et Neymar Jr au cours du match Marseille-PSG, lors de la 6ème journée de la Ligue française. Une affaire de penalty a créé une brouille entre les deux attaquants, provoquant un malaise au sein de l’équipe. Pour calmer les ardeurs, le président du PSG a proposé une prime d'un million d'euros à Edinson Cavani pour laisser Neymar tirer les penalties. Mais, ce dernier a opposé un refusé catégorique.
Selon, le journal espagnol El Pais que cite le site français Fooball.fr, le président parisien serait intervenu pour proposer une prime d’un million d’euros à Edinson Cavani pour laisser Neymar tirer les penalties, l’idée du dirigeant qatari étant de rendre automatique la prime promise à l’Uruguayen s’il termine meilleur buteur de Ligue 1.
Mais selon le quotidien madrilène, l’ancien Cavani aurait opposé une fin de non-recevoir à son président, refusant en effet de céder sur ses prérogatives.
En clair, pour le joueur, c'est une question d'honneur et de défi personnel. L’argent importe peu !
De quoi obliger des proches de Nasser Al-Khelaïfi à se retourner vers Neymar, lui expliquant qu’il était un joueur total et qu’il n’avait pas besoin des penalties pour être le «roi de l’équipe». Mais l’entraineur, Unai Emery dit avoir résolu ce problème : «"Cavani et Neymar sont les deux tireurs. Le choix du 1er et du 2e tireur, je l’ai fait et on va faire comme ça", s’est-il ainsi contenté d’expliquer en conférence de presse avant le match face au MHSC, ajoutant "avec notre analyse des statistiques faites en début de saison, nous avons défini les tireurs. Les deux joueurs qui sont ici pour frapper sont Cavani et Neymar.".
Daniel Coulibaly