Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

LDA Journaliste

Email: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Mme Mieko Mcy, directrice adjointe Breakthrough Action, a procédé à l‘ouverture d’un atelier de formation des formateurs en matière de communication sur les risques dans le cadre de la mise en œuvre du PANSS (plan d’action national de sécurité sanitaire) en Côte d’Ivoire. Cet atelier organisé par le groupe technique du travail communication sur les risques se déroule du 17 au 22 septembre 2018 à Yamoussoukro.


Il s’adresse aux professionnels des médias (presse écrite, presse en ligne, audiovisuel) aux points focaux communication des ministères impliqués dans l’approche « One health » ou "une seule santé".

L'objectif principal est la formation de pool de facilitateurs parmi les professionnels des média (radio audiovisuel, numérique, presse écrite) et les points focaux en matière de communication sur les risques dans la cadre de la mise en œuvre de ce plan.

Selon Mme Mieko Mcy, c’est un projet établi sur 5 ans avec pour partenaire principal USAID, le soutien de l’organisation mondiale de la santé, le ministère ivoirien de la Santé et de l’hygiène publique, et bénéficiant de l’appui technique et financier du projet Breakthroug Action.

Le formateur de cet atelier est Zio Moussa, journaliste et président de l'observatoire de la liberté de la presse, de l'éthique et de la déontologie (OLPED),

 

Daniel Coulibaly

 

Comment

Jochen Hoettche est le nouveau directeur régional Afrique de l’ouest de la fondation allemande Friedrich Naumann. Il remplace à ce poste Mme Inge Herbert qui regagne l’Allemagne pour une autre mission, après 4 ans de service sur le Continent.

Lors d’une soirée d’au revoir organisée par la représentation ivoirienne de la fondation, le jeudi 6 septembre 2018 à son siège à Abidjan, l’ambassadeur de l’Allemagne en Côte d’Ivoire, Michael Grau, a salué le travail remarquable réalisé par cette femme. « Merci Ingre pour le travail accompli.», a-t-il dit, sans manquer de rappeler la politique libérale de son pays qui donne la possibilité à chacun de s’exprimer ou de choisir.

«Les différentes fondations Allemagne en Côte d’Ivoire permettent de créer les contacts et d’échanger avec tout le monde. N’hésitez donc pas à vous approcher d’elles pour toutes vos préoccupations. », a-t-il invité.

Pour sa part, le nouveau directeur Jochen Hoettche, recevant un tableau, signifiant l’ « Akwaba » en terre africaine, de la part de ses collaborateurs ivoiriens, a félicité l’ancienne directrice régionale, avant de s’engager à « continuer sur ce chemin » avec tous les partenaires de la fondation.

Dans son intervention, Sophie Konaté, chargé de programmes, s’est plutôt appesantie sur les qualités de Mme Ingre Herbert qu’elle a résumées en 6 points : la confiance, la réactivité, la rigueur, la responsabilité, l’efficacité, le soutien. Et de lui souhaiter « bon vent » pour sa nouvelle destination.

Quant à Issiaka Konaté, l’ex-directeur de la fondation, il a fait la genèse de la réouverture de l’organisation en Côte d’Ivoire en 2012. Des moments de difficultés à des moments de bonheur qui ont marqué son chemin. Il n’a pas manqué de la remercier pour toutes ses actions menées en terre ivoirienne.

De son coté, Mme Ingre Herbert a évoqué une mission intéressante dans cette partie de l’Afrique. Et également plusieurs projets réalisés pour le bien-être des populations, dont le financement à 10 mille euros la lutte contre la migration clandestine dans notre pays. Et de rendre un vibrant hommage à tous ses collaborateurs du Mali, Sénégal et de la Côte-d’Ivoire.fondation 00155

A ces interventions, il faut ajouter plusieurs témoignages des représentants de la société civile, des ONG, des groupements de jeunes, de partis politiques, etc qui ont relevé son mérite.

La fondation Friedrich Naumnn-Abidjan lui a offert un tableau retraçant son parcours et un pagne traditionnel baoulé et bien d’autres cadeaux des invités.

 

Daniel Coulibaly

 

Comment

San Pédro, deuxième ville portuaire de Côte d'Ivoire située au Sud Ouest du pays, va bientôt abriter une université publique  ultra-moderne (Voir maquette en images). Une cérémonie de signature de conventions pour la construction de cet établissement a eu lieu le lundi 11 septembre 2018 à Abidjan, en présence du Premier ministre ivoirien Amadou Gon Coulibaly  a présidé.

Ces documents ont été paraphés, respectivement, par les ministres en charge de de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Abdallah Mabri Toikeusse, de l’Economie et des Finances, Adama Koné et du Secrétariat d’Etat auprès du Premier ministre, chargé du budget et du Portefeuille de l’Etat, Moissa Sanogo et par la société attributaire de ce projet «  Envol Immobilier », représentée par son directeur général Moktar Thiam.

Université de SP 2

Octobre 2020

Le lancement de ce projet d’envergure qui s’inscrit  dans le cadre du Programme de Décentralisation des Universités en Côte d’Ivoire (PDU) lancé en 2014, est prévu le mois prochain. Il ouvrira ses portes lors de la rentrée universitaire d’octobre 2020, selon le chef du gouvernement, Amadou Gon qui a réitéré sa volonté de voir les délais respectés.

«  Il s’agit d’offrir une égalité de chance à l’ensemble des jeunes de Côte d’Ivoire par la diversification des institutions de formation en les rapprochant de leurs lieux de résidence et de désengorger les universités existantes»,  a déclaré le ministre Albert Mabri Toikeuse, cité par l'AIP.

95 milliards de FCFA

Pour le PCA de la société ’Envol immobilier’’,  Madani Tall, ancien représentant résident de la Banque mondiale au Sénégal et en Côte d’Ivoire, cette infrastructure coûtera en tout 95 milliards de francs CFA et s’inscrit dans le cadre d’un Partenariat public privé (PPP).

L’université de San Pedro sera dédiée, entre autres, aux sciences de la mer et à la construction navale, à l’agriculture et l’agro-industrie, aux ressources halieutiques, ainsi qu’au génie civil et à la logistique.

Université SP 1

Fiche technique

Elle comprendra une résidence d’enseignants et universitaires, des espaces pédagogiques, les locaux de la présidence et des espaces sportifs, ainsi que des amphithéâtres, des logements d’astreintes, un  restaurant et une salle de bibliothèque.

A terme, l’université de San Pedro qui sera bâti sur 302 hectares aura une capacité d’accueil  de 20 000 étudiants, indique-t-on.

AT

Source des images de la maquette : Envol Immobilier

Comment

Le 5ème sommet des partenaires sociaux pour l’emploi en Afrique a ouvert jeudi, à Abidjan, ses portes autour du thème «Développer, mettre en œuvre et superviser les plans d’action nationaux pour l’emploi ».

Co-organisé par la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) et l’Organisation internationale des employeurs (OIE), le sommet réunit des représentants des employeurs, des travailleurs et des gouvernements, ainsi que des représentants de l’Organisation internationale du Travail, afin de discuter de l’élaboration, de la mise en œuvre et du suivi des plans d’action nationaux pour l’emploi.

Dans son discours, le président de la CGECI, Jean-Marie Ackah a souligné que 2013, l’OIE déploie des efforts en vue d’apporter une réponse  à la problématique de la crise de l’emploi à laquelle toutes les économies du monde et particulièrement les économies africaines sont confrontées et ce, en dépit de taux de croissance économique parmi les plus élevés du monde.

Concernant la Côte d’Ivoire, il a souligné que le pays n’échappe pas à cette réalité et la croissance à elle seule ne suffit plus à juguler la pauvreté.

«L’emploi reste avant tout un problème économique. Promouvoir, l’emploi revient à créer les conditions d’un développement durable et inclusif reposant sur une économie dynamique, compétitive, capable de générer de la richesse qui profite au plus grand nombre de personnes », a suggéré le président de la CGECI.

Selon lui, en accueillant ce sommet en terre ivoirienne, la CGECI marque son engagement en faveur des politiques économiques qui, non seulement créent la croissance, mais aussi, des emplois décents en quantité suffisante pour contribuer à la réduction de la pauvreté.

Cette rencontre, qui s’achève vendredi, permettra aux participants de faire l’état des lieux, de tirer des conclusions appropriées et d’évaluer les plans d’actions issus des précédents sommets tenus à Casablanca, Tunis et Alger.

Quatre commissions de travail techniques (emploi rural, TIC, agroalimentaire, accès au financement)  s’efforceront de développer et de mettre en œuvre les plans d’actions nationaux pour l’emploi avec une composante transversale sur le développement des compétences, l’entrepreneuriat des jeunes et l’employabilité.

Au nom du ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, le Directeur de cabinet, Jean Jacques Kanga, a promis que les travaux permettront de mettre en lumière de nombreux défis.

Ouvrant les travaux, le ministre de la Promotion de la Jeunesse et de l’Emploi des Jeunes, Mamadou Touré a précisé que l’objectif est de promouvoir la collaboration entre les partenaires sociaux pour générer la création d’emploi.

Il a exhorté les participants à faire des propositions concrètes dont les résultats contribueront à proposer des programmes que les gouvernements peuvent mettre en place sur le plan national, en collaboration avec les partenaires sociaux.

AIP

Comment

Le Centre de gestion de la SODEFOR (Société de Développement des Forêts) de Korhogo a initié, jeudi, au centre polyvalent Soro Kigbafori Guillaume de ferkessédougou, une rencontre visant à informer les populations du Tchologo du démarrage imminent d’une opération de déguerpissement des occupants des forêts classées de la région, rapporte l'AIP.

« L’État a pris une décision à travers le conseil national de sécurité. Depuis l’année dernière l’État a pris une décision que les populations qui sont installées dans les forêts classées illégalement, puissent quitter les lieux », a fait savoir le directeur du centre de gestion de la SODEFOR de Korhogo, Alphonse Tapé Bi, en présence du de région du Tchologo, Kouamé Koffi, et d’autorités administratives, élus, chefs coutumiers, chefs de terres et populations des départements de Ouangolo et Ferkessédougou.

Cette opération de déguerpissement décidée par le gouvernement ivoirien concerne toute la Côte d’Ivoire. Elle a commencé au Sud et s’est étendue à l’Est et à l’Ouest. Au Nord, elle a commencé dans la zone de Dianra dans le mois de mai, et s’est poursuivie dans le département de M’Bengué dans la la forêt de Paguenou en juin.

Les aires protégées concernées dans le Nord pour cette première phase de déguerpissement sont les forêts classées du Bandaman supérieur, de Laléraba, du Koba, de Nougbo.

Alphonse Tapé B a invité les occupants illégaux de ces forêts « à faire leurs bagages et quitter les lieux avant l’intervention des forces mixtes en charge de l’exécution de cette opération ».

Le préfet Kouamé Koffi a pour sa part, appelé les populations concernées à se soumettre aux ordres du gouvernement, afin que le déguerpissement se fasse sans heurts. « Il y va de la survie de notre patrimoine forestier. Sans forêt, il n’y a pas d’agriculture, pas de pluie, ni d’eau ni de poisson. Ce sera le désert », a-t-il rappelé, exhortant les leaders d’opinion à relayer la sensibilisation auprès des populations.

Cette séance d’information et de sensibilisation sur la libération des forêts classées intervient après une autre similaire tenue en décembre.

(AIP)

Comment

Une délégation brésilienne comprenant des broyeurs et des transformateurs intervenant dans la chaîne de valeur du cacao ont exprimé, jeudi, leur reconnaissance au gouvernement ivoirien pour les efforts accomplis en vue de la reprise des exportations de cacao ivoirien vers le Brésil.

Depuis 2013, le Brésil a suspendu les importations de fèves de cacao de Côte d’Ivoire après la découverte d’une cargaison infectée par des insectes. Ces importations ont repris depuis le mois de juillet 2018 après la mise en place de nouvelles procédures.

Lors d’une rencontre avec le ministre de l’Agriculture et du Développement Rurale, Mamadou Coulibaly Sangafowa, jeudi, le chef de la délégation et président de l’Association des broyeurs et transformateurs du Brésil, Eduardo Bastos, s’est félicité du respect des procédures mises en place de commun accord.

Il a souligné par ailleurs que la reprise des importations fait suite à une instruction du ministère brésilien de l’Agriculture, qui précise également que le pays n’importera que de la Côte d’Ivoire et du Ghana dans le cadre des nouvelles procédures mises en place.

Le ministre Mamadou Sangafowa a exprimé pour sa part tout son intérêt pour la coopération avec le Brésil qu’il a estimé en deçà des potentialités des deux parties. Il a évoqué la question de la transformation du cacao en Côte d’Ivoire qui sera, a-t-il précisé la prochaine étape des discussions avec le Brésil.

« Je vous demande de saisir cette opportunité parce qu’il est clair que nous voulons exporter de moins en moins de fèves et faire de plus en plus de transformation », a-t-il lancé aux investisseurs brésiliens.

Les usiniers brésiliens broient 240.000 tonnes par an pour une production de 180.000 tonnes. D’où un déficit de 60.000 tonnes à recouvrer sur le marché international, notamment en Côte d’Ivoire et au Ghana.

AIP

Comment

Le ministre ivoirien des Transports, Amadou Koné, a procédé, jeudi à l’hôtel Radisson d’Abidjan, à l’ouverture d’une réunion du G7++ sur la sécurité maritime dans le Golfe de Guinée, précisément sur la piraterie et crimes commis sur la mer.

Ces travaux auxquels prennent part des experts des pays du Golfe de Guinnée, sont « un moment déterminant pour la gouvernance de notre espace maritime, (…) pour éliminer la criminalité maritime de notre espace », a expliqué M. Koné.

Cette réunion se tient en prélude à la session 2018 de la Réunion du G7++ ou Groupe des Amis du Golfe de Guinée, prévue du 6 au 7 décembre à Abidjan, sous la coprésidence de la Côte d’Ivoire et du Canada.

« Il s’agit aujourd’hui afin d’avoir un point de vue commun, en attendant la rencontre de décembre », a fait savoir le ministre Amadou Koné, en présence de la représentante de l’Ambassade du Canada en Côte d’Ivoire, Isabel Mainville, et du Secrétaire adjoint du Conseil national de la sécurité de Côte d’Ivoire, Ago Christian Kodia.

Le Secrétaire permanent chargé de l’action de l’Etat en mer, Abroulaye Fofana s’est pour sa part inquiété de la recrudescence de de la criminalité maritime dans cet espace, où plus de 40% des incidents maritimes au monde ont eu lieu dans les deux premiers trimestres de 2018.

En dépit des efforts déployés par les Etats du Golfe de Guinée, les statistiques relatives à la criminalité maritime dans cette zone demeurent élevées, a-t-il relevé.

L’objectif du G7++, précise-t-on, est d’aider les pays du Golfe de Guinée à améliorer la sécurisation de leurs espaces maritimes, à harmoniser les différents cadres législatifs dans le cadre de la lutte contre la criminalité maritime, à renforcer la coopération inter-Etat et à promouvoir l’économie bleue.

Ce groupe comprend l’Allemagne, le Canada, les Etats-Unis, l’Italie, le Japon, le Royaume-Unis, la France, la Belgique, le Brésil (observateur), la Corée du Sud, le Danemark, l’Espagne, la Norvège, les Pays-Bas, le Portugal, la Suisse, l’Union Européenne, l’ONUDC et Interpol.

Comment

La scolarisation de la jeune fille toujours compromise par les grossesses indésirées. Le Réseau Ivoirien pour la Promotion de l’Education pour Tous (RIP EPT) a organisé mercredi, un atelier de sensibilisation sur la scolarisation de la jeune fille et la lutte contre les grossesses en milieu scolaire, à la bourse de travail de Daloa.

L’objectif de l’atelier est de sensibiliser les enseignants, les encadreurs et les communautés sur la nécessité d’accompagner la scolarisation de la jeune fille et s’approprier des textes protégeant la jeune fille contre toutes formes de violence y compris les grossesses pendant la scolarité.

Au niveau spécifique, les responsables syndicaux, les encadreurs, les responsables d’établissement, les communautés, les parents d’élèves  ont été invités à voir le film documentaire sur les grossesses en milieu scolaire et à entamer le débat avec les parents sur l’importance de l’éducation de la fille, le suivi du travail scolaire et tirer le bilan des discussions.

A cet atelier, le conférencier Baillet Hervé, juriste publiciste, a rassuré les parents d’élèves que malgré les cas de grossesses d’une élève, elle a droit à l’éducation. Pour lui, selon la loi, si un enseignant est reconnu comme auteur de grossesse d’un élève, il est passif de sanction disciplinaire ainsi que l’élève.

Le directeur régional de RIP EPT, Koffi Kessi, a justifié le sens de cette rencontre qui est, pour lui, capital dans l’éducation des jeunes filles.

Les participants à cette activité sont les DREN, les IEP, les membres de chaque organisation syndicale, des personnels d’encadrement du ministère de l’éducation, les ong, les associations de parents d’élèves, les associations de mères de filles élèves et les organisations communautaires de base.

AT

Comment

Auréolé de son statut de doyen des délégués PDCI-RDA de la région de la Marahoué, Boti Bi Zoua jouit d’une grande assise politique dans la région de la Marahoué. Parrainé par le PDCI-RDA et plébiscité par la société civile et la quasi-totalité des populations des 3 départements que comptent la région de la Marahoué, il s’est imposé par le travail comme la nouvelle chance de la région au fil des semaines. Dans la perspective des élections régionales du 13 octobre.

La relation quasi-fusionnelle qu’entretien Boti Bi Zoua, le doyen des délégués PDCI-RDA de la région de la Marahoué et les populations pourrait se concrétiser par sa victoire au soir du 13 octobre 2018 à l’issue des élections régionales. Et pour cause, le parrainage de sa candidature par le PDCI-RDA ainsi que l’immense engouement que cela a pu susciter auprès des populations des départements de Bouaflé, Sinfra et Zuenoula représentent l’acte politique le plus marquant dans la région ces derniers mois.

Délégué PDCI-RDA de Sinfra commune depuis plus d’une décennie, membre du bureau politique, cadre proche des jeunes et des femmes, Boti Bi Zoua est sans aucun doute l’homme politique de la Marahoué apte à redonner un second souffle à cette riche et dynamique région de la Marahoué. Initialement cadre de premier plan du privé depuis plusieurs décennies, il a été de tous les combats pour l’implantation et le rayonnement du PDCI-RDA partout en Cote d’Ivoire et principalement dans sa région natale, la Marahoué.

Pilier su système Bédié dans la région, il est en mesure de mettre en musique la vision du patron du PDCI-RDA pour développer tous les départements et sous-préfecture de la Marahoué dans une approche de proximité et d’inclusion de toutes les compétences. Pour Boti Bi Zoua, il n’ y a pas de raison que seules les grandes villes (Abidjan, Bouaké, San Pedro) captent l’essentiel des grands projets de développement de la Cote d’Ivoire. En cas de victoire aux élections régionales, la Marahoué déjà connue sera une destination reconnue pour les investissements dans plusieurs domaines : santé, éducation, reprofilage des routes…..Pour le bonheur de toutes les communautés (Gouro, Baoulé, Malinké,Yowèrè) de la région. Bref, un nouveau pacte social avec les populations de la Marahoué.

 

Louis Tanin

 

 

Comment

Ils sont 22 candidats qui ont été retenus sur un millier pour l’atelier coaching organisé par la Fondation Friedrich Naumann du 4 au 5 septembre 2018, dans le cadre de la deuxième édition du concours « Falling Walls Lab », le mardi 18 septembre prochain à l’Institut Goethe–Abidjan.

Selon le chargé de programmes /Communication, Magloire N’Dehi, cet atelier coaching va consister à apprendre aux candidats les techniques et outils pour « mieux structurer leurs idées », afin de " mieux vendre leurs projets et solutions" pour les entreprises et la société.40768666 1923142701062798 1481506474348773376 n

Concrètement, cette séance de formation portera sur comment aller à la découverte d’idées, construire une proposition de valeur, raconter une histoire pour vendre une idée, construire, structurer et valoriser un pitch à succès, etc ponctués d’exercices pratiques. Et le tout cordonner par des coaches rompus en la matière.

Ainsi, à la fin de la formation suivra la compétition de présélection qui permettra de retenir 16 candidats pour la finale locale à l’Institut Goeth d’Abidjan. Un seul représentera notre pays à la finale mondiale en novembre à Berlin(Allemagne), contre 99 autres concurrents. Mais le successeur de Samuel Sévi, vainqueur de l’édition 2017 au niveau national, devra avoir un projet solide pour espérer remporter le grand prix face aux candidats qui viendront de l’Amérique, l’Allemagne, du Canada, du Sénégal, l’Afrique du Sud, la Russie, l’Italie, etc.

Rappelons que le Falling Walls Lab ou « Tomber les murs ou barrières » est un concours international d’idées, de projets d’innovation et de recherches scientifiques pour les chercheurs, entrepreneurs, innovateurs et inventeurs. Il se présente comme une tribune pour eux. C'est pourquoi, le concours s’intéresse à tous les domaines : éducation, santé, économie, agriculture, banque, etc.

 

Daniel Coulibaly

Comment