Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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Marika Paulina Karhur, une jeune finlandaise soufrant d’hémiplégie a effectué le déplacement en Côte d’Ivoire depuis son pays (Finlande, Europe du Nord) pour « vivre la souffrance » des handicapés de Songon, dans la banlieue-ouest d’Abidjan.

« Je suis tombée un jour l’an dernier sur un article de presse décrivant les difficultés des handicapés de Songon en Côte d’Ivoire. Leur histoire m’a beaucoup touchée, étant moi-même handicapée comme eux. J’ai donc décidé de faire le déplacement et venir les rencontrer, pour toucher leur réalité de plus près, vivre leur souffrance », explique Marika Karhur, au terme d’un échange vendredi avec des personnes handicapés membres de l’ONG Lobus Action à Songon-Marathé.

La révélation, en 2014, de la situation des handicapés de Songon, souvent victimes de marginalisation et de rejet, a suscité un élan de solidarité à leur égard, aussi bien en Côte d’Ivoire qu’à l’étranger. Plusieurs personnalités, dont la ministre Anne Désirée Ouloto, se sont succédé depuis lors à Songon, pour sensibiliser les populations locales au respect des droits et à l’acceptation de ces personnes vulnérables.

S’étant rendue à plusieurs reprises à Songon depuis début juillet, la jeune finlandaise Marika Karhur, polyglotte, et interprète de profession, s’est dite « très émue de les voir ».

« Je les trouve très courageux quand je fais une comparaison entre leurs conditions de vie et la nôtre dans notre pays. C’est comme le jour et la nuit, car chez nous, tous les handicapés ont droit à des appareils de mobilité comme les fauteuils roulants, or je constate ici que ce n’est pas tout le monde n’en dispose pas », regrette-t-elle, citée par l'AIP.

« Chez nous aussi, on se plaint souvent qu’il n’y a pas suffisamment de moyen et d’assistance, mais quand je vois comment les gens vivent ici, je peux dire que nous, on est au paradis», avoue Marika Karhur qui s’est engagée, dès son retour en Finlande, à « être une ambassadrice des handicapés de Songon, en approchant des structures caritatives et des personnes de bonne volonté » de son pays.

Elle se réjouit toutefois de la solidarité envers certaines personnes handicapées en Côte d’Ivoire. « Je constate qu’ils y a quand même des gens autour d’eux. Alors que chez nous, souvent, on est très solitaire. On a de la famille peut-être, mais on vit beaucoup seul. Ici il y a une certaine solidarité qui manque chez nous », compare-t-elle.

Elle a offert des vivres, des équipements de communication et de bureau à l’ONG Lobus Action.

Le président de cette organisation, Loba Jules,  a exprimé sa gratitude à Marika Karhur pour cette action, « mais surtout pour s’être déplacée jusqu’ici pour nous voir, malgré ses problèmes de mobilité ».

« Concernant la solidarité, je voudrais l’encourager et lui dire de tenir bon. Parce que chez nous ici aussi c’était très compliqué pour nous, mais depuis un certain moment ça commence à aller. Les gens commencent à comprendre », a-t-il dit à l’adresse de Marika Karthur.

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La contribution du tourisme au PIB de la Côte d’Ivoire a progressé, passant de1,8%  en 2011 à 5% en 2015, avec une projection de 7% en 2020. C’est en substance c’est qu’on peut retenir de l’intervention du vice-président de la République de Côte d’Ivoire, Daniel Kablan Duncan, lors de l’Inauguration du Seen Hotel Abidjan Plateau.

« Le tourisme est comme un iceberg dont la partie visible est constituée du voyage, de l’hébergement et des services touristiques ; sous la surface, il offre de multiples opportunités aux petites et moyennes entreprises, aux artisans, aux artistes, aux ménages, etc. », a-t-il laissé entendre à cette cérémonie tenue ce vendredi 28 juillet.

Seen Hotel Duncan 2

 

 

Il a lancé un appel aux investisseurs à s’intéresser davantage à l’industrie hôtelière afin de booster le tourisme et le progrès économique pour tous. Car  a  fait savoir le vice-Président de la République.

Pour lui, Seen Hôtel Abidjan Plateau vient renforcer la capacité d’hébergement à Abidjan et, partant, favorise la destination touristique Côte d’Ivoire qui est classée par les groupes Accor et Jumia Travel parmi les cinq premières destinations prisées sur le continent africain.

L’édifice inauguré ce jour est le deuxième hôtel ouvert par la chaîne Mangalis Hôtel en Afrique. Il offre 149 chambres, de nombreuses commodités et une centaine d’emplois directs, pour un coût global d’investissement de 13 milliards de Fcfa.

Mangalis Hôtel, filiale hôtelière du groupe Teyliom devrait inaugurer son deuxième hôtel à Abidjan, Noom Hotel, en  2018, selon son directeur général Yigo Thiam.

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Des tirs étaient entendus dans la nuit de ce vendredi 29 juillet 2017, dans la ville côtière de Fresco, située dans le Sud-ouest de la Côte d’Ivoire. Selon des habitants de la localité, joint au téléphone par La Diplomatique d’Abidjan (LDA,www.ladiplomatiquedabidjan.net), des assaillants armés s’en sont pris à des bâtiments administratifs et  à la gendarmerie locale.

«Ils tirent en l’air on ne sait pas trop pourquoi ni qui ils sont », raconte un habitant de cette ville d’ordinaire très calme. D’après cette source, les tirs ont commencé à 22 heures.

Cette attaque intervient après celle perpétrée par des assaillants le 19 juillet, contre l’Ecole national de police d’Abidjan. Quatre personnes dont des militaires ont été arrêtées après cette attaque.

AT  

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La secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération Internationale, Mounia Boucetta, à la tête d’une forte délégation, est à Abidjan depuis jeudi 27 juillet 2017, en vue des préparatifs du Groupe d’Impulsion Economique Maroc-Côte d’Ivoire (GIEMC), annonce l'AIP. Le Groupe d’impulsion économique Maroc-Côte d’Ivoire (GIEMCI) a été mis sur pied après la signature de l’Acco rd de partenariat stratégique et économique  entre les deux Etats, à l’occasion de la visite d’Etat du Président Alassane Ouattara au Maroc, en janvier 2015.

Le GIEMC est coprésidé par les ministres des Affaires Etrangères des deux pays et composé des ministères techniques concernés et par des personnalités représentant le monde des affaires. Par le biais du GIEMC, le Forum économique « Maroc-Côte d’Ivoire » s’est institutionnalisé. Il se tient chaque année, de façon alternée, dans les deux pays. Abidjan a accueilli la deuxième session du GIEMCI, en février 2017.

 La secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération Internationale, Mounia Boucetta, à la tête d’une forte délégation, est à Abidjan depuis jeudi en vue des préparatifs du Groupe d’Impulsion Economique Maroc-Côte d’Ivoire

La délégation marocaine est sur les bords de la lagune Ebrié  pour  s’assurer du suivi de la mise en place des accords signés entre les deux pays.  «Nous allons passer en revue l’ensemble des accords et nous assurer de leur bonne exécution et identifier d’éventuelles solutions pour leur bon fonctionnement » a-t-elle déclaré, à la sortie d’une audience, jeudi, avec le ministre ivoirien des Affaires étrangères Marcel Amon-Tanoh

La cheffe de la délégation  a rappelé « l’ampleur et l’importance » des relations entre la Côte d’Ivoire et le Maroc traduit en une centaine d’accords conclus dont plus de 16 domaines de coopération et plusieurs projets physiques en cours de réalisation.

« Cette visite va permettre à Mme Boucetta d’évaluer la mise en œuvre des 160 projets -dont 14 signés- avec les points focaux et les différents ministères techniques. Elle va également échanger avec des ministères techniques dont celui de la Construction vu l’importance accordé au problème du foncier en Côte d’Ivoire » a traduit pour sa part  Amon Tanoh. Il a donné l’assurance que son administration va «jouer son rôle afin de lever toutes les difficultés au niveau des différents projets».

Pour la première journée, la délégation marocaine  s’est d’abord rendue sur le chantier du projet de réaménagement de la Baie de Cocody avant de se rendre à l’usine  de la société Ciments d’Afrique (CIMAF). Elle se rendra, ce vendredi, au centre de formation professionnelle de Yopougon, au point de débarquement aménagement de Locodjoro.

Les relations diplomatiques entre la Côte d’Ivoire et le Maroc sont établies depuis le 16 août 1962. La coopération économique entre les deux pays connait depuis peu une nouvelle dynamique  impulsée par leurs dirigeants respectifs.

AT

NB: Photo intérieur de texte : Mounia Boucetta (à gauche), secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération Internationale du Maroc, reçue par le ministre ivoirien des Affaires étrangères à Abidjan(Ph. Abidjan.net)

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La France, après sept journées de compétition à l’occasion  des VIIIe jeux de la Francophonie, est en tête des médailles, la Côte d’Ivoire en tant que pays hôte des jeux venant en 7ème position. La France se taille la part du lion avec un total de 46 médailles dont 28 en or et est talonnée par le Canada qui enregistre 35 médailles dont 13 en or. Quant à la Côte d’Ivoire, elle s’en tire avec 13 médailles à savoir 5 en or, 6 d’argent et 2 de bronze.

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Le gouvernement espagnol devrait valider, ce vendredi 28 juillet 2017, un plan d’annulation de la dette de la Côte d’Ivoire, a annoncé, jeudi, à Abidjan, son ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Alfonso Dastis, au sortir d’une rencontre avec le président Alassane Ouattara.

La Côte d’Ivoire a bénéficié, en juin 2013, d’une annulation de sa dette de 217,63 millions d’euros (142 755 921 910 FCFA) envers le Royaume d’Espagne.

L’annulation de cette dette est intervenue dans le cadre de l’atteinte du point d’achèvement de l’Initiative PPTE renforcée. Elle (l’annulation) se présente sous la forme d’une reconversion en contrat désendettement développement, signale-t-on.

« J’ai communiqué à monsieur le Président que l’Espagne, demain (vendredi), va approuver un plan d’annulation, de conversion de la dette ivoirienne qui devrait ouvrir la voie à une coopération économique, financière et commerciale importante entre nos deux pays », a déclaré le chef de la diplomatie espagnole, reçu jeudi, en milieu de journée au palais de la présidence, au Plateau.

Le ministre espagnol est en Côte d’Ivoire dans le cadre d’une volonté de son gouvernement de réchauffer les liens de coopération avec Abidjan, quelque peu tiédies du fait des différentes crises qu’ont traversées les deux Etats.

Il a ainsi réaffirmé, à sa sortie d’audience, l’attachement de son pays aux relations avec la Côte d’Ivoire, déplorant le fait qu’elles n’avaient pas été « denses et puissantes » ces dernières années comme elles auraient dû l’être au regard de l’histoire de la coopération entre les deux Etats.

Avant l’audience avec le président Ouattara, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération d’Espagne a procédé, avec son homologue ivoirien, à la signature d’un mémorandum d’entente de coopération politique entre les deux administrations.

Ce mémorandum intègre les actes devant conduire à un renforcement de l’axe Madrid-Abidjan.

« Maintenant, on a tous les moyens et tous les dispositifs pour avoir une relation dont peuvent bénéficier deux pays comme les nôtres, dans le but de renforcer notre paix, notre prospérité et les relations entre l’Afrique et l’Europe en général », s’est félicité Alfonso Dastis.

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La transformation structurante du Plateau, quartier administratif et des affaires d’Abidjan, se poursuit. Après le lancement seulement jeudi 27 juillet 2017, d’un centre d’affaires et hôtelier ultra-moderne en face de l’Hôtel du district d’Abidjan, c’est au tour d’un complexe de standing milieu-haut de gamme d’ouvrir officiellement ses porte ce vendredi.

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Les forces régulières de Côte d’Ivoire ont mis aux arrêts des soldats soupçonnés d’être impliqués dans l’attaque récente de l’école de police d’Abidjan et du commissariat d’Azaguié. D’après le ministère de la Défense, les personnes ayant perpétrés ces attaques recherchaient des armes dans ces lieux sécuritaires. Mais des armes pour faire quoi ? C’est à cette préoccupation qu’a répondu le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, le mercredi 26 juillet 2017.

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La deuxième édition du festival Djamala Kongnon-Yah organisée par la mairie de Satama-Sokoro a eu lieu du 20 au 23 juillet 2017 dans ladite commune, située dans le département de Dabakala, région du Hambol. «L’autonomisation de la femme », tel était le thème de cette édition qui a rassemblé les fils et filles de la municipalité. 

Le « Djamala Kongnon-Yah » chez le peuple Djamala est une période où l’on célèbre les mariages traditionnels collectifs. Ceux-ci sont marqués par des rituels qui donnent des cachets particuliers aux différentes unions. Le festival créé autour par la municipalité permet de mobiliser les fils et filles des différents localités environnantes et ceux résidant ailleurs( Abidjan, Bouaké, etc) à prendre part à la fête, chaque 20 juillet de l’année. Cette façon de célébrer le mariage coutumier est unique à Satama-Sokoro, fait-on savoir.

Le jardin des mariées

Le processus du mariage chez le peuple Djamala de Satama-Sokoro débute dans un jardin appelé « Jardin des mariées ». C’est le lieu où les jeunes mariées se préparent pour leur sortie officielle. Il s’agit pour elles de se rendre belles, avant l’exécution de la mythique danse Takpê.

DSC01824Le Takpê

Le Takpê. C’est la marque indélébile, raconte-t-on, du mariage au pays Djamala. C’est pourquoi, selon les explications de Touré Bassidiki, membre du comité d’organisation, toute femme qui se marie doit passer par cette étape. Et les sages ne badinent pas avec le Takpê dans le processus du mariage. C’est une sorte de parade d’honneur qu’on fait aux mariées. Cette danse intervient juste après la sortie de celles-ci du jardin en voile. De façon pratique, les jeunes mariées sont portées par des jeunes garçons sur les épaules, exécutant des pas de danse, les balançant exagérément. « Il n’y a aucun risque de chute », rassure un jeune porteur qui visiblement ne tient plus sur ses jambes du fait du poids de la jeune fille. Mais qu’à cela ne tienne, c’est le Takpê. D’ailleurs, quand un porteur est fatigué, il est automatiquement relayé par un autre ou fait assoir la jeune mariée sur une natte que tient sa dame de compagnie, avant de reprendre de plus bel pour le tour du village. Ils le font ainsi le premier jour. Les autres jours, le Takpê se danse sans les mariées. Au cours de la danse, il y a aussi ceux qu’on appelle les « Massas » (ils tiennent en main une chicotte) chargés de maintenir l’ordre et surtout le rythme de la danse. Avec eux, les femmes et jeunes filles (vêtues de pagnes traditionnels), les jeunes hommes et les enfants doivent obéir et danser. Le Takpê qui peut durer une semaine voire un mois est exécuté par les jeunes mariées uniquement pendant que les mariés de chaque grande famille (Ouattara, Fofana, Touré..) ou quartier (Librisso, Djagbanansso, Dioulasso et Malasasso) sont internés dans une chambre, nourris avec de la viande spéciale. Chaque soir, ils retrouvent le domicile familial où les rejoint leur conjointe. Une mariée dont l’époux est absent se voit obliger, au nom de la coutume, de passer la nuit chez sa belle famille. Et ce, durant une semaine que durera le « Kongnon-Yah » (le mariage).

Le mariage civil

Si pour le peuple Djamala le mariage traditionnel est important, le mariage civil doit l’être aussi, soutient Ouattara Soualiho le maire de la commune de Satama-Sokoro. Lors de ce festival, 35 mariages traditionnels ont été célébrés. Malheureusement, seuls Touré Mouhamadou et Touré Fatoumata se sont présentés devant lui. Des documents administratifs auraient contraint les autres à ajourner leur mariage civil. Le maire a donc invité les uns et les autres à s’intéresser à cette étape de la vie conjugale, surtout que les frais sont à la charge de la mairie.

La visite de Kong

DSC01898C’est une autre étape importante dans le processus de célébration du mariage chez les Djamalan. Pour eux, c'est un véritable retour à la source de ses principes qui fondent leur culture. Selon la petite histoire, par le passé, les nouveaux mariés de Satama-Sokoro effectuaient le voyage de Kong pour être présentés aux parents. Au fil des temps, les choses étant devenues difficiles, les deux villages ont trouvé de concert un site représentant le village de Kong. Ainsi chaque année, après les mariages coutumiers collectifs, les nouveaux mariés sont amenés de façon symbolique sur ce site pour saluer les parents de Kong grâce à une simulation, explique M. Baikoro. Et l’accord du chef Canton pour se rendre sur le site vaut son pesant d’or.

Le processus du mariage Djamalan se termine par la soirée Waliman qui fait un point d’honneur aux couples accompagnés de leurs dames de compagnie. Au cours de celle-ci, des prédicateurs ou des sages dégustent le premier repas des mariées et disent des bénédictions pour leur foyer, sans manquer de les conseiller.

"Femmes autonomes" et "unité du peuple Djamala"DSC00691

Pour le maire Ouattara Soualiho, le festival «Djamala Kongnon-Yah» sert de prétexte à la célébration de la culture Djamala. Le festival est donc « un prétexte pour montrer à la face du monde la richesse de notre patrimoine culturel que si nous ne prenons garde pourrait disparaitre », indique-t-il, invitant tout le monde à la source.

Mme Coulibaly Fofana Alimata, commissaire général du festival, se dit heureuse et satisfaite de cette édition, saluant la mobilisation des populations. Elle a saisi cette occasion pour inviter ses sœurs à exercer des activités lucratives, afin de parvenir à une autonomisation financière. «..nos mamans et filles éprouvent d’énormes difficultés financières. Je les ai incitées à faire des activités lucratives pour une autonomie financière au profit de leur famille», a-t-elle dit, avant de les encourager à fréquenter l’institut de formation de la commune. « Nous souhaitons que chaque édition soit une opportunité pour le peuple Djamala de s’unir, regarder dans la même direction pour le développement de notre commune », a ajouté le commissaire général du festival «Djamala Kongnon-Yah».

De son côté, le président du comité scientifique Hien Norbé voit ce festival comme un outil de développement socio-économique et culturel pour la commune de Satama-Sokoro.

 

Daniel Coulibaly, envoyé spécial à Satama-Sokoro

 

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En Afrique subsaharienne, le manque de pièces de monnaie et de petites coupures de billets de banque constitue souvent une entrave aux petites transactions commerciales dans les boutiques, les supermarchés ou les épiceries et provoque parfois des frictions entre vendeurs et acheteurs. En réponse à ce problème de société, l’entrepreneur ivoirien Barthélémy Kouamé a développé une application mobile baptisée "Timonn" (diminutif de "petite monnaie").

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