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La décision de SM le Roi Mohammed VI de créer un ministère délégué au ministère des Affaires étrangères et de la coopération internationale chargé des Affaires africaines, constitue une consécration de l’orientation du Maroc vers l’Afrique et son attachement à ses racines africaines.
Annoncée par SM le Roi dans son discours prononcé, vendredi, devant les deux chambres du Parlement à l’ouverture de la première session de la deuxième année législative de la 10ème législature, cette décision traduit l’intérêt accru du Royaume à la coopération sud-sud et aux préoccupations des peuples africains, ainsi que son engagement dans la résolution des problématiques africaines, tout en prenant en compte les spécificités du continent et les intérêts de ses peuples.
“A cette fin, Nous avons décidé la création d’un ministère délégué auprès de celui des Affaires étrangères, chargé des affaires africaines, et plus particulièrement de l’investissement, ainsi que la mise en place de deux cellules de suivi, l’une au Ministère de l’Intérieur et l’autre au Ministère des Finances”, a indiqué le Souverain dans son discours.
Cette décision, qui intervient dans une conjoncture marquée par une dynamique renouvelée dans l’histoire des relations maroco-africaines, consolidée par le retour du Maroc à sa famille institutionnelle et les visites historiques du Souverain dans les différents pays africains, reflète les efforts déployés par le Maroc en vue de promouvoir la situation socio-économique du continent et surmonter les grandes problématiques auxquels il fait face.
La création d’un tel ministère n’est pas une première dans la politique marocaine. En effet, cette institution a été créée durant les années soixante du siècle dernier et avait à sa tête Feu Abdelkrim El Khatib. Ainsi, la mise en place pour la deuxième fois d’un ministère chargé des Affaires africaines reflète clairement une conscience totale des exigences actuelles et de l’impératif d’une mobilisation globale, et à tous les niveaux, en vue de faire face aux tentatives visant à porter atteinte aux intérêts du Maroc et à son intégrité territoriale.
La présence au niveau continental du Maroc, qui représente une force régionale jouissant d’une grande crédibilité et de l’estime des différents pays, illustre l’importance de la création d’un ministère au sein du gouvernement, ayant pour mission de renforcer les relations maroco-africaines et d’assurer le suivi des dossiers relatifs aux affaires africaines, la paix et la sécurité, la migration et le terrorisme.
L’intérêt accordé par le Maroc à l’Afrique se traduit par la communication intensifiée et les visites des responsables marocains dans différents pays du continent conformément aux Hautes orientations royales, dans le but d’assurer le suivi des différentes conventions scellées et diversifier les domaines de coopération au service des peuples africains. La tournée effectuée par la secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Mounia Boucetta, à un nombre de pays africains, dont le Gabon et le Ghana, en est un bon exemple.
Cet intérêt a été aussi confirmé par SM le Roi dans son discours adressé à la nation à l’occasion du 41ème anniversaire de la marche verte, depuis la capitale sénégalaise Dakar.
“Notre politique en Afrique, Dieu soit loué, a démontré son succès en commençant à porter ses fruits, tant au niveau des positions politiques au sujet de la question de notre intégrité territoriale qu’en ce qui concerne le renforcement de la présence économique du Maroc et le développement de ses relations avec les différents pays du continent”, a souligné SM le Roi.
“Nous aspirons à ce que la future politique du gouvernement soit globale et intégrée vis-à-vis de l’Afrique, et que celle-ci y soit perçue comme un ensemble”, a ajouté le Souverain.
La création d’un ministère délégué chargé des Affaires africaines permettra non seulement de défendre les intérêts du Maroc au sein du continent, mais aussi de concentrer les efforts, déterminer les priorités, renforcer la coopération sud-sud, consolider des relations économiques équitables, justes et équilibrées, et surtout de nouer des liens humains solides entre les peuples africains.
Avec MAP
Ericsson vient de publier son enquête sur la planification de la 5G en 2017. Le rapport de cette étude montre que de nombreux opérateurs ont accéléré le pas pour le lancement de la nouvelle technologie et que des essais sont menés par 78% des répondants. De plus, 28% de ceux-ci déclarent qu'ils déploieront la 5G l'année prochaine. Les opérateurs regardent au-delà du segment des consommateurs et prévoient des opportunités dans les secteurs des entreprises et de l'industrie.
Ainsi, selon l'enquête, les opérateurs voient le marché de la consommation se saturer. En conséquence, la planification de la 5G cette année est plus uniformément répartie entre les segments spécialisés de l'industrie (58 %), des utilisateurs professionnels (56 %) et des consommateurs (52%).
En terme de monétisation 5G, les répondants estiment que des revenus supplémentaires seront générés par l'augmentation de la part de marché, la migration des abonnés 4G, la hausse des prix des nouveaux services et l'expansion de nouveaux segments pour les entreprises et les industries.
Les trois principaux secteurs de l'industrie qui ont été mis en evidence par les répondants sont les médias et le divertissement, l'automobile et les transports publics, mais nombre d'entre eux ont classé également les soins de santé ainsi que l'énergie et les services publics parmi les secteurs les plus attractifs pour les applications 5G. Une nette majorité des répondants estiment que l'Internet des Objets jouera un rôle important et que la collaboration avec des tiers sera essentielle dans ce contexte.
La ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Raymonde Goudou Coffi a formellement annoncé pour bientôt la destruction du marché noir de vente de médicaments prohibés d’Adjamé Roxy lors d’un panel initié à l’occasion de la deuxième journée de Pharmafrica expo, à Abidjan, rapporte l’AIP.
« Je suis formelle, le marché de Roxy ne va plus exister », a annoncé vendredi la ministre Goudou aux panélistes, qui pour la circonstance, a partagé son expérience de pharmacienne sur le sujet de la contrefaçon et de la lutte contre les faux médicaments.
Raymonde Goudou a rappelé que les faux médicaments en Côte d’Ivoire représentent 30% des ventes soit une perte d’un montant d’environ 40 à 50 milliards de francs CFA aux pharmacies légales. Un trafic qui fait perdre à l’Etat de Côte d’Ivoire plus de cinq milliards F CFA par an, a-t-elle signalé.
Dr Goudou est longuement revenu sur l’opération de saisie de faux médicaments à Roxy la semaine dernière relevant une saisie de quelques tonnes de produits contrefaits et la destruction de plusieurs étales. Tout en précisant que cette descente faisait suite à une première dans le courant de l’année 2017 appelée « Roxy1 » qui avait permis de mettre la main sur 40 tonnes de faux médicaments.
Mais la question qu’on est tenté de se poser, peut-on en finir avec ce phénomène sans s’attaquer aux racines ? Autrement dit, il ne s’agit pas seulement de détruire le marché de Roxy. Il faut aller plus loin en anéantissant son vaste réseau d’approvisionnement, afin d’éviter que ce marché se relocalise dans un autre endroit.
AT
Le Premier ministre ivoirien, Amadou Gon Coulibaly avait avancé le 6 juillet dernier le décaissement de la somme de 232 milliards FCFA pour le réglement de la dette intérieure, au cours d’une rencontre avec des chefs d’entreprises, précisant que selon les principes le paiement allait commencer par les créances les plus anciennes.
Quelques temps après, soit la veille de la célébration du 57 anniversaire du pays, le président ivoirien Alassane Ouattara a indiqué, au cours d’une adresse à la nation sur la télévision nationale (RT1), que 232 milliards Fcfa ont été payés à 3.900 entreprises dans le cadre du règlement de la dette publique.
«L’Etat viens de payer les arriérés de la dette intérieure au profit de 3.900 entreprises pour un montant de 232 milliards de Fcfa », avait soutenu M. Ouattara dans son discours, ajoutant qu’il va permettre de « relancer l’investissement et la consommation ».
Ce qu’on pourrait considérer comme une véritable bouffée d’oxygène pour les créanciers de l’Etat semble ne pas être de l’avis de tous.
En effet, le syndicat national des fournisseurs de l’Etat de Côte d’Ivoire(Synfaci) présidé par Faustin Gré présente dans une note d’invitation dont ladiplomatiquedabidjan a reçu copie un montant total de 448 milliards FCFA sur la période de 1997 à 2015 comme factures impayées. Cette somme prend également en compte les baux (maisons baillés), les prestations en alimentation, la location des voitures, le ramassage d’ordures et autres factures auditées par l’Inspection Générale des Finances (IGF) dont 325 milliards CFA validés et 123 milliards rejetés et entérinés par le Conseils des ministres du mercredi 16 novembre 2016.
Le syndicat prévoit donc une réunion le jeudi 2 novembre prochain à la Chambre de Commerce et d’Industrie à Abidjan(Plateau) avec tous ses membres. La même note d’invitation indique que cette réunion est pour « la survie des entreprises de Côté d’Ivoire et la préservation des emplois ».
«Seule notre mobilisation; détermination, et présence massive à cette rencontre fera prendre conscience aux uns et aux autres de la gravité de la situation désastreuse et chaotique de la majorité des entreprises ivoiriennes criblées de dettes pour non-paiement des différentes factures. », déclare M. Gré qui prévoit, à cette occasion, s’adresser au président Alassane Ouattara.
Daniel Coulibaly
"Marriott Hotel Abidjan", "Sheraton Abidjan" et "Four Points". C’est avec ces trois hôtels de haut standing (en projet) que Marriott International marque son entrée sur le marché ivoirien de l’hôtellerie, annonce le groupe dans un communiqué consulté par La Diplomatique d’Abidjan (LDA, www.ladiplomatiquedabidjan.net).
Ces hôtels seront situés en bordure de lagune à Cocody, commune résidentielle d’Abidjan, qui abrite également le quartier des ambassades, et au Plateau, quartier administratif et des affaires, avec un objectif de 1 300 nouvelles chambres.
Marriott Hotel Abidjan
L'Abidjan Marriott Hotel est un établissement de 200 chambres, stratégiquement situé à quelques pas du palais présidentiel, au cœur du Plateau, le quartier central des affaires et le centre commercial, financier et administratif d'Abidjan. L'hôtel devrait ouvrir ses portes en 2021 et fera partie d'un projet à usage mixte qui comprendra un centre de conférence, des bureaux, des commerces et une bibliothèque nationale.
Sheraton et Four Points
Sheraton Abidjan et le Four Points (filiale de Sheraton Abidjan) ouvriront quant à eux en 2022. Ils comprennent un centre de congrès, une marinade, un centre commercial et un immeuble de bureaux.
Avec ses 259 chambres, Four Points Abidjan consistera en la reconversion d'un hôtel existant, qui sera rebaptisé après une rénovation complète. Tandis que Sheraton Abidjan, 300 chambres, sera une nouvelle construction.
La réalisation de ces réceptifs au bord de la lagune Ebrié entre dans le cadre du nouveau plan de développement et de renforcement de la présence de Mariott international en Afrique, qui prévoit sept nouveaux hôtels sur le continent.
37 000 chambres en Afrique d'ici 2022
Marriott International est engagé ces dernières années dans un vaste programme d’investissement ambitieux en Afrique, avec en prime l'acquisition de Protea Hotels pour 210 millions de dollars (105 milliards FCFA) en 2014.
La société cible plus de 200 hôtels avec 37 000 chambres ouvertes ou en préparation d'ici 2022, ce qui équivaut à environ 8,5 milliards de dollars (4000 milliards FCFA) d'investissement en capital de ses partenaires immobiliers.
"Nous avons toujours cru au potentiel de l'Afrique et aux opportunités que le continent a à offrir. Avec la croissance économique, la montée de la classe moyenne et l'urbanisation rapide, la demande de voyages et d'hébergement de qualité croît, ce qui nous offre une opportunité significative pour renforcer notre présence et soutenir notre présence sur de nombreux marchés émergents à travers le continent, a déclaré Alex Kyriakidis, président et directeur général de Marriott International pour le Moyen-Orient et l’Afrique.
A ce jour, les hôtels Marriott International sont présents dans 20 pays africains. L'entreprise devrait pénétrer de nouveaux marchés, notamment le Bénin, le Botswana, Madagascar, le Mali, la Mauritanie et le Sénégal, tout en renforçant sa présence sur les marchés existants dont l'Ethiopie, le Ghana et Nigeria.
Armand Tanoh
Avec des noms qui varient en fonction des différentes conjectures, le pagne notamment le Wax, tissu en coton imprimé de qualité supérieure et qui a un attrait particulier sur les femmes, constitue un véritable miroir social. Selon de nombreuses femmes, ces pagnes de par leur nom véhiculent des messages. « Ces noms de pagne ont leur source dans l’actualité, ça peut être des crises, les mutations sociales, les souffrances, des téléfilms et les joies. C’est quand je vais à Abidjan pour prendre mes pagnes à vendre que les commerçantes grossistes me donnent le nom », a affirmé, à l'AIP, Doumbia Sanata, commerçante depuis plus d’une vingtaine d’années au grand marché de Dimbokro.
Selon elle, les commerçantes, dotées d’une imagination débordante baptisent, à chaque fois, le dernier modèle sorti. « Elles augmentent chez les femmes la convoitise, les poussant à rivaliser d’adresse pour être la première à porter modèle en vogue », a souligné la commerçante. Elle a fait remarquer que plusieurs noms de pagnes sont sortis et ont fait le bonheur des femmes, citant « Feuille de gombo », « L’œil de ma rivale », « Z’yeux voient, bouche ne parle pas », « Grotto », « Réconciliation », « Balai de Guei »…
Avec le nom, le pagne prend de la valeur et ça couche cher. Ainsi pour avoir « Avenue 16 », « Tu sors, je sors », « Feuilles de piment », « Ton pied mon pied », « Fleur d’hibiscus », « Quand femme passe, les hommes trépassent », les femmes devaient et doivent jusqu’à présent délier la bourse. « Lorsqu’un nouveau modèle est sur le marché, la publicité se fait de bouche à oreille notamment lors des grandes cérémonies comme les mariages, les baptêmes et les sorties d’associations », a relevé Mme Doumbia.
Elle a souligné qu’en dépit de la montée fulgurante du blue-jean et autres pantalons dans l’habillement chez la jeune génération de femme, il est prédit au pagne notamment le Wax, de beaux jours. Car il continuera de toujours fasciner les Africaines. « Aujourd’hui, les pagnes que vous voyez sont des anciens modèles qui reviennent à la mode », a noté la commerçante.
Le plus grande et plus peuplée des communes de Côte d’Ivoire, n’entend pas rester en marge de la marche du pays vers l’émergence. Yopougon, agglomération cosmopolite de la banlieue ouest d’Abidjan, qui abrite déjà la plus grande zone industrielle du pays, se prépare à l’ouverture prochaine d’un joyau qui en fera certainement l’une des attractions d’Abidjan en matière de shopping. Il s’agit de « COSMOS Yopougon » : centre commercial ultramoderne, dont la construction est très avancée, et l’ouverture prévue pour le premier trimestre 2018.
Situation stratégique
Cosmos Yopougon, dont la réalisation constitue l’un des projets phares du député-maire Gilbert Kafana Koné, sera le premier centre commercial au standard international à Yopougon, la plus grande municipalité d’Abidjan avec près de 2 millions d’habitants.
Cet antre du shopping, bâti sur 3 hectares (30.000 m²), est situé stratégiquement au coeur de la commune, sur le boulevard principal en face de la place Figgayo. Il sera l'un des plus grand et des plus modernes centres commerciaux d'Afrique de l'Ouest, et le plus grand de l'espace UEMOA.
Enseignes internationales
Ce Mall offrira une multitude de commerces « sachant allier la qualité et des prix attractifs dans une zone de chalandises de plus d’un million de consommateurs », indiquent ses promoteurs du groupe HC Capital Properties (HCCP), une compagnie privée d’investissement et de développement, spécialisée dans l’immobilier en Afrique de l’Ouest avec comme marchés cibles la Côte d’Ivoire, le Ghana et le Nigéria.
Chantier du centre commercial COSMOS Yopougon, octobre 2017
Cosmos Yopougon, ce sera aussi la présence de grandes enseignes internationales et locales telles que Carrefour, Burger King ou Le Majestic Cinéma, avec une prévision de plus de quatre millions de visiteurs par an. Après Soccocé, Playce, Cap Sud
Armand Tanoh
Ericsson dévoile la huitième édition de son rapport "ConsumerLab TV and Media", qui met en lumière la croissance massive de la télévision et de la vidéo, ainsi que le changement continu dans la façon dont les consommateurs visionneront les contenus.
Ce rapport annuel s'appuie sur huit années d'analyses médiatiques approfondies et prévoit que la croissance du visionnage à la demande se poursuivra jusqu'en 2020. 50% de tous les visionnages de contenus se feront sur un écran mobile, dont la moitié effectuée uniquement sur smartphone.
Les consommateurs, quant à eux, apprécient les expériences visuelles de haute qualité ainsi que celles immersives, ce qui contribue à ajouter une dimension nouvelle au monde de la télévision et de la radio. Ainsi, d'ici 2020, un consommateur sur trois sera un utilisateur de la réalité virtuelle ("VR").
Le temps passé à regarder la télévision et le contenu vidéo a atteint un niveau record de 30 heures par semaine, incluant la visualisation active de la TV linéaire programmée, des services Internet en direct et à la demande, du contenu téléchargé et enregistré, ainsi que des DVD et Blu-ray.
Près de 60% des téléspectateurs préfèrent maintenant la diffusion à la demande par rapport à l'écoute télévisuelle linéaire programmée, soit une augmentation d'environ 50% depuis 2010.
Les résultats montrent également que, bien que les consommateurs aient plus accès aux services de télévision et de vidéo que jamais, le temps moyen consacré à la recherche de contenu a augmenté de près d'une heure par jour, soit une augmentation de 13% depuis l'année dernière. En fait, 1 consommateur sur 8 pense qu'il se perdra dans la vaste quantité de contenu disponible à l'avenir.
Armand Tanoh
Les Premières dames de 17 pays d’Afrique de l’Ouest et du sahel sont annoncées mardi à Abidjan, prennent part, à partir de mardi à au Sofitel Hôtel Ivoire d’Abidjan, à une Conférence sur la lutte contre le travail des enfants et l’autonomisation de la femme.
Ce conclave est une initiative du Comité national de surveillance de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants (CNS) de Côte d’Ivoire, présidé par la Première dame, Dominique Ouattara, indique une note d’information transmise dimanche à l’AIP.
Il se tiendra sur le thème « Protection des enfants : quelle contribution des Premières dames dans la lutte contre les violences, la traite, l’exploitation et le travail des enfants en Afrique de l’Ouest et dans le Sahel » et « Autonomisation des Femmes et Dividende Démographique dans le Sahel (SWEDD) ».
Prendront part à cette Conférence, notamment la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso, le Benin, le Cap-Vert, la Gambie, le Ghana, la Guinée.
Des délégations sont également attendues en provenance de la Guinée-Bissau, le Libéria, le Togo, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Nigéria, le Sénégal, la Sierra Leone, et le Tchad.
En plus des Premières dames, les ministres en charge du travail et de la protection des pays concernés, des experts de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), de l’Union africaine (UA), et des organisations internationales, ainsi que des industriels du cacao et du chocolat et les communautés productrices de cacao, y prendront part.
Des experts venus des pays participants se sont réunis samedi à Abidjan, afin de préparer le projet de texte de déclaration d’engagement des Premières dames de l’Afrique de l’Ouest et du Sahel sur la question du travail des enfants.
Le président de l'Assemblée nationale de Côte d'Ivoire Guillaume Kgbafory Soro a pris part du 14 au 15 octobre 2017 à la 137è session de l'Union Inter-Parlementaire à Saint Petersbourg. Ici, posant avec le président de la fédération russe Vladmir Poutine.
Crédit photo : Cabinet de Guillaume Soro