Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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Le directeur général de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNPS), Charles Denis Kouassi, a été distingué, vendredi 7 février 2025 à Paris, pour les performances exceptionnelles en matière de sécurité sociale.

Selon un communiqué transmis à l’AIP, M. Kouassi a été honoré de la médaille d’or de la ligue universelle du bien public, une structure française reconnue d’intérêt général et partenaire de l’Organisation des Nations Unies (ONU), ainsi que de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO).

Cette médaille récompense l’engagement du directeur général en faveur du bien public, de l’humanisme, du progrès social et de l’amélioration du bien-être collectif.

Lors de la remise de la distinction, le lauréat a exprimé le souhait que cette médaille devienne une source de motivation pour l’ensemble de la CNPS, confirmant ainsi la reconnaissance internationale des actions menées en faveur du social.

« Cette médaille est une distinction prestigieuse qui célèbre l’impact de nos actions collectives pour une sécurité sociale plus juste et inclusive. Cette reconnaissance est le fruit du travail acharné de toutes les femmes et de tous les hommes de la CNPS, qui contribuent chaque jour à transformer des vies et à bâtir un avenir meilleur », a-t-il salué.

Charles Denis Kouassi a exhorté l’ensemble de ses collaborateurs à continuer d’innover et à démontrer que l’Afrique peut être un modèle de durabilité et de progrès social.

En dédiant cette reconnaissance à l’ensemble des collaborateurs, il a souligné que c’est le travail acharné de chacun qui est mis à l’honneur.

« Ce prix témoigne des efforts déployés pour moderniser les services de protection sociale et les rendre plus accessibles et plus efficaces », a-t-il indiqué.

Le portefeuille global de la CNPS, qui comprend les secteurs monétaires, financiers, immobiliers et fonciers de l’institution, est passé de 156 milliards de FCFA en 2014 à 1 438 milliards de FCFA en 2024.

Les excédents ont évolué de 45 milliards de FCFA en 2014 à 225 milliards de FCFA en 2024, et les recouvrements effectifs des cotisations sociales ont progressé, passant de 197 milliards de FCFA en 2014 à 466 milliards de FCFA en 2024.

Source: AIP

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La Chine assume à partir de cesamedi la présidence tournante du Conseil de sécurité des Nations unies
pour le mois de février, succédant à l’Algérie.

Le représentant permanent de la Chine auprès des Nations unies, Fu Cong, tiendra une conférence de presse lundi prochain, au cours de laquelle il informera la presse accréditée du programme de travail du Conseil après son adoption par ce dernier lors d’une session matinale.

L’Algérie avait présidé en janvier le Conseil de sécurité de l’ONU. Sa présidence a été marquée par des efforts inlassables en faveur de la défense des causes justes et des questions liées à la paix et la sécurité
internationales notamment en Afrique.

Officiel

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Du 12 au 14 février 2025 se tiendront, au siège de l’ONU à New York, la troisième réunion du Comité préparatoire de la Conférence mondiale des Présidents de parlement et l’Audition parlementaire de l’Union Interparlementaire (UIP).

Abidjan, dimanche 9 février 2025-Un moment très attendu lors de ces assises est l'intervention du Président de l'Assemblée nationale ivoirienne Adama Bictogo sur le thème « Contrôle parlementaire des Objectifs de développement durable : l'institutionnalisation inachevée », lors des discussions prévues pour le jeudi 13 février 2025.

 Celles-ci se dérouleront dans le cadre de l’audition parlementaire organisée cette année autour du thème « Intensifier l’action en faveur des objectifs de développement durable : le financement, les institutions et la politique ».

Ces discussions, qui constituent une occasion unique pour les dirigeants parlementaires de renforcer les contributions de leurs États aux débats internationaux sur le multilatéralisme, la coopération parlementaire et les défis mondiaux liés au développement durable, permettront à l'Ivoirien Adama Bictogo de partager, avec l’ensemble des participants, les initiatives prises par l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire en matière de gouvernance et de développement.

Prévue sur deux jours, l’Audition parlementaire mettra un accent particulier sur le financement et les réformes nécessaires à la mise en œuvre des ODD d’ici 2030. Elle abordera également des sujets cruciaux tels que la mobilisation des ressources nationales, la réforme fiscale, la coopération pour le développement et la gestion de la dette publique. Une attention particulière sera portée à la manière dont les parlements peuvent mieux contrôler les budgets et garantir une allocation efficace des ressources pour accélérer la réalisation des ODD.

Quant à la réunion du Comité préparatoire, qui se tiendra le 12 février 2025, elle permettra aux membres de finaliser la structure et les thèmes de la sixième Conférence mondiale des Présidents de parlement, prévue pour juillet 2025.

Cette session sera marquée par un échange stratégique avec le Secrétaire général de l’ONU et l’examen du programme révisé de la conférence, du projet de règlement ainsi que de la déclaration de haut niveau.

 

Avec Sercom Assemblée nationale 

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Depuis l’avènement des réseaux sociaux, nos vies ont basculé dans une ère où le virtuel façonne nos interactions, nos émotions et nos comportements. Chaque jour, nous passons des heures à scroller, liker, commenter, partager, réagir. Derrière cette illusion d’hyper connexion se cache une réalité plus sombre : sommes-nous encore maîtres de notre temps et de nos pensées, ou sommes-nous devenus esclaves d’un système qui nous manipule ?

Dans son livre « Réseaux sociaux : Entre addictions et santé mentale », la psychiatre et addictologue Dr. Imane Kendili explore les effets délétères du numérique sur notre bien-être psychologique et sur nos sociétés. À travers une analyse précise et documentée, elle démontre comment ces outils, initialement conçus pour nous rapprocher, sont devenus des instruments d’isolement, d’addiction et de désinformation massive.

Pourquoi est-il si difficile de lâcher son téléphone ? Pourquoi ressentons-nous cette pulsion irrépressible de vérifier nos notifications ? Les réseaux sociaux exploitent les mêmes mécanismes neurobiologiques que les drogues et les jeux d’argent. Chaque interaction déclenche une production de dopamine, ce neurotransmetteur du plaisir qui nous incite à revenir encore et encore. Cette surstimulation continue nous piège dans un cycle addictif dont il devient difficile de s’extraire. Les conséquences sont multiples : troubles du sommeil, fatigue chronique, dépendance émotionnelle aux réactions des autres, anxiété sociale, perte de concentration, diminution des capacités cognitives et isolement progressif du monde réel.

Dans ce monde où tout semble accessible en un clic, où l’information circule plus vite que jamais, nous avons assisté à une autre dérive inquiétante : la montée en puissance des fake news et de la manipulation de masse. Sur les réseaux sociaux, la désinformation se propage six fois plus vite que la vérité. L’algorithme favorise les contenus sensationnalistes et polarisants, enfermant chacun dans une bulle où seules les idées qui confirment ses croyances lui parviennent. Ce phénomène amplifie la fracture sociale et fragilise nos démocraties. Derrière ce flux ininterrompu, des groupes orchestrent stratégiquement la diffusion de rumeurs, de montages vidéos truqués et de fausses informations destinées à influencer l’opinion publique. L’utilisateur, pensant être maître de ce qu’il lit, est en réalité dirigé par des logiques invisibles qui exploitent ses émotions pour mieux le contrôler.

Ce climat de défiance s’accompagne d’un phénomène tout aussi pernicieux : la multiplication des faux experts. Aujourd’hui, tout le monde est médecin, psychologue, économiste, coach de vie, analyste politique. Il suffit d’un compte Instagram ou d’une chaîne YouTube pour se proclamer spécialiste d’un domaine. Des millions de personnes prennent au sérieux des conseils émanant de personnes sans qualification, mettant parfois leur santé physique et mentale en danger. Des influenceurs prescrivent des régimes dangereux, des méthodes miraculeuses pour guérir la dépression ou des solutions farfelues pour réussir dans la vie. Internet est devenu une jungle où la parole des charlatans résonne plus fort que celle des vrais experts.

Dans ce contexte, le cyberharcèlement s’est imposé comme une violence omniprésente. Avec l’anonymat et l’instantanéité des réseaux sociaux, la haine se déchaîne sans retenue. Insultes, menaces, humiliations, campagnes de diffamation se propagent à une vitesse fulgurante. Des centaines de jeunes sombrent dans la dépression, certains vont jusqu’à commettre l’irréparable. Les études montrent que les femmes sont les premières victimes de cette nouvelle forme de persécution numérique. Cette guerre psychologique menée derrière un écran a des conséquences bien réelles : anxiété généralisée, perte de confiance en soi, troubles post-traumatiques. Dans ce monde où les mots peuvent détruire, il devient urgent de responsabiliser et d’éduquer pour mettre fin à cette violence numérique.

Face à ces dérives, comment retrouver un équilibre ? L’objectif de ce livre n’est pas de diaboliser les réseaux sociaux, mais d’apprendre à en faire un usage éclairé. Il ne s’agit pas de se déconnecter complètement, mais d’apprendre à gérer son temps d’écran, à remettre en question les informations qui nous parviennent, à ne pas tomber dans les pièges de la comparaison sociale et à privilégier les interactions réelles. Il est possible de sortir de cette spirale infernale en adoptant des pratiques simples : limiter les notifications, désactiver les recommandations automatiques, privilégier des sources d’information fiables, développer son esprit critique et surtout, ne pas laisser les réseaux sociaux dicter nos émotions et nos choix de vie.

Dans un monde où la connexion permanente est devenue la norme, cet ouvrage nous invite à reprendre le pouvoir sur notre attention, notre esprit et notre bien-être mental. Il pose une question essentielle : sommes-nous encore capables de faire la part des choses entre la réalité et l’illusion numérique ? Ce livre percutant, documenté et essentiel nous aide à comprendre les dangers invisibles qui se cachent derrière nos écrans et à envisager un usage plus sain et plus conscient des outils numériques. Une lecture nécessaire pour mieux naviguer dans un monde où l’addiction et la manipulation ne cessent de prendre de l’ampleur.

Disponible aux Éditions Orion.

Dr. Imane Kendili, psychiatre et addictologue

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Koné Brahima Yves, Directeur Général du Conseil du Café-Cacao de Côte d'Ivoire, et son Directeur Général Adjoint, Dr. Koffi Ngoran, ont reçu le 3 février 2025,  une délégation brésilienne de haut niveau, dirigée par Ana Repezza, Directrice Commerciale de l’Agence de Promotion des Exportations et Investissements du Brésil (ApexBrasil). Cette rencontre s'inscrivait dans le cadre du Séminaire d’Affaires Brésil-Côte d’Ivoire.

Sous l'impulsion du président brésilien Luiz Inácio Lula, l'objectif de cette visite était de renforcer les liens entre les deux géants du cacao, visant à améliorer les pratiques agricoles, promouvoir le développement durable et renforcer leur compétitivité sur le marché mondial.

Présents lors de cette rencontre, l'Ambassadeur du Brésil en Côte d’Ivoire, SEM José Carlos de Araújo Leitão, et M. Luis Renato de Alcântara Rua, Directeur du Commerce et des Relations Internationales du Ministère brésilien de l’Agriculture.

Mme Repezza a souligné la volonté du Brésil d’intensifier la coopération pour relever les défis de durabilité, qualité et compétitivité du cacao.

De son côté, Koné Brahima Yves a rappelé l’histoire partagée, évoquant l’introduction du cacao en Afrique par le Brésil en 1822.

Ce partenariat promet de transformer l’industrie du cacao en combinant expertise en recherche, techniques de production et transformation durable.

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L’Ambassade de Côte d’Ivoire aux États-Unis a accueilli le samedi 1er février 2025, une cérémonie de vœux entre la Diaspora ivoirienne et S.E.M. Ibrahima Touré, Ambassadeur de Côte d’Ivoire.

Mamadou Diomandé, Président du Conseil d'Administration de l'Union Fraternelle des Ivoiriens (UFI), a présenté les vœux de bonne et prospère année 2025 au Chef de Mission, saluant la coopération entre les associations et l’Ambassade.

Il a exprimé l’engagement des Ivoiriens aux États-Unis à contribuer au rayonnement de leur pays d’origine.

L'Ambassadeur Ibrahima Touré a répondu en souhaitant santé, bonheur et prospérité à ses hôtes.

Il a encouragé la Diaspora à renforcer la solidarité et l’entraide, tout en abordant le projet de la "Maison des Ivoiriens". Il a promis de soutenir cette initiative, appelant à l'union des Ivoiriens pour sa réalisation.

L’Ambassadeur a également présenté les projets de l’Ambassade pour 2025, notamment un voyage des Afro-descendants américains en Côte d'Ivoire et une rencontre sur les opportunités d'investissement prévue pour avril.

Il a conclu son discours en appelant à l’unité nationale et en encourageant ses concitoyens à éviter tout discours haineux.

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Fitch Ratings a confirmé le vendredi 31 janvier 2025, la note souveraine de la Côte d'Ivoire à BB-, accompagnée d'une perspective stable, malgré les incertitudes politiques liées à l’élection présidentielle prévue pour octobre 2025.

Selon l'agence de notation, cette note reflète les solides performances économiques du pays, une gestion budgétaire rigoureuse et des politiques macroéconomiques bien ancrées, marquées par une faible inflation et une coopération étroite avec le FMI.

Fitch souligne que, bien que la présidentielle à venir soit un moment déterminant pour la stabilité politique et sociale de la Côte d'Ivoire, l'historique des violences post-électorales, notamment en 2010-2011, témoigne de la fragilité du contexte politique.

Toutefois, l’agence estime que tout affrontement potentiel restera limité et ne nuira ni à la croissance économique ni aux efforts de consolidation budgétaire.

D'un point de vue économique, la Côte d'Ivoire continue d'afficher une performance impressionnante. La croissance économique, estimée à 6,1 % en 2024, devrait accélérer à 6,5 % à moyen terme, un chiffre bien supérieur à la médiane des pays notés BB, fixée à 3,8 %.

Cette croissance est soutenue par des investissements publics ambitieux, une diversification accrue dans les secteurs de l'or et du pétrole, ainsi qu’une politique macroéconomique stable.

La rédaction

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La Chine a annoncé l'instauration de nouvelles taxes sur les importations d’hydrocarbures, de charbon et de certains véhicules en provenance des États-Unis, tout en déposant une plainte contre Washington auprès de l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Pékin dénonce les intentions « malveillantes » de Washington à travers ces mesures.

Ces taxes douanières font suite à l'entrée en vigueur, le 4 février 2025, des droits de douane américains visant les produits chinois, selon des médias internationaux.

Dès le 10 février, la Chine appliquera des droits de douane de 15 % sur les importations de charbon et de gaz naturel liquéfié en provenance des États-Unis, a annoncé le ministère chinois des Finances. Des taxes de 10 % seront également imposées sur les importations de pétrole américain, ainsi que sur les machines agricoles, les véhicules de sport à grosse cylindrée et les camionnettes venant des États-Unis.

Ces mesures ont été communiquées peu après l'augmentation de 10 % des droits de douane américains sur tous les produits importés de Chine.

Le ministère chinois des Finances a exprimé que ces taxes, promulguées par le président américain Donald Trump, « ne font rien pour résoudre les problèmes internes des États-Unis et perturbent la coopération économique et commerciale » entre les deux nations.

Par ailleurs, la Chine a annoncé l’ouverture d’une enquête contre Google, soupçonné de violer la réglementation antimonopole du pays.

L'agence chinoise de régulation du marché a précisé que l’enquête avait été lancée conformément à la loi chinoise sur la concurrence.

mc

 

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De retour de Chine après un programme d’échange médiatique de quatre mois organisé par le Centre international de presse de Chine (CIPCC), Dr Tanguy Gahié, journaliste-correspondant de l’Agence Ivoirienne de Presse (AIP), a qualifié cette expérience de révélatrice, loin des stéréotypes courants, lors d’une interview.

« Ce séjour en Chine a été une véritable révélation. J’ai pu découvrir un pays en pleine mutation, où la modernisation est au cœur des préoccupations. J’ai été particulièrement impressionné par les avancées technologiques et les efforts déployés pour préserver l’environnement », a-t-il déclaré.

Le programme du CIPCC, auquel ont participé une centaine de journalistes issus de 84 pays du 15 août au 15 décembre 2024, a offert une immersion complète dans la culture et la société chinoises. Les participants ont visité plusieurs villes, notamment Jiangsu, Xinjiang, Shanghaï et Fujian, et ont pris part à des rencontres avec des responsables politiques, des experts et des journalistes locaux.

Dr Tanguy Gahié a également assisté à des conférences et débats portant sur des thèmes variés, tels que la politique étrangère de la Chine, son modèle économique et ses relations avec l’Afrique.

« Ce programme m’a offert une vision plus nuancée et plus complète de la Chine. J’ai pu constater que la Chine est un pays complexe, en constante évolution, et qui joue un rôle de plus en plus important sur la scène internationale », a-t-il ajouté.

Soulignant l’importance de tels programmes, il a affirmé qu’ils renforcent les échanges entre les médias chinois et africains.

De retour en Côte d’Ivoire, Dr Tanguy Gahié prévoit de partager ses impressions avec ses confrères et des étudiants en journalisme à Abidjan. Il compte également mettre à profit les connaissances acquises pour enrichir ses reportages et mieux informer les lecteurs de l’AIP sur les réalités chinoises.

Selon le directeur du CIPCC, Yu Lei, ce programme vise à offrir une perspective approfondie sur la Chine contemporaine et à déconstruire les stéréotypes. Cette initiative a réuni des journalistes de divers horizons, notamment d’Afrique, d’Asie, d’Amérique du Sud, d’Europe de l’Est et des Caraïbes.

Source: AIP

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La Coalition des Chrétiens Hommes, Femmes d’Affaires et Décideurs (CCHFD) a organisé une conférence de presse le dimanche 2 février 2025 à la Fondation Saint François, siège de la communauté Mère du Divin Amour Riviera palmeraie, marquant le lancement de la 6ᵉ édition de New Africa’s Builders.

Cet événement, incontournable pour les leaders chrétiens influents, se tiendra du 8 au 9 février 2025 au Sofitel Hôtel Ivoire d’Abidjan et sera centré sur la transformation économique de l’Afrique.

La conférence a accueilli trois personnalités de renom : la Sénatrice Mariam Dao Gabala, présidente internationale de New Africa’s Builders, Dr Jean Emmanuel Clément AKOBÉ, fondateur de la CMDA, et M. Arnaurd Kouassi, président du comité d’organisation. Cette édition se déroulera sous le thème « À tes résolutions répondra le succès », mettant en lumière l'importance de la détermination et de la foi pour atteindre la réussite.

Dr Clément AKOBÉ a évoqué l’importance de chercher l’argent non seulement pour soi-même, mais aussi pour Dieu et pour le bien du peuple. Il a insisté sur la nécessité de mettre Dieu au centre de toutes les actions.

Dans son intervention, la présidente de la coalition Madame Gabala a ajouté que la réussite ne se fait pas par hasard et que chaque étape du succès doit être soigneusement planifiée.

Pour elle, cette conférence permettra aux participants d’apprendre à planifier leur succès avec des méthodes concrètes.

Le programme de cette 6ᵉ édition, présenté par M. Kouassi, comprendra des ateliers pratiques et des interventions inspirantes.

La première journée sera consacrée à la prise de décision et à la planification stratégique, tandis que la seconde mettra l’accent sur l’engagement politique pour servir Dieu et bâtir une société plus juste.

A noter que les panels réuniront des personnalités influentes comme Mme Simone EHIVET GBABGO et M. Pierre DIMBA qui viendront enrichir les débats.

mc

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